Samedi 29 novembre 6 29 /11 /Nov 11:53

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Une demi-heure plus tard, Saint Laurent des Arbres.

Je me gare au même endroit que la dernière fois. Je prends mon sac à main dans lequel je m’assure que ma pochette de lingettes et bien à sa place, et me dirige vers la maison de Monsieur Stéphane, mon cœur battant la chamade.

Je sonne, je reconnais sa voix dans l’interphone « Oui ? ».

  • C’est Moi, Orifice, Monsieur Stéphane.
  • Bien, je t’ouvre. Entre à quatre pattes.

Diantre, ça commence fort. Je jette un coup d’œil dans la rue, alors que la porte se déverrouille. Personne, tant mieux. Je me mets à quatre pattes et pousse la porte. Heureusement tout le devant de la propriété est couvert de gazon. Il doit avoir une autre sortie pour sa voiture, pensais-je en avançant avec servilité et plaisir.

Il m’attend sur sa terrasse, assis dans un fauteuil de jardin en bois. Je me dirige vers lui.

  • Il fait beau aujourd’hui n’est ce pas Orifice ?
  • Oui Monsieur Stéphane.
  • Approche donc.

Je m’avance vers lui, non sans douleur car les dalles de la terrasse sont irrégulières, façon pierres taillées. Comme à son habitude, il fait effectuer de petits cercles à sa main avec son index pointé vers le sol. Je comprends. Je me tourne de façon à lui présenter mes fesses.

  • Soulève ta jupe !
  • Oui monsieur Stéphane.

Je m’exécute avec un certain bonheur.

  • Descend ta culotte !
  • Oui monsieur Stéphane.

Je fais glisser mon boxer jusqu’à mi cuisse et attends.

  • Et bien… ? Inspection ! Faut il que je te le répète à chaque fois ? Ecarte tes fesses !
  • Non Monsieur Stéphane. Excusez-moi.

Je pose mes deux mains sur mes globes fessiers et les écarte avec énergie. Je veux qu’il voie comment je porte haut son symbole de ma soumission envers lui.

  • Très bien. Parfait. Tourne-toi. Enlève ta culotte et donnes la moi.

Je me démène avec mes quatre membres au sol pour ôter mon boxer de mes jambes, et lui tend la pièce d’étoffe. Il la prend. La retourne pour mettre le fond de l’entre jambe en évidence.

  • Elle est propre. Approche-toi, ouvre la bouche et tire la langue.
  • Oui Monsieur Stéphane.

Bon pas de quoi s’alarmer, je sors de la douche. Même après avoir fait une demi-heure de voiture, elle doit être nette. Même si l’idée me révulse une seconde, je suis là pour obéir. J’ouvre ma bouche en tendant le cou et sort ma langue autant que je le peux.

 

 

 

Et il pose le fond de mon boxer sur ma langue et m’enfourne le reste dans la bouche.

« Tourne-toi » me demande-t-il à nouveau.

Je fais mon demi-tour, mon boxer dans la bouche, les fesses à l’air et pluggées.

Je sens ses doigts qui attrape la garde de mon Plug et qui me l’enlève sans ménagement.

Après une demi-heure de voiture, le lubrifiant a disparu, et le métal chaud accroche mes muqueuses.

Il le pose à cotés de moi, et je peux voir d’un coup d’œil qu’il n’est plus très net.

Un peu de matière fécale y est accroché par endroit.

Un filet chaud et coulant me rappelle à l’ordre, qui coule sur ma raie jusqu’à mon orifice anal.

J’entends Monsieur Stéphane qui déboutonne son jean et déchire quelque chose.

L’emballage d’un préservatif pensais-je. Il me lubrifie avec sa salive.

Et quelques secondes après je sens son gland qui se présente contre mon petit trou.

 

D’un coup de rein, il me pénètre.

Je laisse échapper un petit cri.

Je sens ses mains sur mes hanches, il me tire à lui, me colle à son bassin à chaque coup de boutoir.

Je sens son engin qui me fouraille au plus profond de mon être.

Je me laisse aller doucement vers le plaisir.

J’aime la sodomie, surtout lorsqu’elle est vigoureuse et bien huilée, si je puis dire.

Rapidement, au rythme effréné où il me conduit, j’ai un orgasme.

Brutal, sans douceur, mais ravageur. Je m’effondre de l’avant, mes épaules à terre, la croupe toujours bien haute.

Monsieur Stéphane s’arrête.

Il se retire.

Il enlève complètement ses chaussures et son jean et file à l’intérieur en me disant : « Surtout tu bouges pas ! ».

Je le vois disparaitre dans la maison, son engin toujours bien en érection. « Oui Monsieur Stéphane ».

Il revient quelques instants plus tard, alors que j’essaie de voir si des fenêtres des maisons voisines, accolées, donnent dans le jardin.

Un frisson me parcours l’échine lorsque j’en compte trois.

Il a dans la main une courgette dont la base à été coupé.

Dessus à été passé un préservatif.

Elle est de taille et je me rappelle les propos de mon Maitre la dernière fois que l’on s’est vu « Alors entraine aussi ton petit trou à recevoir du gros. Parce que la prochain fois tu vas déguster. Que tu ne t’appelle pas Orifice pour rien quand même…. ».

Sur que je n’ai pas trop fait mes exercices cette semaines, mis à part une ou deux fois avec les Plug.

  • Mets-toi accroupi !
  • Oui Monsieur Stéphane.

Je me mets accroupie devant lui. Il m’enlève le boxer de ma bouche, et j’en profite pour m’humecter les lèvres.

  • Je te laisse 20 secondes pour bien lubrifier cette courgette et après tu t’empaleras dessus, me dit-il en me coiffant de mon boxer.

Et il me tend la courgette devant ma bouche. J’entreprends de la lubrifier au maximum, même si je n’arrive pas à l’introduire dans ma bouche. Ma langue s’active comme une bonne chienne que je suis devenue, tout en m’inquiétant. J’arrive à gober le Plug, mais pas la courgette. Je sens que ça va être laborieux pour mon petit trou. Vingt secondes ça passe vite quand vous souhaitez avoir plus de temps…

  • Ça suffit ! Dit-il en me la retirant.

Il se baisse et glisse la courgette bien droite, la base coupée sur le sol, et l’autre devant mon anus.

  • Vas y descend ton cul. Et maintiens la bien. Chaque fois que tu la laisseras tomber ça sera une croix.

Je m’assoies donc dessus. Son extrémité vient se coller à mon petit trou. Je maintiens une pression raisonnable pour lui éviter de tomber, mais ça va être dur pour la pénétration. Les mains en appuie en avant, accroupie, je me fais l’effet d’une grosse grenouille en train de s’empaler. Je force la pression en sentant mon anus s’ouvrir doucement, mais visiblement la lubrification ne suffira pas. Monsieur Stéphane se plante devant moi, sa queue sous mon nez.

  • Ouvre la bouche !
  • Oui Monsieur Stéphane.

Et j’ouvre la bouche pour le gober, comme une bonne chienne que je suis devenue. Ses mains se placent sur mes épaules et doucement il commence à exercer une grosse pression. Il va me forcer à m’enfiler sa courgette. Je grimace, ça fait mal et surtout ça ne veut pas rentrer. La courgette glisse et s’échappe, elle tombe au sol avec un bruit mat.

Monsieur Stéphane se retire aussitôt, et se penche sur son jean à terre. D’une poche il en sort mon carnet et un stylo. Et d’une, me dis-je.

  • Appliques toi s’il te plait, me dit-il.
  • C’est que, ça a du mal à rentrer Monsieur Stéphane.
  • Tu veux un peu de lubrifiant ?
  • Heu... Oui c’est pas de refus, Monsieur Stéphane. Après tout si j’ai le choix pourquoi se priver, me dis-je….
  • Alors je t’explique comment ça se passe. Cette courgette d’une façon ou d’une autre elle va rentrer dans ton cul de petite salope, avec ou sans lubrifiant. Mais si c’est avec, c’est direct 5croix en plus. Tu choisis….

L’escroc !... D’un autre coté, ses croix je ne peux pas dire que j’ai eu à en souffrir jusque là. Je ne sais pas encore à quoi ça correspond vraiment, ni à quoi je m’engage… Allez, ça sera plus agréable avec du gel…

  • Je veux bien du gel, Monsieur Stéphane.
  • Ok, donc 5 croix de plus, me répond-il le nez dans le carnet.

Je sais pas pourquoi mais j’ai la désagréable impression que je vais les regretter ces croix.

Il repart dans la maison et en revient avec un flacon de gel Durex. Il attrape la courgette par terre et en enduit copieusement l’extrémité. Il la remet debout et me dit :

  • Vas y, accroupis toi dessus.
  • Oui Monsieur Stéphane.

Et je reprends ma position de grenouille. Je sens la fraicheur du gel sur ma muqueuse. J’entreprends à nouveau de m’enfiler ce légume.

Monsieur Stéphane me remet sa tige sous le nez. Docilement j’ouvre la bouche et reprend ma tache.

De nouveau ses mains poussent sur mes épaules, et je sens mes sphincters qui s’ouvrent doucement.

Le travail des muscles qui se distendent me fait ressentir une vive sensation de chaleur. J’essaie de résister à la pression exercée par mon Maitre, car je souhaiterais diminuer la charge sur mon anus.

M’y reprendre à plusieurs fois quoi, pour plus de confort. Y allez par petit coups, mais rien n’y fait, Monsieur Stéphane ne me laisse pas faire.

Il entend bien que je m’ouvre d’un coup, sans pause.

Ça chauffe de plus en plus, et finalement mon cul s’ouvre en plein, laissant passer la courgette. Une vive douleur au début me force à grimacer, sans ralentir mon rythme buccal. Puis le plaisir commence à se manifester.

Finalement c’est si bon d’être là, le cul possédé, la bouche occupée et mon âme et mon cœur soumis.

 

Je redouble d’ardeur avec ma bouche et commence à effectuer de petits mouvements du haut vers le bas avec mes fesses. Je sens l’énorme légume glisser en moi. Mes deux mains à plat sur le sol, je m’empale avec volupté sur cette courgette, les yeux levée vers ceux de mon Maitre. Lui, il me regarde fixement appréciant ma condition. Il rajuste le boxer qui me tombe sur le front, m’empêchant de profiter de son regard. Puis ses mains quittent mes épaules et viennent se placer derrière ma tête.

Je sens que je vais déguster… Dans tous les sens du terme…

 

Et ça ne loupe pas, je me retrouve avec sa hampe au fond de ma gorge.

Le plaisir anal aidant, je supporte plutôt bien cette intrusion. Une salive épaisse commence à me couler sur le menton et sur ma poitrine, tandis que Monsieur Stéphane dégage son engin de mes amygdales.

Il ne me quitte pas des yeux.

Moi je me laisse allez au plaisir. J’hésite à me caresser le sexe.

Je ne sais pas si j’ai le droit ou pas.

Tant pis j’y vais, une de mes mains s’égare sur ma conque et commence à la frotter frénétiquement.

J’ai toujours éprouvé un plaisir décuplé à me caresser en suçant un homme. Je trouve cela très excitant, pour l’homme et très avilissant, pour moi.

Monsieur Stéphane ne dit rien. Je ne boude pas mon plaisir… Et lui non plus visiblement.

Finalement l’orgasme vient, au moment où il se repend dans ma bouche. C’est fou l’effet que peut provoquer une éjaculation dans la bouche. Moi ça m’envoie en l’air sans coup férir.

Je me rappelle des consignes de mon Maitre.

Je n’avale pas et j’ouvre le bec bien grand.

Monsieur Stéphane jette un coup d’œil dans ma bouche.

  • C’est bon régale toi.

J’avale.

  • Merci Monsieur Stéphane.

Si il y a bien un moment où je me sens chienne comme jamais c’est bien lorsque je me régale d’une rasade de sperme. Enfin quand je me dis que je me régale c’est qu’une façon de parler parce que au niveau gout, bof…. C’est plus l’idée d’être assez salope pour tout gober que la valeur gustative du produit qui m’intéresse.

Je suppose que l’intérêt de me faire ouvrir la bouche et d'attendre l'autorisation d'avaler est là juste pour me rappeler ma condition de soumise au bon vouloir de son Maître. Je ne déteste pas.

Je me mets à genoux et dégage la courgette qui maintenant et devenue plutôt inconfortable. Ce faisant elle tombe.

J’ai à peine réalisé que j’entends « Et une croix de plus ! ».

Hey... Mais c'est pas du jeu. On avait fini là non ??? Bah au point où j’en suis…..

Monsieur Stéphane me fait un geste du doigt pour que je reste au sol et rentre dans sa maison.

Il ressort avec mon collier et ma laisse.

Il me passe le collier autour du cou, y accroche la laisse et m’entraine avec lui à l’intérieur….

.../...

 

Par orificediary
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