Mercredi 3 décembre 3 03 /12 /Déc 09:27

Voilà plus de dix jours que je n’ai pas de nouvelles de mon Maitre.

Et, vous allez rire, ça me met dans un état de stress pas possible.

Force est de constater que j’ai développé une forte dépendance à ma soumission.

Pour vous dire à quel point, lors de mon passage chez Bodyhouse, pour l’achat de mon vibromasseur, j’avais remarqué des colliers en cuir mauves avec de petites pointes en inox.

Ben je suis allez m’en offrir un, avec la laisse.

Et je l’ai porté toute la soirée qui a suivi.

Allant me mater dans une glace à chaque fois que l’envie me prenait.

Bon inutile de vous dire que ça a fini sur mon lit, avec les doigts poisseux.

 

A cette époque, je commençais à m’inquiéter un peu de la tournure que prenait cette dépendance.

Mais, malgré tout, quelque part, j’en étais très heureuse, car je sentais que je perdais pied, que je m’étiolais dans cette relation et que ce « lâcher prise » était jouissif.

Je réalisais au fond que c’est ce que j’avais toujours voulu.

Que ça faisait partie de moi.

Que j’étais faite pour vivre ça.

C’était comme céder à un démon tentateur en se disant que de toute façon on ne pouvait pas lutter.

On se dit qu’on est bonne que pour ça et qu’il est inutile de penser à agir autrement.

Que le combat est perdu d’avance, et que quoi qu’il arrive on finira à genoux la bouche ouverte.

Totalement résignée quoi…

 

En l’état actuel des choses, j’aurais aimé vivre auprès de mon Maitre pour être à sa disposition nuit et jour.

Il me l’aurait demandé j’aurais accepté dans la seconde.

Offerte et soumise, voilà ce à quoi j’aspirais à cette époque.

De nos jours, de l’eau à passé sous les ponts et j’ai mûri.

Je regarde tout ça avec beaucoup plus de sang froid.

Mais malgré tout ce désir de dégradation et d’obéissance est toujours là.

C’est juste que je le gère mieux.

Mais pour l’heure, j’en suis réduite à regarder dans ma boite aux lettres plusieurs fois par jour des fois que le facteur aurait du retard.

 

Quelquefois j’ai eu envie d’en parler à une amie.

Il faut vous dire que je suis très entourée, et par ma famille et par mes amis, dont certains sont des amis d’enfance.

Et tout naturellement lorsque je fus troublée par l’ampleur que prenait cette relation, j’ai éprouvé le besoin de me confier à quelqu’un de proche, une grande amie.

Mais je n’osais franchir le pas.

Comment me verrait-elle après de telles révélations ?

Vous allez me dire, les amis ne sont pas là pour juger, mais pour aider…

Oui mais bon, pas facile…

Et puis j’estimais, à cette époque, que je pouvais arriver à gérer tout ça toute seule.

 

Ce mercredi, je découvre, dans ma boite aux lettres, non pas une enveloppe mais un colis.

Je suis toute émoustillée et je file me jeter sur le canapé avec ce paquet dans mes bras.

L’ouverture est plutôt rapide, vous vous en doutez.

Dedans se trouve un plug en silicone de couleur chair, qui doit faire au moins 7cm de diamètre sur sa plus grande largeur, et une lettre.

 

« Bonjour Orifice, je souhaite que vendredi tu ailles travailler équipée de ce plug et que tu le gardes le plus longtemps possible. Attention tu seras contrôlée.

Samedi je t’attends chez moi, à 17h00, avec ce plug, en jupe et sans culotte.

Monsieur Stéphane »

 

Je serais contrôlée ???

Il n’envisage quand même pas de débarquer à mon boulot pour une inspection. ???

Je ne sais qu’en penser. Serait-il capable de faire ça… ????

Je suis à la fois outrée de cette intrusion dans ma vie professionnelle et terriblement excitée à l’idée de céder un peu plus de terrain à ce Maitre envahissant.

Bon, aucune indication quand à ma tenue vestimentaire pour allez bosser.

Je me dis qu’un jeans serait de bonne augure, ça évitera les accidents.

 

Mais tout d’abord voir si j’arrive à m’introduire cet engin.

Je prends une douche avec ce nouveau compagnon et mon tube de gel.

Je l’enduis abondamment, et me passe également du gel sur mon petit trou.

J’arrive à glisser la première partie sans trop de problème, mais ça coince arrivé à peu près au deux tiers. La force de mes bras ne suffit pas à soumettre mes sphincters.

Je décide de poser le plug sur le rebord de la baignoire et de m’empaler dessus.

Doucement sans précipitation, je glisse sur ce volume proprement ahurissant.

Je me caresse pour aider.

Le plaisir est un puissant moteur pour ce genre de pratique.

Lentement je le sens prendre possession de mon anneau sacré.

J’y suis presque, je passe le point culminant et soudain mes muscles annaux se referment dessus.

Toujours ce plaisir extrême lorsque mes sphincters le poussent à s’enfoncer d’avantage.

Je pousse littéralement un « Ouf ! » plus pour souligner l’énorme volume qui vient de m’investir que pour me dire soulager que ça soit passé.

Je me finis tendrement à la main, à cheval sur le rebord de la baignoire.

Je décide de la garder toute la soirée, pour avoir un avant gout de ce qui m’attend vendredi.

 

On s’y fait.

Il faut juste prévoir un peu de crème, à passer de temps en temps entre la garde et la muqueuse annale pour éviter les irritations, surtout si vous prévoyez de marcher beaucoup.

Le silicone au bout d’un moment ça accroche la peau.

Après c’est une sensation plutôt curieuse.

En fait tout se passe dans la tête je pense.

Si vous n’êtes pas dans le trip, une grosse gêne s’installe vite.

Alors que si vous le portez par pur avilissement, c’est que du bonheur.

Comme à mon habitude je vais me regarder plusieurs fois devant ma glace.

Je me cambre en me dévissant la tête afin de me voir.

Quel plaisir de se sentir ainsi posséder, j’aimerais que mon Maitre soit là.

 

Après un long moment je me dis que je devrais peut être l’essayer avec un jean, comme je prévois de le faire vendredi.

Je passe donc un shorty, et un jeans.

Je m’active dans mon appart’.

Je m’assois, me relève, va et viens.

Ça va, c’est assez peu confortable, mais aussi très excitant.

Dans les premières minutes, j’ai l’impression qu’un truc énorme dépasse de mes fesses, et que ça se voit.

Mais après plusieurs vérifications, absolument rien n’est visible, même en me baissant ou en me mettant accroupi.

Validation faite, je vais me coucher en priant que samedi arrive vite.

 

Vendredi matin. Je suis encore toute stressée.

Je me demande comment Monsieur Stéphane va venir vérifier que j’applique bien ses consignes.

Est-ce juste de l’intox pour me forcer à me plier à ses exigences ?

Je suis impatiente et inquiète à la fois. Comment va se dérouler cette journée ?

J’arrive au travail à 8h55.

Bonjour aux collègues, et je rejoins mon bureau.

La matinée se passe sans soucis.

Je m’éclipse plusieurs fois aux toilettes pour remettre un peu de crème.

Arrive une réunion, que j’espère la plus courte possible.

Tu parles, 45mn, je me suis tortillée sur ma chaise durant le dernier quart d’heure.

Une fois libérée, je file aux toilettes pour apaiser mes fesses.

Sur le chemin, je reçois un SMS.

 

J’ouvre mon portable :

« Orifice tu as 3 minutes pour m’envoyer une photos de ton cul où l’on voit distinctement, une croix faite au marqueur, sur ta fesse gauche.. Bouge-toi…. ».

Ah ben oui, efficace comme contrôle.

J’aurais du y penser…

Demi-tour, je retourne au bureau chercher un marqueur.

J’essaie de marcher vite malgré l’échauffement….

Je fouille frénétique les tiroirs de mon bureau à la recherche d’un marqueur.

Pas un outil indispensable dans mes fonctions.

J’en trouve un, à petite pointe.

Je vérifie qu’il fonctionne bien, ça fera l’affaire.

Je cours littéralement aux toilettes.

Je m’enferme.

Défait mon jean, baisse mon shorty.

Maladroitement, avec le feutre, je tente de dessiner une croix sur ma fesse gauche.

Pas facile quand on est droitière. Je repasse plusieurs fois pour compenser la finesse de la pointe.

Lorsque je pense la chose faite correctement, je me penche en avant et avec mon portable, je tire plusieurs photos dans différentes positions.

D’en haut, d’en bas, d’en dessous, de coté.

Sur la dizaine que je réalise, seule deux sont exploitables.

Où l’ont voit le plug à poste et la croix.

Rapidement, fébrilement dirais-je, je tapote mon écran pour l’envoyer à Monsieur Stéphane.

C’est fait.

Je regarde l’heure de réception de son SMS, 11h06, et il est 11h10.

Je croise les doigts pour que ça passe.

L’attente est interminable. Finalement mon téléphone vibre. Je regarde.

 

« 22 secondes de retard. Peux mieux faire. 5 croix pour la peine. A toute à l’heure »

 

Merde ! J’ai pourtant fait mon possible.

Bon au moins il sait que j’ai respecté ses consignes.

J’en avais presque oublié de me passer de la pommade.

Je soulage mes muqueuses et sors des toilettes.

Il m’a dit à toute à l’heure ; je dois m’attendre à une autre photo à tout moment.

La pause déjeuner arrive assez vite.

Comme à mon habitude je sors déjeuner avec quelques collègues.

Le quartier d’Avignon où je travaille et très bien achalandé en snack, bistro, restau et brasseries.

On y a nos habitudes.

Mais je ne sais pourquoi, mes sens restent en éveil.

 

On s’installe à une terrasse, pour profiter du beau temps et je ne cesse de scruter les gens alentour, m’attendant à voir mon Maitre surgir et me faire signe de le suivre aux toilettes.

En fait, pour ne rien vous cacher, je l’espère, je le souhaite même.

Mais personne ne pointe le bout de son nez de tout le déjeuner.

J’avoue être un peu déçue lorsque nous quittons la table.

Retour au boulot.

Encore une réunion, avec mon personnel cette fois.

En pleine projection PowerPoint, je sens mon téléphone vibrer sur la table.

Bien sur je suis obligée de laisser passer, interdisant moi-même l’usage des portables durant mes réunions.

Je continue donc ma présentation comme si de rien n’était, alors qu’un ouragan se déchaine dans ma tête.

Quelques minutes après il vibre de nouveau.

La sentence, me dis-je intérieurement.

 

La réunion s’achève enfin.

J’ai grand peine a me retenir alors que mes collaborateurs quittent la pièce.

Une fois le dernier sorti, je me jette sur mon portable.

Premier SMS :

« Orifice tu as 3 minutes pour prendre une photos de ton cul où l’on voit distinctement un triangle sur ta fesse droite. »

Et le second :

« Raté, 5 croix de mieux ! ».

 

J’hésite à répondre, mais garder le silence serait encore pire, je crois.

Je tape « Désolée Monsieur Stéphane, j’étais en réunion à réception de votre SMS. Toutes mes excuses. »

Voilà, je n’espère pas la moindre mansuétude de sa part mais je me devais de fournir une explication.

Bon au moins j’en ai fini pour les réunions pour aujourd’hui.

Je suis dans mon bureau, seule lorsque arrive une troisième demande.

« Orifice tu as trois minutes pour m’envoyer une photos de ton cul avec un post-it portant mon titre ».

J’attrape ma pile de post-it, je griffonne dessus « Monsieur Stéphane » et file à nouveau aux petits coins.

Comme la première fois je prends plusieurs photos sous divers angles, et choisis la meilleure. On y distingue la garde de mon plug, mes fesses, une parie de mon sexe, et le post-it où l’on peut lire à demi-mot « Monsieur Stéphane ».

Je l’envoie et vérifie l’heure. 15h20 pour le SMS de mon Maitre et 15h22 pour ma réponse.

Suis contente de moi.

Réponse de Monsieur Stéphane « Très bien, bel effort. A toute à l’heure… »

Encore ???

 

La tension commence à se faire sentir. Etre sous contrainte toute une journée comme ça c’est assez stressant à vrai dire. Mon cœur s’emballe chaque fois que téléphone danse sur mon bureau.

Des amis, la famille ou des pubs pour la plupart.

16h00, encore lui. « Orifice tu as 1mn30 pour me faire une photos de ton cul dans ton bureau »

Délicat là.

Je file verrouiller la porte en espérant que personne ne viendra me voir.

Trouver ma porte fermée à cette heure ci semblerait curieux à n’importe qui.

Je descends mon jeans, mon shorty, me mets à genoux sur mon fauteuil et d’aussi loin que mes bras me le permettent, je prends plusieurs photos en essayant de montrer mon environnement de travail.

Sur tous les clichés effectués, j’en choisi un où l’on voit bien mon cul pluggé, une partie de mon bureau, l’accoudoir de mon fauteuil, les plantes vertes et l’armoire de rangement derrière moi.

J’ai été rapide. Et la réponse ne l’est pas moins. « Parfait, tu t’améliores. A toute à l’heure. »

Encore ???!!!

 

Je passe les deux heures suivantes à guetter le moindre signe d’activité de mon portable.

Que de fausses alertes…

18h30 il est temps de rentrer à la maison.

Je regarde une dernière fois mon téléphone. Rien…

Son « A toute à l’heure » devait juste être là pour maintenir la pression.

Je sors sur le parking et me dirige vers ma voiture.

Il fait gris et venteux, depuis ce midi le temps s’est bien dégradé.

Je m’installe au volant et vais pour boucler ma ceinture, lorsque mon téléphone se manifeste.

J’ai comme une appréhension en le prenant.

Appréhension confirmée « Bonjour Orifice. » Et rien d’autre….

Je sursaute, une silhouette vient de taper au carreau coté passager.

Monsieur Stéphane ouvre ma portière sans vergogne et s’assoit à coté de moi.

Mon cœur s’emballe et je bredouille « Bonjour Monsieur Stéphane ».

  • Tu as l’air surprise. Je t’ai pourtant dit à tout à l’heure…
  • Heu… Oui, Monsieur Stéphane. Mais je pensais que vous parliez du télé…
  • Peu importe, me coupe-t-il, passe sur ta banquette arrière.

Et il descend, pour monter derrière.

Je fais de même, non sans avoir jeté un coup d’œil sur le parking.

Heureusement, à cette heure ci les sorties sont rares, il ne reste que le personnel posté qui finit à 20h ou quelques cadres.

J’ouvre la portière arrière et m’installe sur la banquette.

  • Inspection !

Je m’y attendais pour tout vous dire.

Je me démène pour faire glisser mon jeans et mon shorty sur mes cuisses. Une fois fait, je me mets à genoux pour présenter mes fesses à mon Maitre.

Sans crier gare il me retire mon plug et le laisse tomber sur la moquette au sol.

A son tour il défait son jeans.

Oh non ! me dis-je….

 

4367492.jpg

 

Il va me prendre sur le parking de mon boulot.

Je me sens envahi par une honte soudaine, et une grande peur.

Je sens sa salive couler sur mon cul et presque aussitôt il m’enfile.

Je pousse un petit cri et me laisse tomber les épaules sur la banquette.

Il commence à me besogner vigoureusement.

Je sens ses mains sur mes hanches.

Puis il me remonte mon chemisier jusque sur les omoplates et passe les mains sous mon soutien gorge.

Il me dégage les seins et les saisit à pleine main.

 

Tout à mon plaisir j’implore le ciel que personne ne sorte sur le parking.

Délicieux moment que l’angoisse qui vous tenaille de vous faire voir par quelqu’un que vous connaissez.

Vous ne savez de quel coté pencher. L’angoisse ou le plaisir ?

Bien sur les conséquences d’un tel acte sur le parking de mon entreprise à une heure où j’ai toute les chances de tomber nez à nez avec un de mes patrons, me traverse l’esprit, mais inconsciente que je suis, cela attise mon plaisir et le décuple.

Que tous sache quelle salope je suis vraiment, est un fantasme qui me séduit.

Être obligée de croiser le regard des gens qui sauraient ce que je suis au fond de moi m’excite au plus haut point.

Pour l’instant je me laisse allez.

Non, en fait je participe activement. Mon cul vient à la rencontre de son ventre dans un tempo halluciné qui m’arrache des plaintes et des cris.

Ça ne dure que quelques minutes, mais ce sont des minutes d’une intensité sans pareille.

Durant mon orgasme j’en bave sur la banquette tellement ma bouche reste ouverte à gémir et à vagir.

Il jouit à sont tour.

Je le sens s’épandre dans mon ventre.

Déjà il se reboutonne.

Moi je ne bouge pas, le cul en l’air, les seins à l’air, décoiffée, le souffle court.

Il me remet mon plug en place sans ménagement, mais ça rentre sans problème.

 

Je me rappelle avoir pensé à ce moment là, qu’il devait être dans un état dégueulasse après avoir passer la journée dans mon ventre et quelques minutes sur la moquette salle d’une voiture, avec plein de cochonneries collées dessus.

Mais à cet instant précis je m’en foutais complètement.

J’étais tout à mon atterrissage, alors que j’entendais vaguement Monsieur Stéphane me dire « A demain Orifice » suivi d’un claquement de portière qu’on referme.

Quelques secondes s’écoulent avant que je ne fasse le moindre geste.

Doucement j’émerge.

Je me rembraille tant bien que mal sur cette étroite banquette.

Je rajuste mon soutien gorge et passe une main dans mes cheveux.

Je jette un œil sur le parking, personne.

Je sors et reprend ma place de chauffeur.

J’essaie de me remémorer les voitures qui étaient présentes quand je suis sortie, voir si quelqu’un est parti dans l’intervalle mais je n’y arrive pas.

Je ne pourrais jurer que toutes les voitures présentes quand j’ai quitté mon bureau soient encore là maintenant.

J’espère sincèrement que personne n’est sorti pendant que je me faisais secouer par mon Maitre à l’arrière de ma voiture.

Et je repense avec un petit sourire au fantasme qui m’animait tout à l’heure.

Je démarre et rentre chez moi....

Vivement demain....

.../...

Par orificediary
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