Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 13:26

.../...

Je suis dans la cave d’un homme que je n’ai rencontré que deux ou trois fois, nue, attaché à une croix, et avec des poids au bout de mes seins.

Ça fait déjà plusieurs minutes qu’il m’a laissée là, après ma première rencontre avec un Hitachi Magic Wand.

Quel engin… Une machine de dément.

J’ai encore du mal à m’en remettre, alors que je me demande depuis combien de temps il est parti.

Les poids commencent à se faire sacrément sentir au bout de mes tétons.

Si au début, je tentais de me dévisser la tête pour apprécier l’intégralité de la pièce, maintenant j’évite de bouger car le moindre balancement de ma poitrine me rappelle à l’ordre douloureusement.

Cependant j’ai pu apercevoir une petite porte supplémentaire à l’opposé de celle des escaliers, ainsi qu’un fauteuil, façon club dans un coin.

 

Le temps s’écoule lentement.

Je constate que Monsieur Stéphane n’est pas un mort de faim.

En effet combien d’hommes n’auraient pas tenté d’abuser de la situation de suite.

Lui, non, il se contente de m’explorer, cérébralement parlant j’entends.

Pas un geste déplacé, pour m’introduire un ou plusieurs doigts, ou tout autre chose…

Il ne semble pas se préoccuper de son propre plaisir.

A peine s’il a effleuré mon sexe du bout de l’index.

Il doit être rompu à toute épreuve, ça doit être la routine pour lui.

Une petite chienne de plus à dompter.

 

Tout à coups, je me prends à éprouver une vive jalousie à l’encontre des soumises qui ont croisé sa route auparavant.

Car, à n’en pas douter, je ne suis pas la première.

Il n’y a qu’à voir avec quelle maitrise il mène son sujet, et s’il fallait une preuve supplémentaire, l’ameublement de sa cave parle de lui même.

Je ne serais qu’une salope de plus à passer dans son pétrin.

Pourquoi cet élan de jalousie ?

Nous ne sommes rien l’un pour l’autre…

Tout ça n’est qu’un jeu ma jolie, rien de plus.

Prends-le comme tel.

 

J’entends du bruit. Il descend les escaliers, il revient…

La porte s’ouvre. Il vient se planter devant moi.

- Alors, prêtes pour une seconde manche ?

Quoi ?

Oh Non !

Pas ça…

Pitié pas ça…

Je ne sais pas si je pourrais endurer une nouvelle vague.

- Pardon ? Je n’ai pas entendu, s’amuse-t-il….

- Oui… Oui Monsieur Stéphane.

Ais-je le vraiment choix ?

 

Déjà il tend la main vers l’appareil, et s’est repartit.

Aussitôt je décolle.

Les vibrations de cet engin de malheur m’arrachent littéralement de mon corps et me propulsent au-delà de toutes sensations.

C’est inouï.

Le bruit de l’appareil, associé à ses fréquences ultra rapides, sourdes et régulières, me transportent d’extase.

Aussi rapidement que la première fois, un Hiroshima me terrasse.

Suivi de cette désagréable sensation négative.

Cette fois la phase gêne intense dure un peu plus longtemps que les deux fois précédentes.

Je grimace, je me tords, je geins.

Mais rien n’y fait, tant que je ne lâche pas le mot magique, ça continue.

Et je ne veux pas le lâcher.

Pas comme ça, pas sans avoir résistée au maximum.

Je veux lui montrer de quoi je capable.

Je serre les dents.

 

Ça y est, le plaisir revient.

Toujours aussi intense, aussi vigoureux.

Il se dégage de ces sensations quelque chose de bestial et de raffiné à la fois.

C’est d’une telle force, d’une telle puissance…

Sans crier gare, l’orgasme surgit encore une fois.

Dans la même seconde, tantôt je me cambre à m’en faire péter la colonne vertébrale, tantôt je me recroqueville sur moi-même, enfin autant que mes liens me le permettent.

Je sais que je continue à crier, à geindre, à gémir, même si je ne m’entends plus.

Et puis revient encore cette nauséeuse sensation qui vous donne envie de vous arracher la peau pour vous en débarrasser. Et ça recommence.

Le cycle reprend avec une phase désagréable de plus en plus longue et des orgasmes de plus en plus courts. Je ne tiens plus les comptes, je ne sais plus où j’en suis.

N’existent plus que ces vibrations infernales, ces hurlements et ces larmes qui coulent sur mes joues.

Je suis en enfer, ni plus ni moins.

C’est tout à la fois insupportable et délectable…

- Aprila ! Aprila ! Lançais-je à bout de force.

Tout s’arrête.

 

- Un peu mieux cette fois ci. Bon on va passer à autre chose, si tu veux bien ?

Ah ? Pourquoi, j’ai mon mot à dire ??? Nouveau ça…

- Oui Monsieur Stéphane. Ma voix n’est qu’un murmure.

Il me délivre avec autant de délicatesse qu’il m’a attachée.

Avec une paire de ciseaux à bouts ronds il libère ma jambe du cellophane.

Elle est trempée de sueur, et lorsqu'il prend le magic wand, mon entre jambe ruisselle littéralement sur mes jambes.

Il pointe un index vers le sol, en faisant claquer ses doigts.

Je ne le sais pas encore mais ça sera là, l’ordre le plus fréquent auquel j’aurais à obéir à l’avenir.

Un simple doigt tendu vers le sol et un claquement.

On ne peut plus explicite me direz-vous….

Je tombe à genoux et me met à quatre pattes.

Il garde ma laisse en main, bien évidement.

 

Il va s’asseoir dans un fauteuil posé dans un coin de la pièce.

Il s’installe, les jambes écartées et commence à dégrafer son pantalon.

Ah, quand même me dis-je, il n’est pas si différent des autres finalement.

Il sort son engin, pas encore en érection. Il se met à l’aise, puis tire sur ma laisse.

- On va voir comment tu t’y prends pour contenter ton Maitre.

Bon là, au moins, pas la peine d’explications, je sais exactement ce qu’il attend de moi.

Je me cale entre ses genoux, approche ma bouche de son gland et tends la main…

- Non, non sans les mains, s’il te plait… Me rappelle-t-il à l’ordre. Uniquement ta bouche.

Bon, très bien, allons-y.

Je sors ma langue pour soulever son sexe que j’enfourne d’abord avec une feinte hésitation, puis que j’engloutis littéralement. Je commence mes va-et-vient, lentement en jouant de la langue autant que je peux.

Petit à petit sa verge grossi et se raidit.

C’est déjà ça, il n’est pas insensible à mon expérience.

Je pense que je franchirais haut la main ce test…

Facile après tout quand on est une fille moderne ; je veux dire, quelle fille de nos jours ne sait pas sucer correctement son homme ?

 

Je déploie tout mon art, usant de ma langue et de mes lèvres avec une attention redoublée.

Inutile de vous préciser que cet exercice, dans la position où je suis, tenue en laisse, m’excite au plus au point.

J’y prends un réel plaisir, et je ne suis pas la seule apparemment.

Même s’il n’en laisse rien paraitre, pas un soupir, pas un spasme, Monsieur Stéphane semble apprécier la chose à en juger par la taille de son engin.

Arrive l’indissociable main posée sur la tête, liée indéfectiblement à ce genre d’activité.

Il y met même les deux.

Il apprécie le coquin.

Bien sur comment pourrait-il en être autrement ?

Mais il se met à appuyer avec puissance et force sur ma tête.

Là, je commence à émettre des gargouillis tandis que je m’étouffe à moitié.

J’esquisse le geste d’envoyer les mains pour me dégager mais aussitôt :

- Sans les mains je t’ai demandé… Allez, avale autant que tu peux…

Il relâche sa pression et j’en profite pour souffler.

Je dégage son sexe de ma bouche à moitié en toussant et en soufflant.

- Allez ne te laisse pas distraire, continues….

- Oui Monsieur Stéphane.

Et je m’y remets.

 

Passent quelques secondes et de nouveau la pression sur ma tête, cette fois il fait ça si soudainement qu’il m’enfile jusqu’à la garde, si je puis dire.

Mes lèvres en viennent à toucher son pubis et ses testicules.

J’ai immédiatement un réflexe vomitif et un rejet de la tête en arrière.

Il laisse faire.

Un long filet de salive épaisse me relie à sa hampe dressée.

J’en ai les yeux qui pleurent, encore…

Il me permet quelques secondes de répits, puis claque des doigts en désignant sa verge.

 

De nouveau, je m’attelle à la tache, le menton souillée de ma propre salive, les joues humides de mes propres larmes et la nouvelle conviction que le test ne sera pas si facile que ça à passer finalement.

Cette fois je m’attends à la pression, je résiste un peu, mais un coup d’œil sur le visage de Monsieur Stéphane me ramène à plus de docilité.

Son gland heurte le fond de ma gorge une ou deux fois, je ne saurais le dire.

Mon estomac se retourne.

Je sens son contenu remonter.

Je me dégage portant les mains à ma bouche, en ayant des sursauts de renvois.

Dans le même temps je me relève.

Pas par défi, ni rébellion, c’est juste que j’éprouve à ce moment là un irrésistible besoin de me mettre debout.

De toute façon, là tout de suite, je ne peux pas continuer.

 

- Va te rincer la bouche dans la salle de bain. Par là… M’indique-t-il d’un geste.

Toujours une main devant ma bouche, je franchis la porte indiquée et pénètre dans une petite salle d’eau.

Elle est propre est bien agencée.

Je crache dans le lavabo et me rince plusieurs fois la bouche.

Un bref coup d’œil dans le miroir me fait entrevoir une créature que j’ai toujours rêvé d’incarnée secrètement.

Misérable, certes, pitoyable, surement mais quel bonheur d’être enfin cette femelle obéissante au visage marquée de longues coulures de rimmel, aux yeux rougis et au menton maculé de bave.

Je m’observe.

Je me trouve belle et, paradoxalement, terriblement rebelle.

Oui je sais, je suis en train d’obéir aux ordres d’un pervers qui se comporte en Maitre absolu, mais malgré tout, avoir osé franchir le pas, être là de ma propre volonté, me fait me sentir rebelle et farouche face au monde entier.

C’est comme ça.

Des fois il ne faut pas chercher à comprendre.

 

Je me rince le visage et retourne auprès de mon Maitre.

- Ça ira pour aujourd’hui, contente toi de finir ce que tu as commencé et montre moi ta dévotion comme il se doit.

Je me remets en position, et recommence à lui prodiguer une fellation appliquée et volontaire.

Cette fois pas de main sur le sommet du crâne, il me laisse procéder.

Après de longues minutes, je sens enfin des spasmes annonciateurs de plaisirs.

Il se répand en moi, en longues giclées épaisses et chaudes.

Enfin...

Suis plutôt satisfaite de moi.

J’avale d’une gorgée sa semence.

Il le remarque : « Les prochaines fois, je veux que tu ouvres la bouche et attendes mon ordre pour avaler. C’est bien compris ? »

- Oui Monsieur Stéphane.

- Bien, je crois que tu as ton compte pour aujourd’hui. Alors de petits exercices à faire chez toi. Tu as un gode ?

- Heu… Non Monsieur Stéphane.

C’est vrai je n’en ai pas. J’ai quelquefois pensé à en acheter un mais jamais franchi le pas, faut dire que je suis rarement restée seule ses dernières années.

- Pas grave tu vas t’en acheter un. Ne prend pas un gros, hein, n’aie pas les yeux plus gros le ventre. Ça sera pour t’entrainer à gober une bite jusqu’à la garde. La prochaine fois que l’on se voit, je veux sentir de nets progrès. Compris ?

- Oui Monsieur Stéphane.

- Autre chose, tu t’es déjà faite sodomiser j’imagine ?

- Heu… Oui Monsieur Stéphane.

- Alors entraine aussi ton petit trou à recevoir du gros. Parce que la prochain fois tu vas déguster. Que tu ne t’appelle pas Orifice pour rien quand même….

- Oui Monsieur Stéphane.

- Allez rhabilles toi et files.

- Oui Monsieur Stéphane… Je …

- Si tu souhaites émettre l’hypothèse de prendre une douche, c’est non. Tu sortiras toujours de mes séances en l’état, comme tu les finis, et estime toi heureuse que je ne t’oblige pas à te rhabiller dans la rue cette fois ci.

 

Le coup est rude mais je m’estime contente d’avoir eu l’opportunité de me rincer au moins le visage.

Je me fais la promesse de prévoir des lingettes pour mes prochaines séances.

Je renfile mes vêtements, entretemps il est déjà monté.

Je le suis quelques secondes après.

Il est dans le salon un verre à la main.

- En revanche si tu veux boire quelque chose c’est avec plaisir, me dit-il en levant son verre.

Bah, pourquoi pas…

- Oui Monsieur Stéphane.

- Que veux-tu ?

- Heu... Je ne sais pas. Rhum blanc ? Vous avez ?

- …Monsieur Stéphane, tu as oublié Monsieur Stéphane ? Me corrige-t-il en attrapant son petit carnet.

- Oui pardon, Monsieur Stéphane.

- Oui j’en ai, me répond-il en notant une croix de plus.

Il ouvre un vieux meuble empli de diverses bouteilles, il décroche un verre de son support et me sert.

- Glaçons ?

- Oui monsieur Stéphane. Et un peu de coca s’il vous plait….

- Ha… Un cuba Libre donc, avec une rondelle de citron vert peut être ?

- Oui Monsieur Stéphane, merci.

 

Il quitte la pièce pour se rendre dans sa cuisine j’imagine. J’en profite pour jeter un œil alentour.

C’est stylé, meublé avec gout, que du beau bois et quelques magnifiques peintures accrochées aux murs.

Je reconnais le style inimitable et hyper coloré de Zanella, grand peintre provençal contemporain.

Ainsi qu’un Kandinsky. Est-ce un original ? Je m’en approche pour vérifier.

- Ce n’est pas un original, mais une fort belle copie cependant. Il est revenu et me tends mon verre.

- Mais vos Zanella sont des originaux eux ? … Monsieur Stéphane ? M’empressais-je d’ajouter.

- Oui mais il est plus dans mes moyens. Tu t’intéresses à l’art ?

- Comme tout le monde, Monsieur Stéphane.

- Ha... ??Tu sais cuisiner ?

- Oui Monsieur Stéphane.

- Bien… Ou plutôt bien ?

- Plutôt bien, Monsieur Stéphane.

- Parfait, à l’occasion je t’embaucherais pour un diner entre amis. Tu feras la cuisine et le service. Ça sera parfait…

- Oui Monsieur Stéphane.

Oui j’imagine déjà le genre de service…

 

Nous discutons de choses et d’autres comme si il ne s’était rien passé dans cette cave.

C’est assez surréaliste en fait comme situation.

Je découvre un homme courtois et sociable en dehors de ses activités très privées.

Cultivé aussi. Il a l’air d’être une source inépuisable sur l’histoire de la région et j’apprends de sa bouche que le secteur de Saint Laurent des Arbres fut sur le devant de la scène à de nombreuse reprise durant l’ère romaine, notamment lors du franchissement du Rhône par Hannibal et ses éléphants non loin de là.

Il me parle également de son église fortifiée, son donjon médiéval et du Camp des Césars, plateau voisin, où de nombreux vestiges du néolithique furent découverts.

Bref nous avons une discussion tout ce qu’il y a de plus mondain. Je trouve ce changement d’attitude assez déstabilisant pour tout vous dire. D’abord il m’annonce froidement que je n’ai pas droit à une douche, pourtant amplement justifiée, et l’instant d’après il m’invite à prendre un verre et à deviser avec lui comme si de rien était.

Serait-ce une sorte de sociopathe ?

Une soumise peut elle avoir ce genre de rapport avec son Maitre ?

Bof, après tout, qu’est qui empêche un petit moment de détente après l’effort… ?

Je finis mon verre, il m’en repropose un, mais je décline.

Il me faut y aller maintenant, l’après midi est bien avancées et je sors ce soir.

 

Encore une fois, je m’interroge sur le protocole à suivre, comment prend-on congés de son Maitre ?

Comme toujours il semble lire en moi comme à livre ouvert.

- La bise me semble de rigueur après ce qu’on vient de partager, dit-il en souriant.

Je m’approche en lâchant un « Oui Monsieur Stéphane » confus et inaudible et je tends ma joue.

Une fois nos au revoir échangés, je sors dans son jardin et me dirige vers le portail.

Alors que je rejoins ma voiture, je ne peux m’empêcher de réaliser ce que je viens de faire. « Ça y est » me dis-je dans ma tête, « Tu es une bonne petite esclave bien docile et obéissante », et cette simple pensée m’emplit de joie et de bonheur.

J’aimerais déjà être à me prochaine séance….

Par orificediary
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