Lundi 8 décembre 1 08 /12 /Déc 14:41

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Elsa m’attrape par ma laisse qui pend.

  • Vient là, petite chienne.

Je la suis.

Laurent m’attend prés du fauteuil avec des cordes dans les mains.

Sans ménagement Elsa me jette dans le fauteuil. Je vous dis pas l’atterrissage pour mes fesses blessées.

J’en grimace de douleur.

Laurent m’attrape mes deux poignets, par-dessus ma tête, les entoure avec la corde et les attache derrière le dossier.

Puis il me prend la jambe droite, la lève, entoure la cheville et comme les poignets l’attache en l’air.

Il fait de même avec la gauche.

Je me retrouve sur le fauteuil les deux jambes en l’air, écartée, attachées et les bras eux aussi ligotés.

Visiblement il doit y avoir des points d’accroche, comme des anneaux, derrière le dossier, puisque toutes les cordes y convergent.

Je reste là exposée et offerte, tandis qu’Elsa s’affaire dans la salle de bain avec mon Maitre.

Laurent lui, tourne autour de moi, profitant du spectacle. Il vient se mettre à hauteur de mon oreille et me murmure.

  • T’as jamais été fisté ?... Tu vas voir tu vas te régaler….

Je ne sais quoi en penser.

Bien évidement en ma condition de soumise sexuelle, je m’attendais plus ou moins et tôt ou tard à en passer par là.

Mais le fist ne fait pas partie de mes fantasmes absolus.

Je ne suis pas une affolée de la dilatation à tout prix.

Je prends mon plaisir de façon bien différente, plus cérébrale.

Je n’ai jamais eu vraiment besoin d’extrêmes plaisirs physiques pour prendre mon pied, tout se passe dans ma tête.

Être obligé de faire mes courses en jupe extra courte et pluggée, est bien plus gratifiant, à mon sens, que me faire prendre par deux ou trois hommes.

Suis comme ça….

Bon ceci dit l’épisode du Hitachi magic wand m’a fait comprendre que je n’étais pas complètement hermétique au plaisir brut, pour ne pas dire brutal, mais quand même, je reste une cérébrale plus qu’un physique.

 

Là-dessus Elsa revient de la salle de bain avec des gants de chirurgien aux mains.

Monsieur Stéphane qui la suit, amène un gros flacon en plastique blanc.

Il se baisse devant moi et me retire mon plug sans effort.

Elsa s’agenouille à coté de lui, me caresse le clitoris puis tend ses deux mais à mon Maitre, qui y répand une grosse noisette d’une crème blanche.

Elsa répartit la crème sur ses deux gants, puis je la vois poser ses doigts sur mon sexe.

Elle caresse doucement le clitoris, les lèvres, et devient plus énergique.

C’est agréable, surtout avec beaucoup de crème.

Elle introduit deux doigts, trois, quatre. Elle rentre et sort avec une certaine vigueur.

Monsieur Stéphane c’est approché de mon visage entre temps.

Il déboutonne son jeans et me sort son engin.

Je me tords le cou pour tenter de l’attraper avec mes lèvres.

Il me facilite la chose en avançant son bassin et je commence à le sucer du mieux que je peux.

Je sens qu’Elsa investi ma petite grotte avec de plus en plus de passion, je la surprends même à gémir alors qu’en l’occurrence c’est plutôt à moi de manifester mon plaisir bruyamment.

Ce que je commence à faire.

 

Que rêver de mieux ?

Une Maitresse qui vous fouaille le sexe avec ses doigts et un Maitre qui vous donne sa queue à sucer.

Laurent est penché au-dessus de mon ventre, observant son épouse à l’œuvre.

Maintenant qu’Elsa tente de faire pénétrer sa main en entier, ça chauffe autour de mes muqueuses.

Une légère sensation de brulure m’informe que mes muscles sont en train de s’étirer sous l’action de l’invasion de phalanges.

Je sens ses doigts jusqu’aux tréfonds de ma conque, elle est passée en entier.

Elle ressort, et rentre à nouveau.

 

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Le plaisir brutal et sauvage, d’une telle pénétration, m’envahit subitement.

C’est comme s’ouvrir d’un coup, comme si vos muscles lâchaient prise et se déchiraient sans douleur, mais avec volupté.

J’ai l’impression d’être envahit par un tsunami de plaisir, ravagée par un raz de marée, et je n’ai pas encore atteint l’orgasme.

Je me tortille autant que me le permettent mes liens, et plus je m’agite, plus je glisse vers le bord du fauteuil.

Et les marques, encore cuisantes de la canne anglaise, se rappellent à mon bon souvenir.

C’est très voluptueux comme sensation. Douleur et plaisir…

Toute mon intimité est prise d’assaut, surtout lorsqu’une fois à l’intérieur elle serre le poing. Se sentir tout empli, comme cela, c’est paradisiaque.

Maintenant elle ne desserre même plus le poing pour entrer ou sortir.

D’un coup je sens mes poignets libres, j’ouvre les yeux et je vois Laurent en train de me les libérer.

Visiblement, à voir son engin en érection, il ne sera pas contre un second service.

Je passe donc d’une sucette à l’autre avec beaucoup de plaisir et de bonne volonté.

 

L’orgasme arrive, je le sens monter en moi comme un flot farouche et indompté que rien ne peut endiguer.

Je m’enfonce encore plus dans le fauteuil.

J’ouvre la bouche en grand dans un cri silencieux.

Puis finalement je lâche une plainte sourde et charnelle.

Le plaisir est bien là, contrasté par la brulure de mes fesses encore bien douloureuses.
J’ai les yeux fermés mais je sens des giclés de liquide chaud m’arriver de droite et de gauche sur le visage.

Je n’ose ouvrir les yeux car je sens mes paupières collées.

Elsa retire sa main et me tapote gentiment le clitoris.

Je l’entends dire : « Hey, vous lui avez fait un joli masque les mecs ! ».

Quelqu’un me délie les jambes, que je laisse retomber lourdement.

Une main m’attrape sous l’aisselle pour m’aider à me relever.

  • Va te passer sous la douche. C’est la voix de Monsieur Stéphane.

Il m’accompagne jusqu’à la salle de bain car je n’ai toujours pas ouvert les yeux.

Il m’aide à passer la margelle de la douche, me met une main sur le robinet et l’autre sur le pommeau.

Il semble oublier que j’ai toujours mon t-shirt, mon collier et que je suis chaussée.

J’enlève le collier, puis mon haut en prenant soin de ne pas toucher mon visage avec, et retire mes chaussures.

Je me rince avec de l’eau chaude.

Les plaies sur mes fesses me picotent au contact de l’eau.

Je sens que je ne suis pas prête de l’oublier cette canne anglaise.

Je suis embêtée car je suis obligée de me mouiller les cheveux. Les filles comprendront.

 

Je cherche du shampooing et du gel douche. J’en trouve sur le rebord.

Je me sens vannée, lessivée.

Etranges expériences que je viens de vivre.

Et en même temps très luxurieuse et sybarite.

Deux nouveautés le même jour, ça fait beaucoup.

Je suis une totale débauchée, je le sais et je m’assume pleinement, et je vois énormément de beauté dans ce témoignage de soumission totale que j’accompli à chaque fois que Monsieur Stéphane me le demande.

Et je ne peux m’empêcher de m’émerveiller devant tout ce qui me reste à découvrir en tant qu’esclave soumise.

J’en souris intérieurement.

Au sortir de la douche je remets immédiatement mon collier en place, pas la peine de risquer des croix en plus.

Je quitte la salle de bain, nue, en me séchant les cheveux avec une serviette et je trouve mes trois maitres du jour, affairés autour de ce qui semble être un chevalet rustique, en fer et matelassé de cuir.

 

Monsieur Stéphane pointe ses doigts vers le sol en les faisant claquer.

Je lâche ma serviette et me met à quatre pattes en prenant l’extrémité de ma laisse entre les dents.

Il me fait signe d’avancer. Je m’approche de cet étrange attirail.

Je distingue à chaque pied, à mi-hauteur, des bracelets de cuir solidement fixés.

La surface horizontale est faite de deux matelas capitonnés en cuir brun. Un petit matelas qui tient un quart de la longueur, puis un espace de 20 cm environ entre les deux, et un second matelas qui fait le reste du chevalet.

Elsa tapote le matelas de la main : « Allez chérie, monte là-dessus… ».

Je me redresse et me couche sur le ventre. Laurent me prend par les bras et me tire jusqu’à ce que mes deux seins tombent dans l’espace entre les deux matelas.

Puis il me ramène les bras le long des pieds avant du chevalet et me les y attache.

Monsieur Stéphane fait de même avec mes jambes et les pieds arrière.

La position n’est pas très confortable mais au moins mes fesses n’ont pas à frotter contre quelque chose. Je sens des mains qui me prennent les seins, celle d’Elsa je suppose car je ne peux voir ce qui se passe sous moi.

Une morsure soudaine sur mon téton droit me fait sursauter.

  • Chut, ne t’inquiète pas. Je te mets juste des pinces sur tes seins… Avec quelques poids.

C’est bien la voix d’Elsa que j’entends.

Visiblement elle prend sa tache très au sérieux.

Deuxième morsure sur l’autre téton. Puis je sens que ça tire légèrement sur le premier, puis sur le second.

Elle y met des poids.

Et elle en rajoute encore.

La douleur n’est pas déplaisante, même lorsqu’elle les fait balancer.

Pour tout vous dire, instinctivement ça me donne envie d’écarter les jambes pour me faire prendre.

C’est curieux, dans ma tête j’exécute mentalement le mouvement avec mes jambes.

On ne se refait pas.

Chienne un jour, chienne toujours.

  • Voilà elle est prête. C’est Laurent qui très content, s’exprime.
  • J’ai visité ta chatte, je vais investir ton cul maintenant.

Elsa se tient derrière moi, et pose une de ses mains sur ma fesse.
Elle les écarte, et répand du gel ou de la crème entre elles.

C’est frais et agréable.

Je fais une rapide estimation. Sa main fermée ne doit pas avoir un diamètre plus important que le dernier plug offert par mon Maitre.

Je ne devrais donc pas trop souffrir.

Elle glisse direct trois doigts, enfin je crois.

  • Ça rentre tranquille. Une belle petite gourmande du cul, annonce Elsa en me claquant une fesse.

Intérieurement je la remercie car, consciemment ou inconsciemment, elle a évité mes plaies.

Elle me masse les sphincters pendant de longues minutes.
Puis elle passe à la vitesse supérieure et commence à forcer la place.

Lentement par petits à coups elle se fraie un chemin.

La sensation est assez délectable, et pas de douleur.

D’autant plus que de son autre main elle me masse le clitoris.

D’un coup, d’un seul, elle force le passage et de nouveau la volupté des sphincters qui se referme après.

Je sens ses doigts qui s’agitent dans mon rectum. Elle ressort, et d’un coup sec, rentre à nouveau, m’arrachant un petit cri.

  • C’est génial, elle est totalement ouverte, un vrai garage à bites.

Je prends cette déclaration d’Elsa comme un compliment.

  • Je vais tenter les deux mains, rajoute-t-elle.

Là je ne suis pas sure que ça passe du premier coup.

Je sens qu’elle glisse des doigts entre son poignet et mon anus.

Ça s’ouvre doucement.

C’est fou ce que ça peut être élastique un cul, je n’aurais pas cru.

Mais je me rappelle l’épisode du totem à boules qui s’est déroulé ici même, quoique la plus grosse boule n’excédait pas la taille de mon plug.

A force de plaisir, de crème et de muscles mon anus s’ouvre sous la pression.

Ça commence à être un peu douloureux lorsqu’elle force.

Elle s’en rend compte et retire sa deuxième main.

  • Non ça ne sera pas pour aujourd’hui, mais j’ai bien ouvert la voie.

Puis elle sort son autre main. J’entends qu’elle retire ses gants. Elle pose ses deux mains de par et d’autre de mes fesses, tout prêt de mon anneau sacré et les écarte autant qu’elle peut.

  • Regarder les garçons, c’est pas joli ce petit trou qui cri famine.

Si je le pouvais, je sentirais les courants d’air qui passe par mon cul laissé grand ouvert.

Puis on y introduit quelque chose. Mon plug je pense.

Devant moi Monsieur Stéphane amène une petite desserte à roulette sur laquelle est posé un ordinateur portable.

Il l’ouvre, tapote sur le clavier.

Une vidéo démarre. C’est écris en allemand.

Puis apparait une jeune blonde, nue avec des bas, à genoux.

Elle se fait prendre par un gars et en suce deux autres.

  • On te laisse de quoi te divertir Orifice. On revient tout à l’heure.
  • Oui Monsieur Stéphane. Merci.

Derrière moi on s’active.

Je sens que quelque chose vient contre mon clitoris.

On glisse un gode dans mon sexe.

Pas facile avec la place que prend mon plug.

  • Attention, je branche, annonce Laurent.

Aussitôt je sens une vibration contre, et dans, mon sexe.

De faible intensité pour commencer, elle augmente rapidement.

Pas aussi raide que le Hitachi magic wand, mais ça me chauffe bien.

Laurent passe dans mon champ de vision, il ramasse son pantalon par terre.

Monsieur Stéphane se dirige vers les escaliers, suivi d’Elsa.

Et tout ce beau monde disparait dans l’escalier…

Je reviens à la vidéo.

La fille est maintenant sur le dos sur une table, et deux hommes approchent de son visage leur verge toute molle.

Et là ils lui urinent dessus. Elle ouvre grand la bouche et tout ça bouillonne et déborde d’urine.

Elle se caresse les seins avec ce qui coule sur sa poitrine.

Un troisième lui urine sur le ventre.

Changement de vidéos.

Deux jeunes filles au bord d’une piscine taquinent la verge d’un beau male.

Elles le sucent, puis il en prend une en levrette tandis que l’autre caresse les seins de son amie.

Il jouit, se retire, elles le sucent de nouveaux et il leur urine dessus, dans la bouche, sur la poitrine, les cheveux…

Et ainsi de suite, se succèdent des vidéos à caractère urologique, tandis que le contentement m’envahit doucement au grès du ronronnement de l’appareil qui me taquine le clitoris.

 

Inévitablement, l’orgasme arrive, au beau milieu d’une scène où une jeune fille boit dans une grande coupe en verre, l’urine de deux hommes en train de la remplir.

De plaisir, mon anus se contracte plusieurs fois sur mon plug ce qui exacerbe l’explosion qui me secoue.

Les vidéos s’enchainent. Toujours des hommes qui prennent des femmes pour des urinoirs vivants.

Et ces dernières, en sont ravies…

J’avise l’heure en bas à droite de l’écran de l’ordinateur. Presque 19h00.

Un second orgasme me renverse vers 19h20.

De suite après mon petit bouton manifeste son extrême sensibilité.

J’essaie de bouger pour me soulager un peu, mais je n’arrive pas à me dégager de l’emprise de cet appareil planté en moi.

Enième vidéos. Cette fois une jeune femme est ligotée sur un fauteuil avec un tuyau relié à un entonnoir fixé à sa bouche avec des sangles. Trois hommes, à tour de rôle, grimpent sur un escabeau et urinent dans l’entonnoir. Là elle grimace et s’agite, on voit clairement qu’elle n’apprécie pas la chose.

Une autre suit.

Une femme est dans une fosse, fermée par une grille sur le dessus.

Elle est nue et a l’air terrorisé.

Plusieurs hommes se succèdent sur la grille et lui vident leur vessie dessus.

J’imagine qu’il s’agit d’un conditionnement intensif, et que moi aussi j’y aurais droit très bientôt.

Le temps passe. 19h45.

La sensibilité de mon clitoris a disparu, remplacée par un vague plaisir lancinant.

J’essaie d’élargir mon champ de vison parce que les vidéos commencent à m’insupporter, mais ce n’est guère distrayant.

Je ne vois que le mur d’en face, avec la porte de la salle de bain, le fauteuil club dans son coin et un vasistas fermé dans l’autre.

En fait, même si je ne les regarde plus, je ne peux ignorer les images qui défilent devant moi.

Se succèdent des litres et des litres d’urine qui se répandent sur des corps luisants et dans des bouches plus ou moins consentantes.

La suivante montre une femme à l’anus dilaté par un instrument chirurgical genre spéculum en plus gros, le cul en l’air, dans lequel urinent plusieurs gars.

 

Il est 20h10 quand surviennent les prémices de mon troisième orgasme.

Le plaisir montant, j’essaie de bouger pour activer son arrivée.

J’appuie mon bassin de toutes mes forces en arrière.

Que voulez vous, je ne sais pas résister au plaisir facile.

J’ai tellement vue de jets d’urine depuis une heure, que je pourrais presque en sentir le gout dans ma bouche, enfin le gout présumé, car je n’y ai jamais gouté.

Je commence à avoir mal aux membres, et en particulier aux épaules.

Sans parler des muscles du cou, vu que je dois garder la tête à l’horizontale.

De temps en temps pour les soulager je laisse tomber ma tête, mais très vite je dois la redresser à cause de la nausée qui me gagne dans cette position.

Le pire c’est la gêne occasionné après chaque vague de plaisir par ces vibrations constantes contre mon intimité.

Je suis obligé de me tortiller en vain pour tenter d’oublier ces pulsations incessantes, mais rien y fait.

L’appareil semble collé à ma chair.

La sensibilité de mon petit bouton augmente après chaque nouvelle déferlante.

On me le passerait au papier de verre que ça ne saurait pas pire, je crois….

Heureusement le gode ayant pris possession de ma conque compense, et avec le plug, je vous dis pas l’effet que ça me fait.

Surtout que chacun des mes mouvement entraine un balancement des poids au bout de mes seins.

 

20h30 s’annonce.

Je me demande ce qu’ils sont en train de faire là haut.

Mon attention est de nouveau captivée par les images de l’écran.

Deux filles en jupe, se promènent dans une ville. L’une est tenue en laisse par l’autre.

De nombreux passants les croisent.

La chienne se met à quatre pattes, lève la jambe contre un banc public et urine à même le sol.

Je comprends que l’autre est sa Maitresse à voir comment elle lui parle.

Séance d’humiliation en public.

De nombreuses personnes lui jettent des coups d’œil furtifs.

La dominante lui dit quelque chose, ce n’est pas en français, et l’autre se tourne, les fesses à l’air, et commence à lécher son urine sur le béton du trottoir.

Les gens regardent subrepticement mais n’interviennent pas, ils ne s’attardent même pas….

A nouveau je sens me gagner les frissons annonciateurs de félicité intime.

Je ne sais combien de temps ça va durer, mais je commence à être fatiguée.

L’épuisement me gagne.

Autant d’orgasmes brutaux dans une journée c’est lessivant.

 

Les même deux femmes sur les quais d’une gare, avec pas mal de monde dans le champ de la caméra. La première s’accroupie et urine sur le quai à la vue de tous.

De façon sournoise un nouvel orgasme me terrasse.

Il s’annonce à couvert, avance tapis dans l’ombre, le plaisir monte lentement et sur une simple contraction nerveuse de ma part, il se déchaine en un ouragan.

J’en tremble et pleure de longues minutes.

Je n’en peu plus. Mon clitoris est maintenait pas mal douloureux.

Sa sensibilité est devenue irritation, et l’irritation s’est transformée en douleur.

Dans un moment d’énervement passager je secoue l’ensemble du carcan sur lequel je suis attachée. Le bruit est atroce, ferraille contre pierre, mais ça ne suffit pas à m’apporter la délivrance.

Et passent encore des images devant mes yeux, toutes plus outrancières et ordurières les unes que les autres.

Bon il est vrai que je trouve ça vaguement excitant.

Etre traitée de la sorte me conviendrait assez bien, enfin de me faire uriner dessus je veux dire, parce que pour ce qui est de boire ça, je trouve ça plutôt infect.

Je me verrais bien à quatre pattes recevant l’urine de mon Maitre.

Je trouve qu’il s’agit là du summum de la soumission.

Mon désir de dégradation et d’humiliation serait largement comblé de la sorte.

 

Des bruits de pas dans l’escalier. Ils reviennent. Je regarde l’heure, il est 20h42.

J’ai passé presque deux heures ainsi harnachée.

C’est Elsa. Elle est seule.

Et je ne sais pas pourquoi, mais ça me glace le sang...

.../...

Par orificediary
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