Mardi 2 décembre 2 02 /12 /Déc 10:00

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Le premier client se finit à la main, retire son préservatif et m’éjacule sur la poitrine, le second jouit dans sa capote peu après.

Comme j’aimerais pouvoir l’avaler…

Une claque vient résonner sur une de mes fesses. Le bucheron se régale apparemment.

Ah, j’ai déjà une autre queue toute emballée sous le nez, mais pas de billet…

Je fais le geste universellement connu du pouce et de l’index mimant le froissage d’un billet.

Il fait le distrait, et sort un billet de son jeans.

T’as raison, coco, des fois ça peut marcher…

Je veux bien faire la pute, mais pas pour la gloire, j’ai des fringues à racheter moi.

 

Et je le gobe aussi sec.

Une deuxième main lourde s’abat sur ma fesse.

Et une autre queue capuchonnée se présente devant moi avec, cette fois des pièces.

Pratique tient…

Je les prends sans même vérifier qu’il y a le compte, parce que trop occupée.

Je passe d’une tige à l’autre.

Finalement le besogneur a un râle et se retire.

Je sens un liquide chaud sur mes reins.

Je me retourne et le vois sa capote dans une main et sa queue ramollissante dans l’autre.

Allez plus qu’un à me prendre et j’aurais mon compte.

Mais personne ne semble se présenter, tandis que mon bucheron m’enjambe à nouveau et disparait dans le couloir derrière les mateurs.

Va falloir que je suce encore trois mecs…

Pfff je commence à avoir les mandibules fatiguées là.

Je m’active sur mes deux queues.

Assez rapidement la première rend les armes en longs jets épais et chauds, sur ma poitrine.

J’en gémis de contentement.

J’aime marquer ma satisfaction par des gémissements.

 

Pour la seconde, le monsieur se prend en main et me dirige vers ses valseuses.

Il est rasé sous les testicules, c’est agréable.

Je lui dispense de grands coups de langue tandis qu’il s’astique.

Il finit par me jouir dans l’oreille et les cheveux.

Lorsqu’il se retire, je distingue derrière lui un homme à genoux en train de prodiguer une fellation à un autre.

J’ai envie de dire « Hey ho les gars, je suis là… », mais après tout s’ils veulent jouer entre eux…

Et puis c’est la première fois que j’assiste à un tel spectacle, et c’est pas déplaisant.

Se passe quelques minutes, durant lesquelles je n’ai plus de candidat malgré les hommes toujours agglutinés devant la porte.

J’imagine qu’ils profitent de la scène.

Je suis là, offerte, à genoux, la poitrine et les cheveux maculés de sperme, et des biftons dans la main…

De quoi susciter le spectacle.

Je décide de les chauffer un peu.

Je passe un doigt sur mes seins et étale le sperme en dessinant de petits arabesques avec l’air le plus mutin et coquin que je puisse prendre.

Je ne sais si c’est dû à mon interprétation mais un gars bouscule les autres et s’approche.

Il à l’air plus jeune que les précédents, il me tend son billet et déballe son engin.

Mazette ! Un fort bel engin je dois dire…. Il est n’est pas encore en complète érection.

Une fois protégé, je le prends en bouche.

Il grossit rapidement et tout aussi rapidement il me l’enfonce jusqu’aux amygdales.

Encore un adepte du deepthroat.

 

Bon je manque encore de pratique et à plusieurs reprises je dois interrompre l’exercice pour reperdre mon souffle et combattre mon envie de vomir.

Je sens des larmes qui coulent sur me joues, réflexe dû à l’introduction profonde de sa verge au fond de ma gorge.

Là tout de suite je me dis que j’aimerais me voir dans une glace, mon rimmel sur les joues, du sperme sur tout le corps… je dois payer tient.

Il finit par me coller ma bouche sur ses testicules, lui aussi, et se finit à la main.

Encore une rafale sur la poitrine.

A peine rembraillé, un autre prend sa place. Un vieux monsieur aux chevaux blancs et avec une belle brioche. Je prends son billet.

J’aime bien les hommes ventripotents, je les trouve confortables et sexy.

J’adore les voir de profil et nu, avec leur ventre rond qui les empêche de voir leur sexe.

Comme on dit par chez moi, un boulanger est gros à partir du moment où la brioche cache la baguette.

Il y a eu une période où je sortais qu’avec des hommes de plusieurs années mes ainés et j’appréciais tout particulièrement ceux dotés d’un beau bulbe.

Un psy ferait sans doute allusion au besoin de retrouver le père, mais je m’en tape.

J’aime les hommes aux ventres proéminents et puis c’est tout.

C’est comme ça, faut pas chercher.

 

Je reviens à mon représentant du 3eme âge, c’est rigolo de voir un sexe couronné de poils blancs.

Mais il en est pas moins vigoureux que les autres. Je l’attrape et l’enfourne.

Après tout ce dur labeur ma langue commence à être un peu douloureuse et fatiguée.

Mais je continue, je ne risque pas de baisser les bras…

Je me ménage de petites pauses, où mes mains ou mes lèvres prennent le relais.

Un autre gars s’approche avec sa tige dans une main et des pièces dans l’autre.

J’encaisse et attend qu’il l’emballe.

Je passe d’une queue à l’autre avec régularité, en regrettant que quelqu’un ne se décide pas à me prendre en même temps.

Le vieux se finit à la main, également.

Ça en est vexant…

A douter de mes talents de suceuse…

Mais je me rattrape avec l’autre, qui s’épanche dans mes cheveux.

Un homme se faufile jusqu’à moi et passe derrière moi.

Il est grand et mince comme une asperge.

Une fois enfilé sa capote, il m’attrape les hanches et me pénètre d’un coup sec.

Enfin quand je dis sec, c’est une expression parce qu’aucun des mes orifices ne l’est plus depuis un bon moment déjà.

Bon, plus rien à faire avec ma bouche…

 

J’en profite pour jouer un peu, je gémis, je passe ma langue sur mes lèvres, les yeux mi-clos.

Merde, d’un coup je percute.

Celui qui s’active derrière moi ne m’a pas payé.

Faudra que je le choppe avant qu’il ne sorte.

En même temps je ne sais plus où j’en suis dans mes comptes.

J’essais de faire le compte de fellations et de pénétrations, mais je n’y arrive pas.

Je me dis que du coup va falloir faire du rabe pour être sur d’arriver et de dépasser les 50€.

J’ouvre la bouche bien grande et tire une langue gourmande, comme pour leur signifier mon envie de sucer encore et encore.

Je me fais l’impression d’être dans un dessin de Manara, où son héroïne, Claudia Cristiani dans le Déclic (BD que je vous recommande au plus haut point), tend le cou en sortant une langue obscène assumant son plaisir forcé.

Le gars derrière moi ne me procure pas plus de plaisir physique que le premier, mais cérébralement je m’envole.

Faire la pute à 5€ pour une bande de singes est assez stimulant de mon point de vue.

Je regarde avec insistance le gars en train de se faire sucer par un autre homme.

Nos regards se croisent, j’insiste. Il comprend.

En deux pas chassés, il s’approche de moi, son mignon toujours la bouche collée à son ventre.

Je me fais une place à ses cotés et nos deux langues s’activent sur sa hampe.

Je jette un œil au suceur qui besogne avec moi, et je lis dans ses yeux de l’excitation.

Il apprécie de se trouver aux cotés d’une femme.

Mon imagination s’enflamme. Je n’ai jamais vu un homme se faire sodomiser par un autre, et l’idée d’assister à un tel spectacle m’émoustille énormément.

J’aimerais beaucoup que les choses évoluent de cette façon…

 

Nous avons chacun une main sur la tête, tandis que nous redoublons d’efforts pour amener notre proie au plaisir.

Tout le monde semble apprécier le show.

Finalement, autant devant que derrière, l’orgasme arrive vite.

Le premier nous jouit dans les cheveux, et le second dans sa capote.

Avant qu’il ne s’échappe je l’attrape par le poignet et lui dis : Hey, vous n’oubliez rien ???

Il se dégage, et, sans un mot, disparait en se faufilant au milieu le groupe.

Zut ! Me suite faite avoir….

Là encore, j’insiste sur ce besoin, mais j’aimerais pouvoir m’admirer dans une glace, le visage zébré d’un long trait de foutre. En y repensant, il n’y a que dans ces situations que je me sens vraiment belle et attrayante.

Non pas que je ne le sois pas dans la vie de tous les jours, mais là, tout particulièrement, si j’étais un mec je me prendrais sans hésitation.

Les adeptes de la soumissions comprendrons certainement ce que je veux dire, et pour les autres, qu’ils sachent que je ne me sens magnifique, épanouie et heureuse que lorsque j’affiche mon coté salope, sans aucune vergogne.

Et quelle meilleure façon de l’afficher qu’en ayant du sperme dans les cheveux, sur le visage, les seins et les reins…

Je me rappelle avoir lu une nouvelle érotique, où une dame racontait ses aventures extraconjugales.

Et tout particulièrement, j’avais noté son habitude de se précipiter dans la salle de bain dès que ses amants lui avaient giclé sur le visage.

Eux, pensaient qu’elle filait se nettoyer, mais en fait elle allait s’admirer dans la glace.

Elle se trouvait remarquable et désirable comme jamais dans ces moments là.

A l’époque, j’avais trouvé ça curieux.

J’ai mis du temps à comprendre la signification de ce rituel, et ce besoin de me voir telle que je suis vraiment, à l’intérieur.

Encore un mec qui s’approche. Il me jette son billet par terre, et sort sa queue. Avec servilité je le ramasse, et commence à le sucer.

 

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Une silhouette s’avance, et je reconnais mon Maître.

Un sourire intérieur m’illumine soudainement alors qu’il passe derrière moi.

Là je suis la plus heureuse des femmes.

Je sens une des ses mains sur mes hanches, et l’autre m’ôte mon plug.

Instantanément le plaisir physique qui me faisait défaut jusque là, se manifeste.

Ma conque se trempe et je redouble d’effort avec ma bouche et ma langue.

Je sens un filet chaud qui me coule entre les fesses… Il me lubrifie.

Ce que je ressens lorsque son gland se présente sur mon anus est magique.

Un réel frisson me parcourt de la tête au pied, et sans ménagement il m’enfile.

J’ai longtemps eu ce désir secret d’être prise par derrière tout en suçant un autre homme, comme beaucoup de femmes j’imagine….

Mais j’étais loin de m’imaginer le concrétiser un jour de cette façon.

La bouche pleine je ne peux m’empêcher de gémir, et m’arrête de temps en temps afin d’exprimer mon plaisir de façon plus vocale et audible. J’ai l’impression d’avoir une langue d’un kilomètre de long, je la passe partout où je peux.

Le plaisir monte en moi comme un raz de marée rapide, que rien ne peut endiguer.

De sentir les mains de mon Maître sur ma taille, et sa queue prendre possession de mon cul, je suis au paradis.

Et les regards libidineux qui courent sur moi ne font rien pour atténuer mon extase.

Je suis sur le point d’exploser, la bouche grande ouverte dans un cri muet, les yeux clos et tous ces yeux posés sur moi au moment le plus intime.

Je ne connais pas de meilleur orgasme que celui que l’on a devant des tiers.

Je suis ravagée de haut en bas, je tombe en avant, les deux mains au sol.

Le plaisir parcourt mon échine comme un courant électrique venu du tréfonds de mes reins.

Doucement ça passe, en me laissant cette impression d’immense tendresse et de bonheur que je ressens après un orgasme en général.

Mais Monsieur Stéphane n’a pas fini, pas plus que celui que j’étais en train de pomper.

Je m’y remets donc, tout en continuant à me faire défoncer par mon Maître.

L’avantage que nous avons, nous autres femmes, c’est qu’après un orgasme, le plaisir revient vite.

 

En l’attendant, je me donne à fond, et finis par recueillir le fruit de mon travail oral.

Une belle éjaculation, longue et poisseuse.

J’en ai finis avec lui, reste mon Maitre, pour mon plus grand plaisir.

Je me redresse et me colle contre lui, en exhibant ma poitrine maculée aux regards lubriques de la foule.

Monsieur Stéphane passe ses mains sur mes seins, sans se soucier du sperme dont ils sont copieusement enduis.

Ses doigts glissent sur ma peau blanche en étalant l’expression du plaisir des hommes que je viens de sucer.

Je frissonne tant j’apprécie de me donner à Lui de cette façon.

Je tends mes bras en arrière et lui caresse les cheveux.

Je le sens au fond de moi, allant et venant avec passion.

Je me régale du regard de tous ces hommes qui me voient telle que je suis vraiment, sans fard ni masque.

Cela rajoute à mon plaisir et le décuple.

Je bouge de façon rythmée, en m’empalant sur sa verge chaque fois qu’il remonte ses reins.

Une de ses mains descend sur mon sexe et me caresse frénétiquement le clitoris, m’exhortant à la jouissance.

Il s’active de plus en plus vite, et me glisse deux doigts dans la vulve.

Je le sens sur le point de jouir.

Moi aussi, ça vient à nouveau.

Je me cambre lorsque le séisme arrive, j’ai encore un ou deux soubresauts, alors que le plaisir parcourt mon épine dorsale et je m’affale à quatre pattes.

Monsieur Stéphane rajuste son jeans et repasse devant moi.

Il ferme la porte repoussant les mateurs dans le couloir. Il s’accroupie devant moi.

  • Tu as aimé, Orifice ?
  • Si j’ai aimé ? J’ai adoré oui…. Je suis littéralement aux anges. Oui Monsieur Stéphane.
  • Quel effet ça te fait ? me demande-t-il en me tendant la main.

Quel effet ? Ça me fait l’effet d’être une belle salope, assoiffée de sexe. Etre prostituée pour une poignée d’euros et terriblement avilissant. Et ça, ça suffit à mon bonheur.

Je lui remets l’argent durement gagné, je ne sais même pas combien il y a…

  • Je me sens bien, Monsieur Stéphane. Je suis à ma vraie place…
  • Bien, très bien… Tu apprends vite. Tu es une bonne petite fille et tu sers bien ton Maitre.

Il ne pouvait me faire plus beau compliment.

Au-delà du sens proprement humiliant de cette dernière phrase, j’y vois une reconnaissance de mon investissement, de la passion que je mets à jouer mon rôle de soumise. .

  • Merci Monsieur Stéphane.
  • De rien… Bon, je vais y allez. On ne se voit pas le week-end prochain, je ne suis pas libre. N’oublie pas ton plug.

Grosse déception d’un coup. Deux semaines sans se voir ?? Ça va être long…

D’un coup alors qu’il se relève je distingue une grosse tache sur sa chemise à hauteur du ventre.

  • Excusez-moi, dis-je en lui montrant du doigt la tache.

Il regarde, et s’étonne : Mais comment… ???

  • C’est moi, en me redressant. J’ai collé mes reins contre vous. Ils étaient un peu…

Je ne finis pas ma phrase.

C’est con, je n’arrive pas à dire qu’ils étaient couvert de sperme.

La pudeur est une chose curieuse parfois, je viens de me comporter comme la pire des chiennes devant tout un tas de mecs et je n’ose pas prononcer le mot « sperme » dans une phrase.

  • Ok. Deux croix, donc. Une pour la tache et une pour avoir oublier Monsieur Stéphane.

Il pose la main sur la poignée. J’ouvre la bouche pour lui dire qu’il oublie quelque chose, mais il se retourne et me dit : Tes fringues sont au guichet. Bye !

 

Ah ok, va falloir que je traverse toute la boutique nue et maculée de sperme.

Je me retrouve seule, à quatre pattes dans cette cabine avec le souvenir d’un plaisir intense encore bien présent dans mon esprit. Je reste ainsi quelques minutes, puis je me relève.

Je ramasse le plug.

Je reste encore plantée devant la porte sans bouger, et je me décide à l’ouvrir.

Mon fan club est là, évidement.

Je vais devoir me faufiler à travers tous ces mecs au regard enflammé.

J’entreprends de passer en murmurant un « pardon » aux premiers.

Ils s’écartent un peu. Je passe.

Ils sont nombreux. Le couloir est plein.

Je me glisse au milieu d’eux et ça ne loupe pas.

Des mains me touchent, m’attrapent, me pincent.

Je sens même des doigts s’introduire en moi.

Je me tortille, un bras contre ma poitrine, l’autre sur mon bas ventre. Je bouscule, je pousse, je force et en retour ils s’en donnent à cœur joie en redoublant d’audace.

Profitez bien les gars…

J’arrive au bout du couloir, et sors dans la boutique, littéralement catapultée.

Je tombe nez à nez avec un couple devant le rayon des sex toys.

Le regard de la fille, interloqué plus que choqué, me fait me demander ce qu’elle pense à cet instant précis.

Je me dirige vers le comptoir sous le regard d’autres clients.

  • Vous avez mes affaires ?
  • Oui bien sur, les voilà, me répond le caissier d’un air goguenard.

Je les attrape. Va falloir que je me rhabille devant tout le monde.

Et, c’est marrant, je trouve ça pire que de me balader nue et souillée.

Je me tourne face au mur de jaquette de vidéos, et enfile ma jupe puis mon chemisier.

La pièce se rempli des gars qui étaient dans le couloir.

Je vérifie que mes clefs sont dans ma poche, j’attrape mon plug et me dirige vers la sortie.

Bon la voiture n’est pas trop loin et à cette heure ci je ne devrais pas croiser grand monde.

Je sors dans la rue.

Personne.

Je me dirige vers la rue où je suis garée…

Je me retourne, plusieurs hommes quittent le sex-shop, et certains prennent la même direction que moi.

J’active le pas.

Je croise un couple et je remarque que l’homme fixe mon visage et mes cheveux barbouillés.

Evidement je suis garée dans une rue totalement déserte et mal éclairée.

Je cours presque.

J’arrive à me voiture et m’engouffre dedans.

Je la verrouille et m’effondre en larme sur le volant.

Un peu trop d’émotions contradictoires pour ce soir, je crois.

Je me ressaisis et démarre.

 

Sur le trajet de retour, je repense aux événements.

C’était plutôt bien. Et je suis assez contente de moi.

Et avant d’arriver chez moi, je vais prendre beaucoup de plaisir à me répéter plusieurs fois cette phrase : Tu es une bonne petite fille et tu sers bien ton Maitre.

Merci Monsieur Stéphane.

 

Par orificediary
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