Lundi 1 décembre 1 01 /12 /Déc 09:15

…/...

Nous entrons dans la maison. Je ne suis pas fâchée de quitter le sol irrégulier des dalles de la terrasse qui me meurtri les genoux. Nous passons dans son séjour, direction la cave…

Chouette me dis-je intérieurement.

Je me fais l’effet d’une belle perverse pour me délecter comme cela de mon sort.

A quatre pattes, tenue en laisse, mon boxer sur la tête je dois avoir l’air d’un beau spécimen de salope.

De nouveau, durant la descente des escaliers, Monsieur Stéphane est très prévenant. Il avance doucement, veillant à ce que je ne fasse pas de faux pas en me laissant prendre mon temps.

Nous arrivons dans le donjon aménagé.

  • Lèves toi et déshabilles toi, m’ordonne-t-il.
  • Oui Monsieur Stéphane.

J’ôte ma jupe et mon haut, je défais mon soutien-gorge et pose le tout sur une chaise.

Je ne sais si je dois garder mon boxer sur la tête. Dans le doute je n’y touche pas.

Monsieur Stéphane s’approche de moi, puis il me tourne face au mur et me fais avancer jusqu’à la croix fixé au mur. Il me pousse dessus.

  • Lèves les bras et écarte les jambes.

Je m’exécute en collant mes membres aux bras en bois fixés au mur.

  • J’ai pas entendu… Encore une croix !

Et merde… J’ai pas encore le réflexe absolu. « Oui Monsieur Stéphane » ce n’est pourtant pas compliqué.

  • Je vous prie de m’excuser Monsieur Stéphane, dis-je, le plus servilement possible.

Il m’attrape les poignets l’un après l’autre et me les attache sur la croix, puis il passe aux chevilles.

Je suis face au mur, attachée, nue, sur une croix en bois, un boxer sur le crâne.

J’entends mon maitre qui s’éloigne et remonte les escaliers.

Il me laisse seule.

Il se passe bien une demi-heure à vue de nez avant que je ne l’entende redescendre.

Trente minutes crucifiée face à un mur ça fait un poil long, croyez moi…

Et c’est rien, comparé à l’autre demi-heure que je vais passer.

  • Bien, on va travailler ton ouverture annale, me dit il en s’approchant derrière moi. Ça te branche ?
  • Oui Monsieur Stéphane. Comme vous voudrez.
  • Parfait.

Et il me détache les poignets et les chevilles.

Mais je garde le boxer sur la tête.

Visiblement Monsieur Stéphane apprécie ce genre d’humiliation.

 

Il m’emmène au centre de la pièce où se trouve au plafond un gros anneau.

D’un claquement de doigt pointé vers le sol il m’intime l’ordre de me mettre à quatre pattes.

Bien sur je m’y mets sans perdre une seconde.

Je vais apprendre à adorer cet ordre gestuel.

Quel plaisir que d’obéir comme un animal à un simple mouvement du doigt.

Je ne sais pas pourquoi mais je suis particulièrement sensible à ce genre de gestes, comme lorsque il fait de petits cercles avec son index pour me dire de lui présenter mes fesses.

J’adore !

 

Du temps que je l’observe depuis ma condition d’esclave sexuelle au niveau du sol, il s’affaire.

Je le vois soulever une petite trappe à même le sol, à peine plus petite qu’un bac de douche.

Dessous se trouve un trou d’une soixantaine de centimètres de profondeur.

Puis il dépose au fond, un petit cube de bois de 10 cm de coté sur lequel est fixé un étrange objet.

Il s’agit d’un gros godemiché constitué de plusieurs boules entassées les unes sur les autres depuis la plus petites, une balle ping-pong, à la plus grosse, un gros pamplemousse. Le tout évoquant une colonne à la base très élargie et le sommet très effilée.

Il revient vers moi avec une longueur de corde.

  • A genoux et donne moi tes poignets, dans ton dos !
  • Oui Monsieur Stéphane.

Je me tourne et lui tends mes poignets derrière moi.

Il me les attache puis me passe une autre corde autour de la taille avant d’y attacher mes poignets liés.

Ainsi je me retrouve avec mes bras dans le dos attaché à ma taille dans l’incapacité de les bouger.

Il me fait me relever pour m’amener au dessus du trou, du cube, et de son étrange totem.

Bon ceci dit, j’ai bien compris à quoi va servir cette colonne de boules, c’est juste que je ne vois pas bien comment je vais devoir m’y prendre.

Il s’éloigne et revient derrière moi. Entre mes jambes, je le vois se baisser et enduire l’engin, très copieusement, de gel lubrifiant.

  • Descend dans le trou et accroupie toi dessus !
  • Oui Monsieur Stéphane.

Je descends dans le trou et amène mon bassin jusqu’à sentir la première boule sur mon anus.

  • Vas y, enfile toi la.
  • Oui Monsieur Stéphane.

Après la courgette ça rentre tout seul et je sens la deuxième balle plus large qui vient buter sur mon petit trou.

  • Encore un cran.
  • Oui Monsieur Stéphane.

Je m’abaisse encore un peu plus. La deuxième passe sans trop de problème.

Monsieur Stéphane se baisse pour vérifier l’introduction de la colonne dans mes chairs.

Puis il attrape ma jambe droite et lie le mollet sur la cuisse, de manière à ce que je ne puisse plus déplier ma jambe et me relever.

Il fait de même avec la gauche.

Je ne suis pas complètement accroupie et j’ai encore de l’espace entre mes mollets et mes cuisses, mais par contre plus question de se relever.

  • Voilà tout est en place. Tu vas rester comme ça un certain temps. Dans la logique des choses tu ne peux que t’enfiler des balles de plus en plus grosses pour distendre ton petit cul de cochonne. Les muscles de tes cuisses et de tes mollets vont te permettre de résister un petit peu, puis la gravité fera le reste. Et bien sur tu ne peux pas dégager ton joli petit cul car tu es dans un trou. Ça te plait ?
  • Oui Monsieur Stéphane.
  • Tu aimes ça hein ?
  • Oui Monsieur Stéphane.
  • Dis le que tu aimes être traité comme une belle salope, Orifice.
  • Oui Monsieur Stéphane, j’aime être traitée comme une belle salope. Je l’ai méritée.

Ben oui que voulez vous, j’en rajoute, j’y suis bien dans ma condition d’esclave.

Et ça me touche qu’il me demande de le dire, je considère ça comme un compliment, ce que c’est censé être du reste.

  • Bon je te laisse. Tache de bien t’élargir.
  • Oui Monsieur Stéphane.
  • Ah au fait, tu vas rester comme cela pendant 30 minutes. Trois minutes par croix marquée.
  • Bien Monsieur Stéphane.

Il me rajuste le boxer sur mes yeux et s’en va. Je l’entends monter les escaliers.

Ben au moins je sais à quoi servent les croix. Je m’attendais à une utilisation plus brutale, plus « Ouche ! », genre fessés ou fouet.

Bon ceci dit, l’avenir montrera que je ne vais pas être déçue de ce coté là.

Mais une chose à la fois….

Me voilà seule.

Pour l’instant j’apprécie plutôt la situation et je m’efforce de m’appliquer dans mon rôle.

La troisième balle se présente à mon petit trou et j’envisage de me laisser allez doucement.

De faire les choses tranquillement, de laisser faire la gravité comme dit mon Maitre.

Je sollicite mes muscles afin de monter et descendre mes fesses, ce qui est, à mon avis, la meilleure façon de faire pénétrer du gros format tout en douceur.

Cependant, c’est une grosse erreur car je m’épuise assez vite.

Je suis une sportive et ma condition physique est plutôt bonne, mais faire travailler ses quadriceps sans pouvoir les reposer se révèle vite harassant.

Je décide d’arrêter et de forcer le moins possible sur mes jambes.

Finalement la troisième balle, que j’estime de la taille de mon plug, passe mes sphincters.

 

La quatrième est là. J’ai le réflexe d’essayer de m’appuyer sur le rebord du trou du bout de mes doigts en me laissant allez en arrière, mais hélas, j’ai beau tendre mes doigts, le rebord est trop haut et je n’arrive pas à l’atteindre

J’essaie de bouger mes pieds pour pouvoir me pencher en avant et soulager mon anus, mais je ne gagne que quelques millimètres, tant le trou est étroit et très vite je dois reprendre ma position, avec mon anneau sacré qui s’élargit sous la pression.

Celle-ci est plus grosse, au moins aussi grosse que la courgette. Doucement je m’affaisse dessus, elle me pénètre lentement mais surement.

Mes jambes tremblent, et sont presqu’à leur limite d’endurance.

Je n’ose penser à ce qui se passera lorsqu’elles cèderont.

Vais-je m’empaler d’un coup jusqu’à la dernière balle, l’anus distendu par son diamètre exagéré, ou est-ce que je vais glisser doucement, en m’enfilant douloureusement en sentant passer chacune des balles plus péniblement que la précédente ?

Cependant chaque fois qu’une balle passe, la sensation de mes sphincters qui se referment derrière, en attendant de s’ouvrir sur la suivante, est assez délectable.

J’aime ça…

 

La quatrième glisse en moi, et mon petit trou l’avale sans difficulté.

Aussitôt la cinquième me fait connaitre son envie de la suivre.

Mes jambes sont à bout de force, même en essayant des les solliciter, elles ne répondent plus.

Je tremble de plus belle chaque fois que j’essaie de repousser le sol de mes fesses.

Je sens mon cul qui cède sous mon poids, et avec un certain échauffement de mon intimité annale, j’engloutis la cinquième.

J’essaie de me remémorer le nombre de balle que compte ce godemiché infernal.

Sept, peut être huit. Et de penser à la taille de la huitième… Ho mon dieu !

De quoi écarter mes fesses comme jamais, me décoller les cols du fémur.

Je m’imagine désarticulée du bassin, avec une boule énorme saillant sous la peau de mes fesses.

Vision d’horreur, mais pourtant, qui provoque une certaine stimulation de ma libido.

Je sais, je ne suis pas tout à fait normale…..

 

La sixième résiste.

Elle a du mal à entrer, et mon anus, pour un temps, la bloque.

Ça commence à être un brin douloureux.

Tout mon corps repose entièrement sur mes sphincters.

Combien de temps tiendront-ils ?

Subrepticement je les sens qui cèdent.

Ça chauffe en bas. La sensation de brulure s’accentue au fur et à mesure de l’abandon du combat par mes sphincters.

Elle est énorme, elle doit faire la taille d’une balle de tennis. J’ai un sursaut et j’arrive à forcer mes jambes à se relever un poil. Mais ne pouvant garder la position plus d’une seconde, je retombe de plus belle, et enfonce un peu plus l’engin dans mes chairs.

Je me surprends à gémir et intérieurement, très curieusement aussi dirais-je, je me rends compte de mon immense déception que Monsieur Stéphane ne soit pas là pour en profiter, qu’il ne soit pas là pour m’entendre et me voir me tortiller.

J’ai envie de crier pour attirer son attention, mais serait-ce prudent ?

En ais-je le droit ?

Puis je le convoquer comme un vulgaire laquais ?

Non, certainement pas, quelque soit l’artifice utilisé je ne pense pas avoir le droit de le forcer à descendre.

Je me mords la lèvre tandis que la balle de tennis pénètre en moi. La douleur, curieusement, commence à flirter avec le plaisir.

Il faut dire que si j’ai un problème avec l’élargissement de ma rondelle, un autre se pose de plus en plus urgemment.

C’est la contenance de mon rectum. Je commence à sentir la pression intérieure, ça pèse sur, et dans mon ventre.

Et je pense que l’excitation qui me gagne vient de là.

Je ne sais pas depuis combien de temps je suis là, mais subitement j’entends des pas dans l’escalier.

Quelque part je soupire, ça annonce peut être la fin du calvaire….

Pffff…. Je ne pouvais pas être plus loin de la réalité à venir en fait.

Monsieur Stéphane se plante devant moi, il s’accroupit pour être à ma hauteur, et il me montre le Hitachi Magic Wand qu’il tient dans la main.

  • Tu te rappelle, c’est déjà un vieux pote à toi…

Je veux répondre, ne serait ce que pour dire « Oui Monsieur Stéphane » mais je ne peux pas ouvrir la bouche.

L’extrême faiblesse qui a envahi mes jambes et le plaisir que je commence à ressentir ne me permettent qu’un gémissement en signe d’acquiescement.

J’appréhende l’usage de cet engin, car je ne sais pas comment je vais réagir au plaisir qu’il procure.

Ou plutôt si, je m’en doute… Je vais m’empaler de plus belle jusqu’à distendre mes tissus et mes ligaments.

Monsieur Stéphane sourit, il semble très content de lui.

Il se relève et va brancher son engin de malheur.

Puis il revient vers moi, s’accroupit à nouveau, tend le bras et pose la boule du Magic Wand sur mon sexe.

Il appuie sur l’interrupteur.

 

Je meugle, je hurle.

D’un coup je sombre dans un gouffre sans fond ou plus rien n’existe, hormis l’avalanche de sensations qui me retourne.

J’ai littéralement l’impression d’être renversé, physiquement même.

Quelque part en moi, je sens la sixième balle, qui prend place dans mon corps.

L’orgasme ne se fait pas attendre.

Il arrive comme une charge de buffles en furie, comme une avalanche de bulldozeurs, c’est atroce, et si bon à la fois.

Il me semble que je hurle comme une démente, comme une possédée.

Ma vue se trouble, mon corps me lâche, je m’effondre…

 

Je me réveille. Il fait noir. Je suis attachée…

Non, je suis emmitouflée dans des draps très tirés.

Je suis dans un lit, sous ma tête je sens un oreiller confortable.

J’essaie de voir où je suis, mais la pénombre est totale et je ne distingue que de vagues silhouettes de meubles.

Je me lève. Je suis nue.

A tâtons j’essaie de trouver une porte, une poignée.

Je mets la main sur ce qui semble être un bouton de porte. Je l’ouvre.

 

Un couloir apparait, faiblement éclairé, et j’entends des voix qui semblent venir d’une autre pièce.

Je fais quelques pas sur le carrelage de tomettes, lorsque je me souviens que je suis nue.

Je retourne dans la chambre et trouve l’interrupteur.

J’allume.

Mes vêtements sont sur le dossier d’une chaise, ainsi que mon sac à main et mon plug, nettoyé et rutilant.

Je m’habille et avisant une petite salle de bain à coté de la chambre je m’y rends.

Devant le miroir au dessus du lavabo je me contorsionne pour essayer d’apercevoir mes fesses et mon anus.

Je m’inquiète de l’état dans lequel il doit être.

Béant, blessé, sanguinolent…

Mais je n’aperçois rien de tel.

Doucement je l’effleure du bout de mon index.

Rien ne laisse entrevoir le supplice auquel il fut soumis peu de temps avant.

Il semble normal, juste un peu douloureux quand je le contracte.

 

Je retourne dans le couloir et me dirige vers ce qui semble être une descente d’escalier.

De la lumière éclaire l’étage d’en dessous et les voix se font plus fortes.

J’attrape la rampe, car mes jambes se rappellent à mon bon souvenir et leur état est encore vacillant.

Doucement je descends.

J’arrive dans une petite pièce avec trois portes, toutes ouvertes. Les voix viennent de celles de gauche.

Je m’en approche. La pièce est bien éclairée et j’entrevois une fenêtre qui donne sur le jardin, il fait presque nuit dehors.

Je m’avance timidement.

Les voix viennent de la radio posée sur un buffet. Monsieur Stéphane est là, penché sur son ordinateur. Sans lever la tête, il me dit « Alors bien remise ??? ».

  • Je… heu... Oui Monsieur Stéphane. Enfin, j’ai encore les jambes flageolantes mais ça va…

Il se relève et me sourit.

  • Dur exercice hein ?
  • Oui Monsieur Stéphane.
  • Tu es arrivée jusqu’à la septième boule. C’est pas mal du tout.

Ha ben zut, j’ai mal compté alors.

Faut dire que sur la fin je n’avais plus toute ma tête.

Avant que je ne puisse dire quelque chose, il me demande si je veux boire un verre.

Je réponds que oui. Il se lève et file dans sa cuisine.

Je reste là debout, mon sac à la main, n’osant m’assoir.

De la cuisine je l’entends qui s’affaire, un bruit électrique, un son de quelque chose que l’on frappe, plusieurs fois, puis il revient avec deux verres.

Glace pilée, morceau de feuilles de menthe qui flottent sur une écume claire…

Chouette…

  • Comme tu aimes le rhum, j’ai pensé qu’un Mojitos te ferait plaisir.
  • Merci Monsieur Stéphane.

J’adore ça….

Nous nous asseyons et durant de longues secondes nous laissons le silence s’exprimer.

Puis il prend la parole : Je devine que tu as des fantasmes saphiques, je me trompe ?

Ben non, il ne se trompe pas du tout, et si j’avais le choix je préfèrerais une maitresse à un maitre.

Être soumise à une femme… Mmmhhh…

Qu’est-ce que ça doit être bon.

Je sais les femmes plus retors et imaginative que les hommes.

Plus dure aussi…

L’expérience doit valoir son pesant de cacahouètes.

  • Oui Monsieur Stéphane. J’aimerais beaucoup essayer.
  • Je peux t’arranger ça pour une prochaine fois, mais il faudra que tu sois trèèèès gentille.
  • Oui Monsieur Stéphane, je serais une gentille fille.
  • Bien, très bien. Amène-toi et ouvre la bouche, me dit-il en défaisant sa braguette.

Et pour la seconde fois de la journée j’avale mon Maitre avec volupté et délectation…

 

Durant mon trajet de retour, je n’ai pu m’empêcher d’imaginer les sévices que j’aurais à endurer la prochaine fois.

Des coups de ceinture ?

De cravaches ?

De fouet ?

Je dois bien avouer que Monsieur Stéphane ne s’est pas trop manifesté dans ce domaine.

Mais comme je l’ai dit plus haut, ça viendra…

Et bien assez tôt, pauvre de moi…

 

Alors des pinces ??

De la cire chaude ???

Ça j’aimerais beaucoup essayer.

Une longue sodomie ???

Plusieurs hommes qui m’utiliseraient comme un jouet sexuel ? Miaaam….

Croyez moi si vous le souhaitez, mais à peine rentrée chez moi, la première chose que j’ai faite c’est d’aller me masturber dans mon lit avec de vilaines images plein la tête…

 

On ne se refait pas.

Par orificediary
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