Lundi 8 décembre 1 08 /12 /Déc 14:41

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Elsa m’attrape par ma laisse qui pend.

  • Vient là, petite chienne.

Je la suis.

Laurent m’attend prés du fauteuil avec des cordes dans les mains.

Sans ménagement Elsa me jette dans le fauteuil. Je vous dis pas l’atterrissage pour mes fesses blessées.

J’en grimace de douleur.

Laurent m’attrape mes deux poignets, par-dessus ma tête, les entoure avec la corde et les attache derrière le dossier.

Puis il me prend la jambe droite, la lève, entoure la cheville et comme les poignets l’attache en l’air.

Il fait de même avec la gauche.

Je me retrouve sur le fauteuil les deux jambes en l’air, écartée, attachées et les bras eux aussi ligotés.

Visiblement il doit y avoir des points d’accroche, comme des anneaux, derrière le dossier, puisque toutes les cordes y convergent.

Je reste là exposée et offerte, tandis qu’Elsa s’affaire dans la salle de bain avec mon Maitre.

Laurent lui, tourne autour de moi, profitant du spectacle. Il vient se mettre à hauteur de mon oreille et me murmure.

  • T’as jamais été fisté ?... Tu vas voir tu vas te régaler….

Je ne sais quoi en penser.

Bien évidement en ma condition de soumise sexuelle, je m’attendais plus ou moins et tôt ou tard à en passer par là.

Mais le fist ne fait pas partie de mes fantasmes absolus.

Je ne suis pas une affolée de la dilatation à tout prix.

Je prends mon plaisir de façon bien différente, plus cérébrale.

Je n’ai jamais eu vraiment besoin d’extrêmes plaisirs physiques pour prendre mon pied, tout se passe dans ma tête.

Être obligé de faire mes courses en jupe extra courte et pluggée, est bien plus gratifiant, à mon sens, que me faire prendre par deux ou trois hommes.

Suis comme ça….

Bon ceci dit l’épisode du Hitachi magic wand m’a fait comprendre que je n’étais pas complètement hermétique au plaisir brut, pour ne pas dire brutal, mais quand même, je reste une cérébrale plus qu’un physique.

 

Là-dessus Elsa revient de la salle de bain avec des gants de chirurgien aux mains.

Monsieur Stéphane qui la suit, amène un gros flacon en plastique blanc.

Il se baisse devant moi et me retire mon plug sans effort.

Elsa s’agenouille à coté de lui, me caresse le clitoris puis tend ses deux mais à mon Maitre, qui y répand une grosse noisette d’une crème blanche.

Elsa répartit la crème sur ses deux gants, puis je la vois poser ses doigts sur mon sexe.

Elle caresse doucement le clitoris, les lèvres, et devient plus énergique.

C’est agréable, surtout avec beaucoup de crème.

Elle introduit deux doigts, trois, quatre. Elle rentre et sort avec une certaine vigueur.

Monsieur Stéphane c’est approché de mon visage entre temps.

Il déboutonne son jeans et me sort son engin.

Je me tords le cou pour tenter de l’attraper avec mes lèvres.

Il me facilite la chose en avançant son bassin et je commence à le sucer du mieux que je peux.

Je sens qu’Elsa investi ma petite grotte avec de plus en plus de passion, je la surprends même à gémir alors qu’en l’occurrence c’est plutôt à moi de manifester mon plaisir bruyamment.

Ce que je commence à faire.

 

Que rêver de mieux ?

Une Maitresse qui vous fouaille le sexe avec ses doigts et un Maitre qui vous donne sa queue à sucer.

Laurent est penché au-dessus de mon ventre, observant son épouse à l’œuvre.

Maintenant qu’Elsa tente de faire pénétrer sa main en entier, ça chauffe autour de mes muqueuses.

Une légère sensation de brulure m’informe que mes muscles sont en train de s’étirer sous l’action de l’invasion de phalanges.

Je sens ses doigts jusqu’aux tréfonds de ma conque, elle est passée en entier.

Elle ressort, et rentre à nouveau.

 

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Le plaisir brutal et sauvage, d’une telle pénétration, m’envahit subitement.

C’est comme s’ouvrir d’un coup, comme si vos muscles lâchaient prise et se déchiraient sans douleur, mais avec volupté.

J’ai l’impression d’être envahit par un tsunami de plaisir, ravagée par un raz de marée, et je n’ai pas encore atteint l’orgasme.

Je me tortille autant que me le permettent mes liens, et plus je m’agite, plus je glisse vers le bord du fauteuil.

Et les marques, encore cuisantes de la canne anglaise, se rappellent à mon bon souvenir.

C’est très voluptueux comme sensation. Douleur et plaisir…

Toute mon intimité est prise d’assaut, surtout lorsqu’une fois à l’intérieur elle serre le poing. Se sentir tout empli, comme cela, c’est paradisiaque.

Maintenant elle ne desserre même plus le poing pour entrer ou sortir.

D’un coup je sens mes poignets libres, j’ouvre les yeux et je vois Laurent en train de me les libérer.

Visiblement, à voir son engin en érection, il ne sera pas contre un second service.

Je passe donc d’une sucette à l’autre avec beaucoup de plaisir et de bonne volonté.

 

L’orgasme arrive, je le sens monter en moi comme un flot farouche et indompté que rien ne peut endiguer.

Je m’enfonce encore plus dans le fauteuil.

J’ouvre la bouche en grand dans un cri silencieux.

Puis finalement je lâche une plainte sourde et charnelle.

Le plaisir est bien là, contrasté par la brulure de mes fesses encore bien douloureuses.
J’ai les yeux fermés mais je sens des giclés de liquide chaud m’arriver de droite et de gauche sur le visage.

Je n’ose ouvrir les yeux car je sens mes paupières collées.

Elsa retire sa main et me tapote gentiment le clitoris.

Je l’entends dire : « Hey, vous lui avez fait un joli masque les mecs ! ».

Quelqu’un me délie les jambes, que je laisse retomber lourdement.

Une main m’attrape sous l’aisselle pour m’aider à me relever.

  • Va te passer sous la douche. C’est la voix de Monsieur Stéphane.

Il m’accompagne jusqu’à la salle de bain car je n’ai toujours pas ouvert les yeux.

Il m’aide à passer la margelle de la douche, me met une main sur le robinet et l’autre sur le pommeau.

Il semble oublier que j’ai toujours mon t-shirt, mon collier et que je suis chaussée.

J’enlève le collier, puis mon haut en prenant soin de ne pas toucher mon visage avec, et retire mes chaussures.

Je me rince avec de l’eau chaude.

Les plaies sur mes fesses me picotent au contact de l’eau.

Je sens que je ne suis pas prête de l’oublier cette canne anglaise.

Je suis embêtée car je suis obligée de me mouiller les cheveux. Les filles comprendront.

 

Je cherche du shampooing et du gel douche. J’en trouve sur le rebord.

Je me sens vannée, lessivée.

Etranges expériences que je viens de vivre.

Et en même temps très luxurieuse et sybarite.

Deux nouveautés le même jour, ça fait beaucoup.

Je suis une totale débauchée, je le sais et je m’assume pleinement, et je vois énormément de beauté dans ce témoignage de soumission totale que j’accompli à chaque fois que Monsieur Stéphane me le demande.

Et je ne peux m’empêcher de m’émerveiller devant tout ce qui me reste à découvrir en tant qu’esclave soumise.

J’en souris intérieurement.

Au sortir de la douche je remets immédiatement mon collier en place, pas la peine de risquer des croix en plus.

Je quitte la salle de bain, nue, en me séchant les cheveux avec une serviette et je trouve mes trois maitres du jour, affairés autour de ce qui semble être un chevalet rustique, en fer et matelassé de cuir.

 

Monsieur Stéphane pointe ses doigts vers le sol en les faisant claquer.

Je lâche ma serviette et me met à quatre pattes en prenant l’extrémité de ma laisse entre les dents.

Il me fait signe d’avancer. Je m’approche de cet étrange attirail.

Je distingue à chaque pied, à mi-hauteur, des bracelets de cuir solidement fixés.

La surface horizontale est faite de deux matelas capitonnés en cuir brun. Un petit matelas qui tient un quart de la longueur, puis un espace de 20 cm environ entre les deux, et un second matelas qui fait le reste du chevalet.

Elsa tapote le matelas de la main : « Allez chérie, monte là-dessus… ».

Je me redresse et me couche sur le ventre. Laurent me prend par les bras et me tire jusqu’à ce que mes deux seins tombent dans l’espace entre les deux matelas.

Puis il me ramène les bras le long des pieds avant du chevalet et me les y attache.

Monsieur Stéphane fait de même avec mes jambes et les pieds arrière.

La position n’est pas très confortable mais au moins mes fesses n’ont pas à frotter contre quelque chose. Je sens des mains qui me prennent les seins, celle d’Elsa je suppose car je ne peux voir ce qui se passe sous moi.

Une morsure soudaine sur mon téton droit me fait sursauter.

  • Chut, ne t’inquiète pas. Je te mets juste des pinces sur tes seins… Avec quelques poids.

C’est bien la voix d’Elsa que j’entends.

Visiblement elle prend sa tache très au sérieux.

Deuxième morsure sur l’autre téton. Puis je sens que ça tire légèrement sur le premier, puis sur le second.

Elle y met des poids.

Et elle en rajoute encore.

La douleur n’est pas déplaisante, même lorsqu’elle les fait balancer.

Pour tout vous dire, instinctivement ça me donne envie d’écarter les jambes pour me faire prendre.

C’est curieux, dans ma tête j’exécute mentalement le mouvement avec mes jambes.

On ne se refait pas.

Chienne un jour, chienne toujours.

  • Voilà elle est prête. C’est Laurent qui très content, s’exprime.
  • J’ai visité ta chatte, je vais investir ton cul maintenant.

Elsa se tient derrière moi, et pose une de ses mains sur ma fesse.
Elle les écarte, et répand du gel ou de la crème entre elles.

C’est frais et agréable.

Je fais une rapide estimation. Sa main fermée ne doit pas avoir un diamètre plus important que le dernier plug offert par mon Maitre.

Je ne devrais donc pas trop souffrir.

Elle glisse direct trois doigts, enfin je crois.

  • Ça rentre tranquille. Une belle petite gourmande du cul, annonce Elsa en me claquant une fesse.

Intérieurement je la remercie car, consciemment ou inconsciemment, elle a évité mes plaies.

Elle me masse les sphincters pendant de longues minutes.
Puis elle passe à la vitesse supérieure et commence à forcer la place.

Lentement par petits à coups elle se fraie un chemin.

La sensation est assez délectable, et pas de douleur.

D’autant plus que de son autre main elle me masse le clitoris.

D’un coup, d’un seul, elle force le passage et de nouveau la volupté des sphincters qui se referme après.

Je sens ses doigts qui s’agitent dans mon rectum. Elle ressort, et d’un coup sec, rentre à nouveau, m’arrachant un petit cri.

  • C’est génial, elle est totalement ouverte, un vrai garage à bites.

Je prends cette déclaration d’Elsa comme un compliment.

  • Je vais tenter les deux mains, rajoute-t-elle.

Là je ne suis pas sure que ça passe du premier coup.

Je sens qu’elle glisse des doigts entre son poignet et mon anus.

Ça s’ouvre doucement.

C’est fou ce que ça peut être élastique un cul, je n’aurais pas cru.

Mais je me rappelle l’épisode du totem à boules qui s’est déroulé ici même, quoique la plus grosse boule n’excédait pas la taille de mon plug.

A force de plaisir, de crème et de muscles mon anus s’ouvre sous la pression.

Ça commence à être un peu douloureux lorsqu’elle force.

Elle s’en rend compte et retire sa deuxième main.

  • Non ça ne sera pas pour aujourd’hui, mais j’ai bien ouvert la voie.

Puis elle sort son autre main. J’entends qu’elle retire ses gants. Elle pose ses deux mains de par et d’autre de mes fesses, tout prêt de mon anneau sacré et les écarte autant qu’elle peut.

  • Regarder les garçons, c’est pas joli ce petit trou qui cri famine.

Si je le pouvais, je sentirais les courants d’air qui passe par mon cul laissé grand ouvert.

Puis on y introduit quelque chose. Mon plug je pense.

Devant moi Monsieur Stéphane amène une petite desserte à roulette sur laquelle est posé un ordinateur portable.

Il l’ouvre, tapote sur le clavier.

Une vidéo démarre. C’est écris en allemand.

Puis apparait une jeune blonde, nue avec des bas, à genoux.

Elle se fait prendre par un gars et en suce deux autres.

  • On te laisse de quoi te divertir Orifice. On revient tout à l’heure.
  • Oui Monsieur Stéphane. Merci.

Derrière moi on s’active.

Je sens que quelque chose vient contre mon clitoris.

On glisse un gode dans mon sexe.

Pas facile avec la place que prend mon plug.

  • Attention, je branche, annonce Laurent.

Aussitôt je sens une vibration contre, et dans, mon sexe.

De faible intensité pour commencer, elle augmente rapidement.

Pas aussi raide que le Hitachi magic wand, mais ça me chauffe bien.

Laurent passe dans mon champ de vision, il ramasse son pantalon par terre.

Monsieur Stéphane se dirige vers les escaliers, suivi d’Elsa.

Et tout ce beau monde disparait dans l’escalier…

Je reviens à la vidéo.

La fille est maintenant sur le dos sur une table, et deux hommes approchent de son visage leur verge toute molle.

Et là ils lui urinent dessus. Elle ouvre grand la bouche et tout ça bouillonne et déborde d’urine.

Elle se caresse les seins avec ce qui coule sur sa poitrine.

Un troisième lui urine sur le ventre.

Changement de vidéos.

Deux jeunes filles au bord d’une piscine taquinent la verge d’un beau male.

Elles le sucent, puis il en prend une en levrette tandis que l’autre caresse les seins de son amie.

Il jouit, se retire, elles le sucent de nouveaux et il leur urine dessus, dans la bouche, sur la poitrine, les cheveux…

Et ainsi de suite, se succèdent des vidéos à caractère urologique, tandis que le contentement m’envahit doucement au grès du ronronnement de l’appareil qui me taquine le clitoris.

 

Inévitablement, l’orgasme arrive, au beau milieu d’une scène où une jeune fille boit dans une grande coupe en verre, l’urine de deux hommes en train de la remplir.

De plaisir, mon anus se contracte plusieurs fois sur mon plug ce qui exacerbe l’explosion qui me secoue.

Les vidéos s’enchainent. Toujours des hommes qui prennent des femmes pour des urinoirs vivants.

Et ces dernières, en sont ravies…

J’avise l’heure en bas à droite de l’écran de l’ordinateur. Presque 19h00.

Un second orgasme me renverse vers 19h20.

De suite après mon petit bouton manifeste son extrême sensibilité.

J’essaie de bouger pour me soulager un peu, mais je n’arrive pas à me dégager de l’emprise de cet appareil planté en moi.

Enième vidéos. Cette fois une jeune femme est ligotée sur un fauteuil avec un tuyau relié à un entonnoir fixé à sa bouche avec des sangles. Trois hommes, à tour de rôle, grimpent sur un escabeau et urinent dans l’entonnoir. Là elle grimace et s’agite, on voit clairement qu’elle n’apprécie pas la chose.

Une autre suit.

Une femme est dans une fosse, fermée par une grille sur le dessus.

Elle est nue et a l’air terrorisé.

Plusieurs hommes se succèdent sur la grille et lui vident leur vessie dessus.

J’imagine qu’il s’agit d’un conditionnement intensif, et que moi aussi j’y aurais droit très bientôt.

Le temps passe. 19h45.

La sensibilité de mon clitoris a disparu, remplacée par un vague plaisir lancinant.

J’essaie d’élargir mon champ de vison parce que les vidéos commencent à m’insupporter, mais ce n’est guère distrayant.

Je ne vois que le mur d’en face, avec la porte de la salle de bain, le fauteuil club dans son coin et un vasistas fermé dans l’autre.

En fait, même si je ne les regarde plus, je ne peux ignorer les images qui défilent devant moi.

Se succèdent des litres et des litres d’urine qui se répandent sur des corps luisants et dans des bouches plus ou moins consentantes.

La suivante montre une femme à l’anus dilaté par un instrument chirurgical genre spéculum en plus gros, le cul en l’air, dans lequel urinent plusieurs gars.

 

Il est 20h10 quand surviennent les prémices de mon troisième orgasme.

Le plaisir montant, j’essaie de bouger pour activer son arrivée.

J’appuie mon bassin de toutes mes forces en arrière.

Que voulez vous, je ne sais pas résister au plaisir facile.

J’ai tellement vue de jets d’urine depuis une heure, que je pourrais presque en sentir le gout dans ma bouche, enfin le gout présumé, car je n’y ai jamais gouté.

Je commence à avoir mal aux membres, et en particulier aux épaules.

Sans parler des muscles du cou, vu que je dois garder la tête à l’horizontale.

De temps en temps pour les soulager je laisse tomber ma tête, mais très vite je dois la redresser à cause de la nausée qui me gagne dans cette position.

Le pire c’est la gêne occasionné après chaque vague de plaisir par ces vibrations constantes contre mon intimité.

Je suis obligé de me tortiller en vain pour tenter d’oublier ces pulsations incessantes, mais rien y fait.

L’appareil semble collé à ma chair.

La sensibilité de mon petit bouton augmente après chaque nouvelle déferlante.

On me le passerait au papier de verre que ça ne saurait pas pire, je crois….

Heureusement le gode ayant pris possession de ma conque compense, et avec le plug, je vous dis pas l’effet que ça me fait.

Surtout que chacun des mes mouvement entraine un balancement des poids au bout de mes seins.

 

20h30 s’annonce.

Je me demande ce qu’ils sont en train de faire là haut.

Mon attention est de nouveau captivée par les images de l’écran.

Deux filles en jupe, se promènent dans une ville. L’une est tenue en laisse par l’autre.

De nombreux passants les croisent.

La chienne se met à quatre pattes, lève la jambe contre un banc public et urine à même le sol.

Je comprends que l’autre est sa Maitresse à voir comment elle lui parle.

Séance d’humiliation en public.

De nombreuses personnes lui jettent des coups d’œil furtifs.

La dominante lui dit quelque chose, ce n’est pas en français, et l’autre se tourne, les fesses à l’air, et commence à lécher son urine sur le béton du trottoir.

Les gens regardent subrepticement mais n’interviennent pas, ils ne s’attardent même pas….

A nouveau je sens me gagner les frissons annonciateurs de félicité intime.

Je ne sais combien de temps ça va durer, mais je commence à être fatiguée.

L’épuisement me gagne.

Autant d’orgasmes brutaux dans une journée c’est lessivant.

 

Les même deux femmes sur les quais d’une gare, avec pas mal de monde dans le champ de la caméra. La première s’accroupie et urine sur le quai à la vue de tous.

De façon sournoise un nouvel orgasme me terrasse.

Il s’annonce à couvert, avance tapis dans l’ombre, le plaisir monte lentement et sur une simple contraction nerveuse de ma part, il se déchaine en un ouragan.

J’en tremble et pleure de longues minutes.

Je n’en peu plus. Mon clitoris est maintenait pas mal douloureux.

Sa sensibilité est devenue irritation, et l’irritation s’est transformée en douleur.

Dans un moment d’énervement passager je secoue l’ensemble du carcan sur lequel je suis attachée. Le bruit est atroce, ferraille contre pierre, mais ça ne suffit pas à m’apporter la délivrance.

Et passent encore des images devant mes yeux, toutes plus outrancières et ordurières les unes que les autres.

Bon il est vrai que je trouve ça vaguement excitant.

Etre traitée de la sorte me conviendrait assez bien, enfin de me faire uriner dessus je veux dire, parce que pour ce qui est de boire ça, je trouve ça plutôt infect.

Je me verrais bien à quatre pattes recevant l’urine de mon Maitre.

Je trouve qu’il s’agit là du summum de la soumission.

Mon désir de dégradation et d’humiliation serait largement comblé de la sorte.

 

Des bruits de pas dans l’escalier. Ils reviennent. Je regarde l’heure, il est 20h42.

J’ai passé presque deux heures ainsi harnachée.

C’est Elsa. Elle est seule.

Et je ne sais pas pourquoi, mais ça me glace le sang...

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Par orificediary
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Vendredi 5 décembre 5 05 /12 /Déc 09:38

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Le lendemain arrive rapidement. Il est 16h00, je suis presque prête.

Un peu de maquillage, un coup de brosse, il ne me reste que le plug à mettre.

J’ai choisi une jupe assez courte, un petit haut qui laisse apparaitre mon nombril et des talons hauts.

La panoplie de la parfaite chienne.

16h30 approche, je m’emploie à m’enfiler mon plug monstrueux.

J’y arrive avec difficulté.

Je sors dans la rue et saute dans ma voiture.

J’arrive dans le petit village où réside mon Maitre.

Je sonne à sa porte. J’entends sa voix dans l’interphone « Oui ? »

  • C’est moi, Orifice, Monsieur Stéphane.
  • Je t’ouvre. N’oublie pas, à quatre pattes !

Puis, suis le clac sec du verrou.

Je me mets sur mes genoux et pose les mains par terre. Je pousse la porte et remonte l’allée de gazon.

Première émotion de la journée. Un homme que je ne connais pas se tient sur la terrasse, debout les mains sur les hanches. Visiblement il m’attend.

Il tourne la tête vers la porte de la maison, ouverte, et cri « Hey ma colombe, viens donc voir ce qui nous arrive là ! ».

Alors que je m’approche de la maison, une femme, brune les cheveux coupés très court, vêtue d’un tailleur sombre et de talons hauts, apparait sur le seuil.

Très classe et stylée.

A son tour elle tourne la tête vers l’intérieur : « Dis moi tu t’emmerdes pas mon salaud. Elle est pas mal. Beaucoup mieux que la dernière…. »

Je ne sais pas pourquoi, ou plutôt si je crois le savoir, mais cette réplique m’a fait mal.

La dernière phrase en fait ; « Beaucoup mieux que la dernière ».

comment me ravaler au rang d’une simple distraction sur une longue liste.

Je le sais bien pourtant.

Il y en a eu plein d’autres avant moi et il y en aura certainement encore après, mais malgré tout entendre cette évidence, ça fait mal.

Monsieur Stéphane, en dehors de la maitrise de son art, est de ces personnes qui vous font exister, auprès desquelles vous vous sentez important.

Et plus dure est la chute lorsque vous comprenez que ce n’est que passager et qu’il pourrait tout aussi bien vous méprisez avec autant de facilité et d’assurance.

Arrive enfin mon Maitre, Monsieur Stéphane, derrière elle.

Il lui répond « Oui elle a un assez joli châssis et, le plus important, elle est très obéissante. »

  • J’imagine, oui pour arriver ainsi fringuée et à quatre pattes, lui répond-elle.

Monsieur Stéphane s’approche de moi.

  • Bonjour Orifice, je te présente Elsa et son mari Laurent. De vieux amis et complices. Elsa, Laurent, voilà Orifice, dont je vous ais déjà parlé, petite soumise docile et pleine de bonne volonté.
  • Bonjour Orifice, me lance Laurent.
  • Bonjour Monsieur Stéphane, bonjour Messieurs dames.

Elsa s’approche de moi, passe derrière moi et du bout de sa chaussure soulève ma jupe.

  • Ah ben oui tu l’as bien éduquée. Viens voir ça, dit-elle en s’adressant à son mari.

Ce dernier s’approche à son tour. Il s’accroupit pour mieux m’examiner.

  • Et en plus ça lui plait, regarde son minou. Ça brille d’humidité.

C’est vrai que la situation me plait énormément. Un homme et une femme totalement inconnus sont en train de reluquer mon intimité sans aucune gêne.

  • Elle suce bien au moins ? Demande Laurent sans s’inquiéter le moins du monde de la présence de sa femme.
  • Elle commence à être performante, mais il y a du boulot encore, lui répond Monsieur Stéphane.
  • Ha, ben on va faire en sorte de perfectionner tout ça.

Elsa revient vers moi avec un collier et une laisse. Docilement je me laisse passer le collier autour du coup.

Puis je suis tout le monde à l’intérieur.

Nous descendons à la cave. C’est Elsa qui tient ma laisse et j’avoue qu’elle fait preuve de moins de prévenance que mon Maitre durant la descente.

Arrivés en bas, Monsieur Stéphane lâche le sempiternel mot « Inspection ! ».

Il s’accroupit derrière moi, et m’enlève mon plug.

  • Ouche, il est de belle taille en plus, s’exclame Laurent.
  • Une bonne petite chienne ouverte à tout, lui répond Elsa en s’asseyant dans le fauteuil club dans le coin.

Elle écarte ses jambes et remonte sa jupe sur ses cuisses. Se faisant elle laisse apparaitre deux jambes magnifiquement gainées de bas noirs.

  • Amène la moi mon chérie s’il te plait.

Laurent prend ma laisse et m’approche des jambes écartées de sa femme.

Je crois rêver. Même dans mes fantasmes les plus fous je n’aurais imaginé pareille situation.

Cette Elsa et son Laurent semblent tout droit sortis d’une production de Marc Dorcel, et pourtant ils sont bien là devant moi.

  • Elle fait des progrès en pipe, on va voir ce qu’elle vaut pour liper. Déclare-t-elle en attrapant la laisse des mains de son mari.

Elle tire dessus et me dirige clairement vers son entre jambe.

Elle porte un joli tanga taupe brodés de motifs. J’ai mon nez à quelques centimètres d’elle, je sens sont parfum capiteux et la chaleur de ses cuisses de part et d’autre de ma tête.

Elle relève ses jambes et glisse deux doigts sous sa culotte pour dégager son sexe.

  • Allez vas y, goutte ma chatte.

Une première pour moi.

J’en salive d’avance, et par tous mes orifices.

Une joie immense m’envahit ainsi qu’une satisfaction sans borne.

J’avoue que le fantasme saphique m’a toujours titillé, mais je n’ai jamais provoqué l’occasion pour franchir le pas.

J’ai longtemps estimée, et je le pense toujours, que toute femme qui se respecte devrait essayer la chose au moins une fois.

Il s’agit là d’une expérience enrichissante, ne serait-ce que d’un point de vue découverte de soi même.

Quel plaisir d’être là avec mon Maitre et ses amis, à leur entière disposition.

Tiens d’ailleurs je m’inquiète de savoir où se trouve Monsieur Stéphane, mais je ne peux plus tourner la tête.

Elsa m’attrape les cheveux à pleine poignée et, sans douceur, me colle la bouche sur sa vulve glabre.

Je commence par envoyer de petits coups de langue.

C’est agréable, doux, chaud, épicé…

Comme je l’imaginais en fait.

Je m’enhardis et plonge ma langue profondément dans ses chairs en remontant sur son clitoris.

Ses gémissements m’incitent à plus d’ardeur.

Elle garde sa main sur ma tête et j’apprécie le geste. Je le trouve terriblement humiliant et souligne ma position d’esclave, aux ordres. J’adore….

  • Vas y, tu en meurs d’envie, lance-t-elle à son mari, les yeux mi-clos.

Visiblement c’est elle qui dirige dans le couple, ça ne m’étonne guère du reste. Elle en impose par sa présence et on devine une maitresse femme rien qu’à l’entendre parler.

Laurent se débarrasse de son pantalon, déchire l’emballage d’un préservatif, et pose ses mains sur mes fesses.

Je sens son gland qui se présente à mes grandes lèvres.

Contrairement à ce que j’aurais pensé il œuvre tout en douceur.

Il me pénètre lentement et se met en marche avec tout autant de langueur.

Même si je suis plutôt une adepte du sexe musclé, j’apprécie la délicatesse aussi.

Il ne s’estime pas en terrain conquis contrairement à ce que pourrait laissé subodorer la situation, et ça je trouve que c’est digne d’un gentleman.

Nous passons ainsi de très agréables minutes soudés ensemble tous les trois.

Soudainement Elsa laisse retomber ses jambes et me tire la tête en arrière par les cheveux.

Elle se lève et rajuste sa jupe. Je la vois se diriger vers le mur où se trouve le râtelier à sextoy.

Laurent est toujours sur moi. Il a accéléré le mouvement.

Je n’ai pas eu le loisir de voir la taille de son pénis, mais je l’estime de fort belle taille.

Pas de quoi en rougir en tout cas.

Il m’attrape par la jupe, comme pour tenir les rênes d’une jument et me chevauche de plus belle.

Je me laisse allez de plus en plus.

Je gémis, je pousse de petits couinements, bref je me régale…

Elsa est de retour. Elle tient dans la main ce qui me semble être un gode ceinture. Un gros godemichet noir et une ceinture de cuir…

Mais en fait, je fais erreur, c’est bien un gode, mais pas pour fixer à la taille.

Elsa me fait ouvrir la bouche et y introduit l’extrémité la plus courte. Puis elle passe la ceinture de cuir derrière ma nuque et fixe ainsi solidement l’ensemble sur mon visage. Elle défait un préservatif qu’elle enfile sur l’objet et se rassoit sur le fauteuil, non sans avoir enlevé son tanga avant. Tanga qui finit sur ma tête en prenant bien soin de la passer sous les oreilles, comme un casque d’aviateur.

Pas besoin de me faire un dessin.

Malgré l’étoffe qui me bouche en partie la vue, j’approche le gode de son sexe, j’attends qu’elle le guide entre ses lèvres et je commence à travailler du cou.

Si je puis me permettre, Monsieur Stéphane, c’est une sacrée gourmande, cette Elsa,.

De suite elle se met à gémir avec force, il faut dire que l’engin est plutôt bien proportionné.

Elle se cale dans le fond du fauteuil, une main sur sa poitrine l’autre sur une cuisse.

 

Laurent ralenti, je pense qu’il est sur le point d’exploser mais qu’il préfère attendre que ma bouche soit disponible.

L’espace d’une seconde je me demande ce que fait mon Maitre ; je ne l’ai toujours pas aperçu.

Elsa s’envole à en juger pas ses cris. Je m’active encore plus rapidement et plus profondément.

Pas facile dans ma position, l’amplitude du mouvement du cou étant plutôt limité.

J’essaie de calquer les mouvements de mon corps sur les coups de boutoir de Laurent afin d’avoir plus de liberté et de marge. Ça me donne plus d’élan pour besogner Elsa.

Elle finit par jouir en longs râles passionnés.

A peine a-t-elle finit que Laurent me défait la boucle de la ceinture derrière ma nuque et m’ôte le gode de ma bouche. Il se retire, enlève son préservatif et commence à s’astiquer devant ma bouche.

Moi en bonne soumise je l’ouvre grand et sort la langue.

Il vient s’échouer dessus en longues décharges savoureuses.

  • N’avale pas, m’ordonne-t-il.

Je garde sa semence en bouche.

Elsa se laisse glisser du fauteuil et viens se mettre à genoux devant moi.

Elle pose ses mains sur ma tête, relève sa culotte sur le haut de mon crâne et m’embrasse goulument.

Sur le coup je suis surprise, puis une fois passée, je lui rends son baiser avec toute la fougue donc je suis capable.

Nos langues brassent le sperme de Laurent dans nos bouches.

Je trouve cela terriblement érotique et sensuel.

Physiquement, l’effet que ça me fait est assez troublant, je sens ma conque se remplir de mon désir.

Et un immense frisson de plaisir me parcourt, presque comme un orgasme.

C’est Elsa qui met un terme à notre étreinte. Elle recule sa tête et je la vois avec les lèvres ourlées d’un liquide clair légèrement teinté de blanc.

Elle se passe la langue sur tout le tour de sa bouche.

Et sentant la même humidité autour de la mienne, je fais de même.

Profitant de ma relative liberté, je vois Monsieur Stéphane qui s’affère devant la croix fixée au mur.

Il se tourne vers moi : Approche, me dit-il en me tendant la main.

Me remettant à quatre pattes je m’avance.

Il me fait signe de me relever et me défait la fermeture éclair de ma jupe. Elle tombe au sol tandis qu’il me plaque face à la croix.

Moi docilement j’écarte les jambes et lève les bras.

Il m’attache en commençant par les bras, puis les chevilles.

Il me rabat la culotte d’Elsa sur les yeux. Je sens encore son parfum intime.

Monsieur Stéphane passe ses mains sur mes fesses. Il me les écarte et je sens un truc frais contre mon anus. Du gel, il me le passe tout autours consciencieusement puis il pousse deux doigts à l’intérieur, qu’il ressort et refait entrer, je gémis doucement la tête en arrière.

Puis je sens quelque chose de plus dur.

Mon plug certainement.

Il pousse, ça force et ça fait mal….

Je serre les dents, et pousse un grognement involontaire.

Laborieusement je le sens qui se met en place. Il fait déjà comme si il était chez lui celui là.

  • Je te l’ai nettoyé... Et avec de l’eau chaude en plus. Tu vois si je suis prévenant ?
  • Oui Monsieur Stéphane, merci.
  • De rien. Dis-moi, tu vis seule ?

Quelle drôle de question ???

  • Heu… Oui Monsieur Stéphane.
  • Donc personne ne t’attend ce soir ?
  • Non Monsieur Stéphane.
  • Et personne ne s’inquiétera de tes marques alors ?
  • Marques ? Quelles marques Monsieur Stéphane ?
  • Celle que je vais te faire avec cette canne anglaise. Tu connais ?

Je sens qu’il passe quelque chose à proximité de mon visage mais même en tournant la tête je ne peux rien voir à cause de l’étoffe saumon sur mon nez.

  • Non Monsieur Stéphane.
  • Tu vas voir, tu vas aimer.

Je l’entends qui recule de quelques pas. Puis j’entends des « Vouuuutchh » dans l’air comme si on agitait une longue tige souple avec force, comme si on fouettait l’air.

Mon sang ne fait qu’un tour, je comprend et devine très bien comment est constituée une canne anglaise.

Mes muscles se raidissent en attendant l’impact.

  • Tu sais que tu as toujours ton mot de sécurité ? Aprilia !
  • Oui Monsieur Stéphane.

Ça marche toujours ça ? Tant mieux. Je me sens un brin rassuré.

CLAC !

Première morsure sur les fesses. C’est cinglant comme une lame qui vous déchire, cuisant comme des braises posées à même la peau. Je lâche un cri, puis me morts la lèvre pour tenter de faire passer la douleur. Une dizaine de secondes s’écoulent puis vient la deuxième meurtrissure.

CLAC !

C’est une douleur qui se manifeste d’un coup, brutalement, mais qui met du temps à se dissiper. C’est horrible. Je ne crois pas que je suis faite pour ça.

La soumission, l’humiliation, la baise, oui… Mais là, s’en est trop.

C’est au-delà de ce que je peux supporter et je n’ai guère envie de connaitre mes ultimes limites dans ce domaine.

Une certaine douleur mêlée au plaisir est appréciable, même parfois seule, ça peut être une sorte de jouissance, mais là, c’est définitivement pas mon truc.

CLAC !

Je ne sais pas pourquoi, la troisième je ne m’y attendais pas. Je pensais qu’il allait en rester à deux. La douleur, l’insupportable douleur, se répand dans mon dos, puis tout mon corps. Je me tortille autant que me le permettent mes liens. J’ai la sensation d’être déchirée en deux, d’être brulée vive. C’est atroce….

Avant que le quatrième coup ne tombe, je cris « Aprilia ! Aprillia ! ».

Il s’approche de moi, tout prés, je sens son contact sur la peau de mon dos, et me murmure à l’oreille.

  • Tu as dix croix à ton actif. Tu n’en as expié que trois, il faudra bien que tu y passes.

Je me contente de gémir. Comme une bête blessée.

  • Tu ne veux pas en expier une de plus ? Il ne t’en restera que six. On pourra les continuer la prochaine fois.

Sa voix est tendre, douce, cajoleuse, comme un grand frère qui réconforte. Une voix qui vous donne envie d’y croire, qui vous donne envie de vous y abandonner, de lui céder.

J’hésite, mais les brulures douloureuses encore présentes me font réfléchir. J’essaie de gagner du temps, de faire en sorte que la souffrance se dissipe.

Mais après tout, un petit peu à la fois…

Et après il s’agira de faire attention à ne plus en prendre des croix.

Quatre coups aujourd’hui, quatre la prochaine fois, c’est gérable.

Me mordant la lèvre inférieure, je réponds d’une petite voix « Oui Monsieur Stéphane, encore une. Je veux bien. »

  • Et bien voilà. C’est très bien. Tu deviens plus forte. Allez pour faire bien je t’en mets encore deux. Tu veux bien ?

Ghhhh… !!! Encore deux à supporter… ??? Je ne peux pas, c’est en dehors de mes capacités.

 

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  • Deux petits coups, ce n’est rien, allons, ma chérie. Me murmure- Elsa qui s’est approchée.
  • Tu sais, tu dois apprendre à être forte si tu veux continuer, renchéris Monsieur Stéphane. Après ça il ne t’en restera que cinq, c’est rien….
  • Oui Monsieur Stéphane… Mais ça fait si mal …

Là lorsque je lui réponds, je suis au bord des larmes et ma voix chevrote.

Je dois être pathétique, non pas parce que j’ai peur ou que j’ai mal, mais parce que j’ai compris que je vais être obligé d’accepter ces deux coups supplémentaires, et que quelque part, au plus profond de moi je les attends avec un certain désir masochiste alors que ça fait un mal de chien pas croyable.

  • Chut, chut…. Tu es une grande fille. Tu comprends que je suis obligé de te punir pour les erreurs que tu as commises ? Une vilaine fille mérite punition. Tu comprends ?
  • Oui… Monsieur Stéphane. Mais doucement alors, d’accord ???

Je dois vraiment faire pitié à ce moment précis, et en y repensant, avec du recul, c’est de loin la situation la plus humiliante que j’aurais à vivre en sa compagnie, et pourtant il va m’en faire vivre... Mais à devoir sangloter comme une petite fille pour réclamer un peu de mansuétude, c’est le pire que j’ai eu à éprouver….

  • Si je fais doucement, la correction ne portera pas. Tu es d’accord avec moi ?

Tant de dureté, d’inflexibilité dans cette voix si douce, si chaleureuse, j’en pleurerais.

  • Tu es prête pour deux coups supplémentaires ?
  • Oui…Oui Monsieur Stéphane.

De nouveau, il recule. J’appréhende déjà le prochain coup, et il fait durer le suspens. Je me crispe de tout mon corps…. L’attente est insupportable, j’en arrive à souhaiter cette douleur si mordante, qu’on en finisse. Je sens une main sur ma nuque, surement celle d’Elsa. Elle me caresse doucement la peau.

  • Ça va allez ma belle, me susurre-t-elle.

CLAC !

Indescriptible ! C’est à tomber dans les pommes, d’ailleurs à un moment je ne sais pas si je n’ai pas perdu connaissance. Inutile de vous dire que je regrette amèrement mes retards au boulot….

CLAC !

Le dernier arrive presque de suite après. Même pas le temps de me rendre compte que c’est le second coup. Leur douleur est la même, elle se mêle dans un maelstrom de violence atroce. J’ai le bas du dos en feu, je l’imagine sanguinolent, les chairs ouvertes, la peau pendante… Mais au moins c’est fini… Pour aujourd’hui…

Ma tête est appuyée contre mon bras droit, je reprends mon souffle péniblement. La douleur s’en va doucement, elle s’estompe un peu plus à chaque seconde qui s’écoule.

  • Et bien voilà. Pas si terrible non ???
  • Non ça va Monsieur Stéphane, lui rétorquais-je péniblement.

Pas si terrible pour lui… ça oui….

Doucement, il m’enlève la culotte d’Elsa de sur ma tête, puis il me détache en commençant par les chevilles, et je comprends pourquoi lorsqu’il me libère mon poignet gauche.

Je ne tiens plus sur mes jambes.

Il m’offre son épaule tandis qu’il détache l’autre poignet. On fait deux pas, et je me ressaisis. Je reprends de l’assurance…. Je ne veux pas qu’il garde cette image de la petite fille blessée. Je le repousse doucement et me tiens sur mes deux jambes.

  • Viens, me dit-il en m’entrainant par la main dans la petite salle de bain.

Il m’amène devant le miroir et me fait tourner.

  • Regarde. Regarde comme ton cul resplendit….

Je présente mes fesses à la glace et je me tords le cou pour regarder les dégâts.

Mes fesses sont d’un rouge écarlate, avec des traits en travers, d’un brun plus sombre, et légèrement en relief, comme des boursoufflures.

  • Toute cette semaine, chaque fois que tu t’assiéras tu penseras à ton Maitre.

Et là, je baisse la tête en me tournant vers lui, je me blottis contre son corps et à mi-voix je lui réponds « Je pense déjà à lui… Tout le temps… Nuits et jours… ».

Ne me demandez pas ce qui m’est passé par la tête. Juste une évidence à énoncer je crois…

Suis comme ça moi, il y a des fois où ça sort, brut et nature.

Cet aveu de mon amour pour mon Maitre sera lourd de conséquence comme vous le verrez plus tard.

Je réalise avec effrois que je n’ai pas terminé ma phrase par le sempiternel Monsieur Stéphane.

Après ce que je viens de subir, ça devrait pourtant être gravé en moi, un reflexe comme le simple fait mécanique de respirer.

Mais étrangement, il ne relève pas.

Je le trouve même curieusement sans voix.

Deux secondes s’écoulent.

Il se reprend et lâche une phrase énigmatique : Bien, bien, c’est comme ça que ça doit être…

  • Je ne vous dérange pas ?

C’est Elsa qui se tient appuyée contre le chambranle de la porte de la salle de bain, avec sa culotte qui tourne au bout de son doigt. Monsieur Stéphane me repousse gentiment, ses mains sur mes poignets.

  • Tu nous la laisses encore un peu ? Rajoute-t-elle. Elle parle de moi évidement. Je suis juste un jouet à ses yeux. Statut qui ne me déplait pas le moins du monde du reste.
  • Oui bien sur, la soirée n’est même pas encore commencée, répond mon Maitre.

Chouette ! Pensais-je... Tant qu’il n’y a plus de canne anglaise…

.../...

Par orificediary
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Mercredi 3 décembre 3 03 /12 /Déc 09:27

Voilà plus de dix jours que je n’ai pas de nouvelles de mon Maitre.

Et, vous allez rire, ça me met dans un état de stress pas possible.

Force est de constater que j’ai développé une forte dépendance à ma soumission.

Pour vous dire à quel point, lors de mon passage chez Bodyhouse, pour l’achat de mon vibromasseur, j’avais remarqué des colliers en cuir mauves avec de petites pointes en inox.

Ben je suis allez m’en offrir un, avec la laisse.

Et je l’ai porté toute la soirée qui a suivi.

Allant me mater dans une glace à chaque fois que l’envie me prenait.

Bon inutile de vous dire que ça a fini sur mon lit, avec les doigts poisseux.

 

A cette époque, je commençais à m’inquiéter un peu de la tournure que prenait cette dépendance.

Mais, malgré tout, quelque part, j’en étais très heureuse, car je sentais que je perdais pied, que je m’étiolais dans cette relation et que ce « lâcher prise » était jouissif.

Je réalisais au fond que c’est ce que j’avais toujours voulu.

Que ça faisait partie de moi.

Que j’étais faite pour vivre ça.

C’était comme céder à un démon tentateur en se disant que de toute façon on ne pouvait pas lutter.

On se dit qu’on est bonne que pour ça et qu’il est inutile de penser à agir autrement.

Que le combat est perdu d’avance, et que quoi qu’il arrive on finira à genoux la bouche ouverte.

Totalement résignée quoi…

 

En l’état actuel des choses, j’aurais aimé vivre auprès de mon Maitre pour être à sa disposition nuit et jour.

Il me l’aurait demandé j’aurais accepté dans la seconde.

Offerte et soumise, voilà ce à quoi j’aspirais à cette époque.

De nos jours, de l’eau à passé sous les ponts et j’ai mûri.

Je regarde tout ça avec beaucoup plus de sang froid.

Mais malgré tout ce désir de dégradation et d’obéissance est toujours là.

C’est juste que je le gère mieux.

Mais pour l’heure, j’en suis réduite à regarder dans ma boite aux lettres plusieurs fois par jour des fois que le facteur aurait du retard.

 

Quelquefois j’ai eu envie d’en parler à une amie.

Il faut vous dire que je suis très entourée, et par ma famille et par mes amis, dont certains sont des amis d’enfance.

Et tout naturellement lorsque je fus troublée par l’ampleur que prenait cette relation, j’ai éprouvé le besoin de me confier à quelqu’un de proche, une grande amie.

Mais je n’osais franchir le pas.

Comment me verrait-elle après de telles révélations ?

Vous allez me dire, les amis ne sont pas là pour juger, mais pour aider…

Oui mais bon, pas facile…

Et puis j’estimais, à cette époque, que je pouvais arriver à gérer tout ça toute seule.

 

Ce mercredi, je découvre, dans ma boite aux lettres, non pas une enveloppe mais un colis.

Je suis toute émoustillée et je file me jeter sur le canapé avec ce paquet dans mes bras.

L’ouverture est plutôt rapide, vous vous en doutez.

Dedans se trouve un plug en silicone de couleur chair, qui doit faire au moins 7cm de diamètre sur sa plus grande largeur, et une lettre.

 

« Bonjour Orifice, je souhaite que vendredi tu ailles travailler équipée de ce plug et que tu le gardes le plus longtemps possible. Attention tu seras contrôlée.

Samedi je t’attends chez moi, à 17h00, avec ce plug, en jupe et sans culotte.

Monsieur Stéphane »

 

Je serais contrôlée ???

Il n’envisage quand même pas de débarquer à mon boulot pour une inspection. ???

Je ne sais qu’en penser. Serait-il capable de faire ça… ????

Je suis à la fois outrée de cette intrusion dans ma vie professionnelle et terriblement excitée à l’idée de céder un peu plus de terrain à ce Maitre envahissant.

Bon, aucune indication quand à ma tenue vestimentaire pour allez bosser.

Je me dis qu’un jeans serait de bonne augure, ça évitera les accidents.

 

Mais tout d’abord voir si j’arrive à m’introduire cet engin.

Je prends une douche avec ce nouveau compagnon et mon tube de gel.

Je l’enduis abondamment, et me passe également du gel sur mon petit trou.

J’arrive à glisser la première partie sans trop de problème, mais ça coince arrivé à peu près au deux tiers. La force de mes bras ne suffit pas à soumettre mes sphincters.

Je décide de poser le plug sur le rebord de la baignoire et de m’empaler dessus.

Doucement sans précipitation, je glisse sur ce volume proprement ahurissant.

Je me caresse pour aider.

Le plaisir est un puissant moteur pour ce genre de pratique.

Lentement je le sens prendre possession de mon anneau sacré.

J’y suis presque, je passe le point culminant et soudain mes muscles annaux se referment dessus.

Toujours ce plaisir extrême lorsque mes sphincters le poussent à s’enfoncer d’avantage.

Je pousse littéralement un « Ouf ! » plus pour souligner l’énorme volume qui vient de m’investir que pour me dire soulager que ça soit passé.

Je me finis tendrement à la main, à cheval sur le rebord de la baignoire.

Je décide de la garder toute la soirée, pour avoir un avant gout de ce qui m’attend vendredi.

 

On s’y fait.

Il faut juste prévoir un peu de crème, à passer de temps en temps entre la garde et la muqueuse annale pour éviter les irritations, surtout si vous prévoyez de marcher beaucoup.

Le silicone au bout d’un moment ça accroche la peau.

Après c’est une sensation plutôt curieuse.

En fait tout se passe dans la tête je pense.

Si vous n’êtes pas dans le trip, une grosse gêne s’installe vite.

Alors que si vous le portez par pur avilissement, c’est que du bonheur.

Comme à mon habitude je vais me regarder plusieurs fois devant ma glace.

Je me cambre en me dévissant la tête afin de me voir.

Quel plaisir de se sentir ainsi posséder, j’aimerais que mon Maitre soit là.

 

Après un long moment je me dis que je devrais peut être l’essayer avec un jean, comme je prévois de le faire vendredi.

Je passe donc un shorty, et un jeans.

Je m’active dans mon appart’.

Je m’assois, me relève, va et viens.

Ça va, c’est assez peu confortable, mais aussi très excitant.

Dans les premières minutes, j’ai l’impression qu’un truc énorme dépasse de mes fesses, et que ça se voit.

Mais après plusieurs vérifications, absolument rien n’est visible, même en me baissant ou en me mettant accroupi.

Validation faite, je vais me coucher en priant que samedi arrive vite.

 

Vendredi matin. Je suis encore toute stressée.

Je me demande comment Monsieur Stéphane va venir vérifier que j’applique bien ses consignes.

Est-ce juste de l’intox pour me forcer à me plier à ses exigences ?

Je suis impatiente et inquiète à la fois. Comment va se dérouler cette journée ?

J’arrive au travail à 8h55.

Bonjour aux collègues, et je rejoins mon bureau.

La matinée se passe sans soucis.

Je m’éclipse plusieurs fois aux toilettes pour remettre un peu de crème.

Arrive une réunion, que j’espère la plus courte possible.

Tu parles, 45mn, je me suis tortillée sur ma chaise durant le dernier quart d’heure.

Une fois libérée, je file aux toilettes pour apaiser mes fesses.

Sur le chemin, je reçois un SMS.

 

J’ouvre mon portable :

« Orifice tu as 3 minutes pour m’envoyer une photos de ton cul où l’on voit distinctement, une croix faite au marqueur, sur ta fesse gauche.. Bouge-toi…. ».

Ah ben oui, efficace comme contrôle.

J’aurais du y penser…

Demi-tour, je retourne au bureau chercher un marqueur.

J’essaie de marcher vite malgré l’échauffement….

Je fouille frénétique les tiroirs de mon bureau à la recherche d’un marqueur.

Pas un outil indispensable dans mes fonctions.

J’en trouve un, à petite pointe.

Je vérifie qu’il fonctionne bien, ça fera l’affaire.

Je cours littéralement aux toilettes.

Je m’enferme.

Défait mon jean, baisse mon shorty.

Maladroitement, avec le feutre, je tente de dessiner une croix sur ma fesse gauche.

Pas facile quand on est droitière. Je repasse plusieurs fois pour compenser la finesse de la pointe.

Lorsque je pense la chose faite correctement, je me penche en avant et avec mon portable, je tire plusieurs photos dans différentes positions.

D’en haut, d’en bas, d’en dessous, de coté.

Sur la dizaine que je réalise, seule deux sont exploitables.

Où l’ont voit le plug à poste et la croix.

Rapidement, fébrilement dirais-je, je tapote mon écran pour l’envoyer à Monsieur Stéphane.

C’est fait.

Je regarde l’heure de réception de son SMS, 11h06, et il est 11h10.

Je croise les doigts pour que ça passe.

L’attente est interminable. Finalement mon téléphone vibre. Je regarde.

 

« 22 secondes de retard. Peux mieux faire. 5 croix pour la peine. A toute à l’heure »

 

Merde ! J’ai pourtant fait mon possible.

Bon au moins il sait que j’ai respecté ses consignes.

J’en avais presque oublié de me passer de la pommade.

Je soulage mes muqueuses et sors des toilettes.

Il m’a dit à toute à l’heure ; je dois m’attendre à une autre photo à tout moment.

La pause déjeuner arrive assez vite.

Comme à mon habitude je sors déjeuner avec quelques collègues.

Le quartier d’Avignon où je travaille et très bien achalandé en snack, bistro, restau et brasseries.

On y a nos habitudes.

Mais je ne sais pourquoi, mes sens restent en éveil.

 

On s’installe à une terrasse, pour profiter du beau temps et je ne cesse de scruter les gens alentour, m’attendant à voir mon Maitre surgir et me faire signe de le suivre aux toilettes.

En fait, pour ne rien vous cacher, je l’espère, je le souhaite même.

Mais personne ne pointe le bout de son nez de tout le déjeuner.

J’avoue être un peu déçue lorsque nous quittons la table.

Retour au boulot.

Encore une réunion, avec mon personnel cette fois.

En pleine projection PowerPoint, je sens mon téléphone vibrer sur la table.

Bien sur je suis obligée de laisser passer, interdisant moi-même l’usage des portables durant mes réunions.

Je continue donc ma présentation comme si de rien n’était, alors qu’un ouragan se déchaine dans ma tête.

Quelques minutes après il vibre de nouveau.

La sentence, me dis-je intérieurement.

 

La réunion s’achève enfin.

J’ai grand peine a me retenir alors que mes collaborateurs quittent la pièce.

Une fois le dernier sorti, je me jette sur mon portable.

Premier SMS :

« Orifice tu as 3 minutes pour prendre une photos de ton cul où l’on voit distinctement un triangle sur ta fesse droite. »

Et le second :

« Raté, 5 croix de mieux ! ».

 

J’hésite à répondre, mais garder le silence serait encore pire, je crois.

Je tape « Désolée Monsieur Stéphane, j’étais en réunion à réception de votre SMS. Toutes mes excuses. »

Voilà, je n’espère pas la moindre mansuétude de sa part mais je me devais de fournir une explication.

Bon au moins j’en ai fini pour les réunions pour aujourd’hui.

Je suis dans mon bureau, seule lorsque arrive une troisième demande.

« Orifice tu as trois minutes pour m’envoyer une photos de ton cul avec un post-it portant mon titre ».

J’attrape ma pile de post-it, je griffonne dessus « Monsieur Stéphane » et file à nouveau aux petits coins.

Comme la première fois je prends plusieurs photos sous divers angles, et choisis la meilleure. On y distingue la garde de mon plug, mes fesses, une parie de mon sexe, et le post-it où l’on peut lire à demi-mot « Monsieur Stéphane ».

Je l’envoie et vérifie l’heure. 15h20 pour le SMS de mon Maitre et 15h22 pour ma réponse.

Suis contente de moi.

Réponse de Monsieur Stéphane « Très bien, bel effort. A toute à l’heure… »

Encore ???

 

La tension commence à se faire sentir. Etre sous contrainte toute une journée comme ça c’est assez stressant à vrai dire. Mon cœur s’emballe chaque fois que téléphone danse sur mon bureau.

Des amis, la famille ou des pubs pour la plupart.

16h00, encore lui. « Orifice tu as 1mn30 pour me faire une photos de ton cul dans ton bureau »

Délicat là.

Je file verrouiller la porte en espérant que personne ne viendra me voir.

Trouver ma porte fermée à cette heure ci semblerait curieux à n’importe qui.

Je descends mon jeans, mon shorty, me mets à genoux sur mon fauteuil et d’aussi loin que mes bras me le permettent, je prends plusieurs photos en essayant de montrer mon environnement de travail.

Sur tous les clichés effectués, j’en choisi un où l’on voit bien mon cul pluggé, une partie de mon bureau, l’accoudoir de mon fauteuil, les plantes vertes et l’armoire de rangement derrière moi.

J’ai été rapide. Et la réponse ne l’est pas moins. « Parfait, tu t’améliores. A toute à l’heure. »

Encore ???!!!

 

Je passe les deux heures suivantes à guetter le moindre signe d’activité de mon portable.

Que de fausses alertes…

18h30 il est temps de rentrer à la maison.

Je regarde une dernière fois mon téléphone. Rien…

Son « A toute à l’heure » devait juste être là pour maintenir la pression.

Je sors sur le parking et me dirige vers ma voiture.

Il fait gris et venteux, depuis ce midi le temps s’est bien dégradé.

Je m’installe au volant et vais pour boucler ma ceinture, lorsque mon téléphone se manifeste.

J’ai comme une appréhension en le prenant.

Appréhension confirmée « Bonjour Orifice. » Et rien d’autre….

Je sursaute, une silhouette vient de taper au carreau coté passager.

Monsieur Stéphane ouvre ma portière sans vergogne et s’assoit à coté de moi.

Mon cœur s’emballe et je bredouille « Bonjour Monsieur Stéphane ».

  • Tu as l’air surprise. Je t’ai pourtant dit à tout à l’heure…
  • Heu… Oui, Monsieur Stéphane. Mais je pensais que vous parliez du télé…
  • Peu importe, me coupe-t-il, passe sur ta banquette arrière.

Et il descend, pour monter derrière.

Je fais de même, non sans avoir jeté un coup d’œil sur le parking.

Heureusement, à cette heure ci les sorties sont rares, il ne reste que le personnel posté qui finit à 20h ou quelques cadres.

J’ouvre la portière arrière et m’installe sur la banquette.

  • Inspection !

Je m’y attendais pour tout vous dire.

Je me démène pour faire glisser mon jeans et mon shorty sur mes cuisses. Une fois fait, je me mets à genoux pour présenter mes fesses à mon Maitre.

Sans crier gare il me retire mon plug et le laisse tomber sur la moquette au sol.

A son tour il défait son jeans.

Oh non ! me dis-je….

 

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Il va me prendre sur le parking de mon boulot.

Je me sens envahi par une honte soudaine, et une grande peur.

Je sens sa salive couler sur mon cul et presque aussitôt il m’enfile.

Je pousse un petit cri et me laisse tomber les épaules sur la banquette.

Il commence à me besogner vigoureusement.

Je sens ses mains sur mes hanches.

Puis il me remonte mon chemisier jusque sur les omoplates et passe les mains sous mon soutien gorge.

Il me dégage les seins et les saisit à pleine main.

 

Tout à mon plaisir j’implore le ciel que personne ne sorte sur le parking.

Délicieux moment que l’angoisse qui vous tenaille de vous faire voir par quelqu’un que vous connaissez.

Vous ne savez de quel coté pencher. L’angoisse ou le plaisir ?

Bien sur les conséquences d’un tel acte sur le parking de mon entreprise à une heure où j’ai toute les chances de tomber nez à nez avec un de mes patrons, me traverse l’esprit, mais inconsciente que je suis, cela attise mon plaisir et le décuple.

Que tous sache quelle salope je suis vraiment, est un fantasme qui me séduit.

Être obligée de croiser le regard des gens qui sauraient ce que je suis au fond de moi m’excite au plus haut point.

Pour l’instant je me laisse allez.

Non, en fait je participe activement. Mon cul vient à la rencontre de son ventre dans un tempo halluciné qui m’arrache des plaintes et des cris.

Ça ne dure que quelques minutes, mais ce sont des minutes d’une intensité sans pareille.

Durant mon orgasme j’en bave sur la banquette tellement ma bouche reste ouverte à gémir et à vagir.

Il jouit à sont tour.

Je le sens s’épandre dans mon ventre.

Déjà il se reboutonne.

Moi je ne bouge pas, le cul en l’air, les seins à l’air, décoiffée, le souffle court.

Il me remet mon plug en place sans ménagement, mais ça rentre sans problème.

 

Je me rappelle avoir pensé à ce moment là, qu’il devait être dans un état dégueulasse après avoir passer la journée dans mon ventre et quelques minutes sur la moquette salle d’une voiture, avec plein de cochonneries collées dessus.

Mais à cet instant précis je m’en foutais complètement.

J’étais tout à mon atterrissage, alors que j’entendais vaguement Monsieur Stéphane me dire « A demain Orifice » suivi d’un claquement de portière qu’on referme.

Quelques secondes s’écoulent avant que je ne fasse le moindre geste.

Doucement j’émerge.

Je me rembraille tant bien que mal sur cette étroite banquette.

Je rajuste mon soutien gorge et passe une main dans mes cheveux.

Je jette un œil sur le parking, personne.

Je sors et reprend ma place de chauffeur.

J’essaie de me remémorer les voitures qui étaient présentes quand je suis sortie, voir si quelqu’un est parti dans l’intervalle mais je n’y arrive pas.

Je ne pourrais jurer que toutes les voitures présentes quand j’ai quitté mon bureau soient encore là maintenant.

J’espère sincèrement que personne n’est sorti pendant que je me faisais secouer par mon Maitre à l’arrière de ma voiture.

Et je repense avec un petit sourire au fantasme qui m’animait tout à l’heure.

Je démarre et rentre chez moi....

Vivement demain....

.../...

Par orificediary
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Mardi 2 décembre 2 02 /12 /Déc 10:00

.../...

Le premier client se finit à la main, retire son préservatif et m’éjacule sur la poitrine, le second jouit dans sa capote peu après.

Comme j’aimerais pouvoir l’avaler…

Une claque vient résonner sur une de mes fesses. Le bucheron se régale apparemment.

Ah, j’ai déjà une autre queue toute emballée sous le nez, mais pas de billet…

Je fais le geste universellement connu du pouce et de l’index mimant le froissage d’un billet.

Il fait le distrait, et sort un billet de son jeans.

T’as raison, coco, des fois ça peut marcher…

Je veux bien faire la pute, mais pas pour la gloire, j’ai des fringues à racheter moi.

 

Et je le gobe aussi sec.

Une deuxième main lourde s’abat sur ma fesse.

Et une autre queue capuchonnée se présente devant moi avec, cette fois des pièces.

Pratique tient…

Je les prends sans même vérifier qu’il y a le compte, parce que trop occupée.

Je passe d’une tige à l’autre.

Finalement le besogneur a un râle et se retire.

Je sens un liquide chaud sur mes reins.

Je me retourne et le vois sa capote dans une main et sa queue ramollissante dans l’autre.

Allez plus qu’un à me prendre et j’aurais mon compte.

Mais personne ne semble se présenter, tandis que mon bucheron m’enjambe à nouveau et disparait dans le couloir derrière les mateurs.

Va falloir que je suce encore trois mecs…

Pfff je commence à avoir les mandibules fatiguées là.

Je m’active sur mes deux queues.

Assez rapidement la première rend les armes en longs jets épais et chauds, sur ma poitrine.

J’en gémis de contentement.

J’aime marquer ma satisfaction par des gémissements.

 

Pour la seconde, le monsieur se prend en main et me dirige vers ses valseuses.

Il est rasé sous les testicules, c’est agréable.

Je lui dispense de grands coups de langue tandis qu’il s’astique.

Il finit par me jouir dans l’oreille et les cheveux.

Lorsqu’il se retire, je distingue derrière lui un homme à genoux en train de prodiguer une fellation à un autre.

J’ai envie de dire « Hey ho les gars, je suis là… », mais après tout s’ils veulent jouer entre eux…

Et puis c’est la première fois que j’assiste à un tel spectacle, et c’est pas déplaisant.

Se passe quelques minutes, durant lesquelles je n’ai plus de candidat malgré les hommes toujours agglutinés devant la porte.

J’imagine qu’ils profitent de la scène.

Je suis là, offerte, à genoux, la poitrine et les cheveux maculés de sperme, et des biftons dans la main…

De quoi susciter le spectacle.

Je décide de les chauffer un peu.

Je passe un doigt sur mes seins et étale le sperme en dessinant de petits arabesques avec l’air le plus mutin et coquin que je puisse prendre.

Je ne sais si c’est dû à mon interprétation mais un gars bouscule les autres et s’approche.

Il à l’air plus jeune que les précédents, il me tend son billet et déballe son engin.

Mazette ! Un fort bel engin je dois dire…. Il est n’est pas encore en complète érection.

Une fois protégé, je le prends en bouche.

Il grossit rapidement et tout aussi rapidement il me l’enfonce jusqu’aux amygdales.

Encore un adepte du deepthroat.

 

Bon je manque encore de pratique et à plusieurs reprises je dois interrompre l’exercice pour reperdre mon souffle et combattre mon envie de vomir.

Je sens des larmes qui coulent sur me joues, réflexe dû à l’introduction profonde de sa verge au fond de ma gorge.

Là tout de suite je me dis que j’aimerais me voir dans une glace, mon rimmel sur les joues, du sperme sur tout le corps… je dois payer tient.

Il finit par me coller ma bouche sur ses testicules, lui aussi, et se finit à la main.

Encore une rafale sur la poitrine.

A peine rembraillé, un autre prend sa place. Un vieux monsieur aux chevaux blancs et avec une belle brioche. Je prends son billet.

J’aime bien les hommes ventripotents, je les trouve confortables et sexy.

J’adore les voir de profil et nu, avec leur ventre rond qui les empêche de voir leur sexe.

Comme on dit par chez moi, un boulanger est gros à partir du moment où la brioche cache la baguette.

Il y a eu une période où je sortais qu’avec des hommes de plusieurs années mes ainés et j’appréciais tout particulièrement ceux dotés d’un beau bulbe.

Un psy ferait sans doute allusion au besoin de retrouver le père, mais je m’en tape.

J’aime les hommes aux ventres proéminents et puis c’est tout.

C’est comme ça, faut pas chercher.

 

Je reviens à mon représentant du 3eme âge, c’est rigolo de voir un sexe couronné de poils blancs.

Mais il en est pas moins vigoureux que les autres. Je l’attrape et l’enfourne.

Après tout ce dur labeur ma langue commence à être un peu douloureuse et fatiguée.

Mais je continue, je ne risque pas de baisser les bras…

Je me ménage de petites pauses, où mes mains ou mes lèvres prennent le relais.

Un autre gars s’approche avec sa tige dans une main et des pièces dans l’autre.

J’encaisse et attend qu’il l’emballe.

Je passe d’une queue à l’autre avec régularité, en regrettant que quelqu’un ne se décide pas à me prendre en même temps.

Le vieux se finit à la main, également.

Ça en est vexant…

A douter de mes talents de suceuse…

Mais je me rattrape avec l’autre, qui s’épanche dans mes cheveux.

Un homme se faufile jusqu’à moi et passe derrière moi.

Il est grand et mince comme une asperge.

Une fois enfilé sa capote, il m’attrape les hanches et me pénètre d’un coup sec.

Enfin quand je dis sec, c’est une expression parce qu’aucun des mes orifices ne l’est plus depuis un bon moment déjà.

Bon, plus rien à faire avec ma bouche…

 

J’en profite pour jouer un peu, je gémis, je passe ma langue sur mes lèvres, les yeux mi-clos.

Merde, d’un coup je percute.

Celui qui s’active derrière moi ne m’a pas payé.

Faudra que je le choppe avant qu’il ne sorte.

En même temps je ne sais plus où j’en suis dans mes comptes.

J’essais de faire le compte de fellations et de pénétrations, mais je n’y arrive pas.

Je me dis que du coup va falloir faire du rabe pour être sur d’arriver et de dépasser les 50€.

J’ouvre la bouche bien grande et tire une langue gourmande, comme pour leur signifier mon envie de sucer encore et encore.

Je me fais l’impression d’être dans un dessin de Manara, où son héroïne, Claudia Cristiani dans le Déclic (BD que je vous recommande au plus haut point), tend le cou en sortant une langue obscène assumant son plaisir forcé.

Le gars derrière moi ne me procure pas plus de plaisir physique que le premier, mais cérébralement je m’envole.

Faire la pute à 5€ pour une bande de singes est assez stimulant de mon point de vue.

Je regarde avec insistance le gars en train de se faire sucer par un autre homme.

Nos regards se croisent, j’insiste. Il comprend.

En deux pas chassés, il s’approche de moi, son mignon toujours la bouche collée à son ventre.

Je me fais une place à ses cotés et nos deux langues s’activent sur sa hampe.

Je jette un œil au suceur qui besogne avec moi, et je lis dans ses yeux de l’excitation.

Il apprécie de se trouver aux cotés d’une femme.

Mon imagination s’enflamme. Je n’ai jamais vu un homme se faire sodomiser par un autre, et l’idée d’assister à un tel spectacle m’émoustille énormément.

J’aimerais beaucoup que les choses évoluent de cette façon…

 

Nous avons chacun une main sur la tête, tandis que nous redoublons d’efforts pour amener notre proie au plaisir.

Tout le monde semble apprécier le show.

Finalement, autant devant que derrière, l’orgasme arrive vite.

Le premier nous jouit dans les cheveux, et le second dans sa capote.

Avant qu’il ne s’échappe je l’attrape par le poignet et lui dis : Hey, vous n’oubliez rien ???

Il se dégage, et, sans un mot, disparait en se faufilant au milieu le groupe.

Zut ! Me suite faite avoir….

Là encore, j’insiste sur ce besoin, mais j’aimerais pouvoir m’admirer dans une glace, le visage zébré d’un long trait de foutre. En y repensant, il n’y a que dans ces situations que je me sens vraiment belle et attrayante.

Non pas que je ne le sois pas dans la vie de tous les jours, mais là, tout particulièrement, si j’étais un mec je me prendrais sans hésitation.

Les adeptes de la soumissions comprendrons certainement ce que je veux dire, et pour les autres, qu’ils sachent que je ne me sens magnifique, épanouie et heureuse que lorsque j’affiche mon coté salope, sans aucune vergogne.

Et quelle meilleure façon de l’afficher qu’en ayant du sperme dans les cheveux, sur le visage, les seins et les reins…

Je me rappelle avoir lu une nouvelle érotique, où une dame racontait ses aventures extraconjugales.

Et tout particulièrement, j’avais noté son habitude de se précipiter dans la salle de bain dès que ses amants lui avaient giclé sur le visage.

Eux, pensaient qu’elle filait se nettoyer, mais en fait elle allait s’admirer dans la glace.

Elle se trouvait remarquable et désirable comme jamais dans ces moments là.

A l’époque, j’avais trouvé ça curieux.

J’ai mis du temps à comprendre la signification de ce rituel, et ce besoin de me voir telle que je suis vraiment, à l’intérieur.

Encore un mec qui s’approche. Il me jette son billet par terre, et sort sa queue. Avec servilité je le ramasse, et commence à le sucer.

 

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Une silhouette s’avance, et je reconnais mon Maître.

Un sourire intérieur m’illumine soudainement alors qu’il passe derrière moi.

Là je suis la plus heureuse des femmes.

Je sens une des ses mains sur mes hanches, et l’autre m’ôte mon plug.

Instantanément le plaisir physique qui me faisait défaut jusque là, se manifeste.

Ma conque se trempe et je redouble d’effort avec ma bouche et ma langue.

Je sens un filet chaud qui me coule entre les fesses… Il me lubrifie.

Ce que je ressens lorsque son gland se présente sur mon anus est magique.

Un réel frisson me parcourt de la tête au pied, et sans ménagement il m’enfile.

J’ai longtemps eu ce désir secret d’être prise par derrière tout en suçant un autre homme, comme beaucoup de femmes j’imagine….

Mais j’étais loin de m’imaginer le concrétiser un jour de cette façon.

La bouche pleine je ne peux m’empêcher de gémir, et m’arrête de temps en temps afin d’exprimer mon plaisir de façon plus vocale et audible. J’ai l’impression d’avoir une langue d’un kilomètre de long, je la passe partout où je peux.

Le plaisir monte en moi comme un raz de marée rapide, que rien ne peut endiguer.

De sentir les mains de mon Maître sur ma taille, et sa queue prendre possession de mon cul, je suis au paradis.

Et les regards libidineux qui courent sur moi ne font rien pour atténuer mon extase.

Je suis sur le point d’exploser, la bouche grande ouverte dans un cri muet, les yeux clos et tous ces yeux posés sur moi au moment le plus intime.

Je ne connais pas de meilleur orgasme que celui que l’on a devant des tiers.

Je suis ravagée de haut en bas, je tombe en avant, les deux mains au sol.

Le plaisir parcourt mon échine comme un courant électrique venu du tréfonds de mes reins.

Doucement ça passe, en me laissant cette impression d’immense tendresse et de bonheur que je ressens après un orgasme en général.

Mais Monsieur Stéphane n’a pas fini, pas plus que celui que j’étais en train de pomper.

Je m’y remets donc, tout en continuant à me faire défoncer par mon Maître.

L’avantage que nous avons, nous autres femmes, c’est qu’après un orgasme, le plaisir revient vite.

 

En l’attendant, je me donne à fond, et finis par recueillir le fruit de mon travail oral.

Une belle éjaculation, longue et poisseuse.

J’en ai finis avec lui, reste mon Maitre, pour mon plus grand plaisir.

Je me redresse et me colle contre lui, en exhibant ma poitrine maculée aux regards lubriques de la foule.

Monsieur Stéphane passe ses mains sur mes seins, sans se soucier du sperme dont ils sont copieusement enduis.

Ses doigts glissent sur ma peau blanche en étalant l’expression du plaisir des hommes que je viens de sucer.

Je frissonne tant j’apprécie de me donner à Lui de cette façon.

Je tends mes bras en arrière et lui caresse les cheveux.

Je le sens au fond de moi, allant et venant avec passion.

Je me régale du regard de tous ces hommes qui me voient telle que je suis vraiment, sans fard ni masque.

Cela rajoute à mon plaisir et le décuple.

Je bouge de façon rythmée, en m’empalant sur sa verge chaque fois qu’il remonte ses reins.

Une de ses mains descend sur mon sexe et me caresse frénétiquement le clitoris, m’exhortant à la jouissance.

Il s’active de plus en plus vite, et me glisse deux doigts dans la vulve.

Je le sens sur le point de jouir.

Moi aussi, ça vient à nouveau.

Je me cambre lorsque le séisme arrive, j’ai encore un ou deux soubresauts, alors que le plaisir parcourt mon épine dorsale et je m’affale à quatre pattes.

Monsieur Stéphane rajuste son jeans et repasse devant moi.

Il ferme la porte repoussant les mateurs dans le couloir. Il s’accroupie devant moi.

  • Tu as aimé, Orifice ?
  • Si j’ai aimé ? J’ai adoré oui…. Je suis littéralement aux anges. Oui Monsieur Stéphane.
  • Quel effet ça te fait ? me demande-t-il en me tendant la main.

Quel effet ? Ça me fait l’effet d’être une belle salope, assoiffée de sexe. Etre prostituée pour une poignée d’euros et terriblement avilissant. Et ça, ça suffit à mon bonheur.

Je lui remets l’argent durement gagné, je ne sais même pas combien il y a…

  • Je me sens bien, Monsieur Stéphane. Je suis à ma vraie place…
  • Bien, très bien… Tu apprends vite. Tu es une bonne petite fille et tu sers bien ton Maitre.

Il ne pouvait me faire plus beau compliment.

Au-delà du sens proprement humiliant de cette dernière phrase, j’y vois une reconnaissance de mon investissement, de la passion que je mets à jouer mon rôle de soumise. .

  • Merci Monsieur Stéphane.
  • De rien… Bon, je vais y allez. On ne se voit pas le week-end prochain, je ne suis pas libre. N’oublie pas ton plug.

Grosse déception d’un coup. Deux semaines sans se voir ?? Ça va être long…

D’un coup alors qu’il se relève je distingue une grosse tache sur sa chemise à hauteur du ventre.

  • Excusez-moi, dis-je en lui montrant du doigt la tache.

Il regarde, et s’étonne : Mais comment… ???

  • C’est moi, en me redressant. J’ai collé mes reins contre vous. Ils étaient un peu…

Je ne finis pas ma phrase.

C’est con, je n’arrive pas à dire qu’ils étaient couvert de sperme.

La pudeur est une chose curieuse parfois, je viens de me comporter comme la pire des chiennes devant tout un tas de mecs et je n’ose pas prononcer le mot « sperme » dans une phrase.

  • Ok. Deux croix, donc. Une pour la tache et une pour avoir oublier Monsieur Stéphane.

Il pose la main sur la poignée. J’ouvre la bouche pour lui dire qu’il oublie quelque chose, mais il se retourne et me dit : Tes fringues sont au guichet. Bye !

 

Ah ok, va falloir que je traverse toute la boutique nue et maculée de sperme.

Je me retrouve seule, à quatre pattes dans cette cabine avec le souvenir d’un plaisir intense encore bien présent dans mon esprit. Je reste ainsi quelques minutes, puis je me relève.

Je ramasse le plug.

Je reste encore plantée devant la porte sans bouger, et je me décide à l’ouvrir.

Mon fan club est là, évidement.

Je vais devoir me faufiler à travers tous ces mecs au regard enflammé.

J’entreprends de passer en murmurant un « pardon » aux premiers.

Ils s’écartent un peu. Je passe.

Ils sont nombreux. Le couloir est plein.

Je me glisse au milieu d’eux et ça ne loupe pas.

Des mains me touchent, m’attrapent, me pincent.

Je sens même des doigts s’introduire en moi.

Je me tortille, un bras contre ma poitrine, l’autre sur mon bas ventre. Je bouscule, je pousse, je force et en retour ils s’en donnent à cœur joie en redoublant d’audace.

Profitez bien les gars…

J’arrive au bout du couloir, et sors dans la boutique, littéralement catapultée.

Je tombe nez à nez avec un couple devant le rayon des sex toys.

Le regard de la fille, interloqué plus que choqué, me fait me demander ce qu’elle pense à cet instant précis.

Je me dirige vers le comptoir sous le regard d’autres clients.

  • Vous avez mes affaires ?
  • Oui bien sur, les voilà, me répond le caissier d’un air goguenard.

Je les attrape. Va falloir que je me rhabille devant tout le monde.

Et, c’est marrant, je trouve ça pire que de me balader nue et souillée.

Je me tourne face au mur de jaquette de vidéos, et enfile ma jupe puis mon chemisier.

La pièce se rempli des gars qui étaient dans le couloir.

Je vérifie que mes clefs sont dans ma poche, j’attrape mon plug et me dirige vers la sortie.

Bon la voiture n’est pas trop loin et à cette heure ci je ne devrais pas croiser grand monde.

Je sors dans la rue.

Personne.

Je me dirige vers la rue où je suis garée…

Je me retourne, plusieurs hommes quittent le sex-shop, et certains prennent la même direction que moi.

J’active le pas.

Je croise un couple et je remarque que l’homme fixe mon visage et mes cheveux barbouillés.

Evidement je suis garée dans une rue totalement déserte et mal éclairée.

Je cours presque.

J’arrive à me voiture et m’engouffre dedans.

Je la verrouille et m’effondre en larme sur le volant.

Un peu trop d’émotions contradictoires pour ce soir, je crois.

Je me ressaisis et démarre.

 

Sur le trajet de retour, je repense aux événements.

C’était plutôt bien. Et je suis assez contente de moi.

Et avant d’arriver chez moi, je vais prendre beaucoup de plaisir à me répéter plusieurs fois cette phrase : Tu es une bonne petite fille et tu sers bien ton Maitre.

Merci Monsieur Stéphane.

 

Par orificediary
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Lundi 1 décembre 1 01 /12 /Déc 09:37

La semaine s’écoule longue et trainante. Je n’en vois plus le bout.

Et si avant de rencontrer Monsieur Stéphane, j’allais relever mon courrier une fois par semaine, quand j’y pensais, maintenant c’est la première chose que je fais, tous les jours, en rentrant du boulot.

Comment se créer une dépendance…

 

C’est vrai, c’est curieux de devoir changer ses habitudes comme ça, juste parce que vous avez rencontré quelqu’un. Je veux dire avant de rencontrer Monsieur Stéphane j’avais une vie normale, un mec avec qui je partageais mes nuits, des amis avec qui je passais mes soirées et des collègues avec qui s’écoulaient mes journées.

Mais là, tout ça me parait opaque, insipide, sans saveur, comme si j’avais vécu jusque là avec un voile sur les yeux et que maintenant, tout éclate avec plus de couleur, plus de saveur et plus de parfum.

Tout est plus vif, mieux ressentit et mieux perçu…

Comme un nouveau monde, une nouvelle vie.

 

En fait en y réfléchissant et en couchant ces mots sur mon écran, je me dis que cela ressemble bien à ce que l’on éprouve lorsque l’on tombe amoureux.

Mais attention je ne parle pas de tomber amoureuse de mon Maitre, car vous l’aurez compris j’ai déjà développé des sentiments très fort à son égard, non, là je parle de tomber amoureuse de ma condition, de ma propre révélation.

Comme je l’ai déjà dit, je suis entrée en soumission, et cet état de fait empli ma vie de façon luxuriante, totale et absolue.

Je ne vis plus que pour ça.

Je ne pense qu’à ça, à chaque minute qui s’écoule que je sois au boulot, en famille, en train de faire mes courses, au sport… C’est un état d’esprit qui vous envahi intégralement et qui n'accorde aucune concession à une autre activité, quelle qu’elle soit.

Rien ne peut supplanter cette soif de servitude, ni la faim, ni la soif, ni aucun autre besoin primaire.

C’est fou quand on y pense….

Si j’avais écris ces lignes en temps réel, au jour le jour, à la naissance de ma relation je vous aurez dit que c’est normal, c’est le début, et que les débuts sont toujours enflammés, passionnés.

Mais avec le recul, je sais qu’il n’en est rien, même quatre après, mon désir de Lui appartenir, de Lui faire plaisir, d’exécuter le moindre de Ses ordres est toujours là, tenace, présent et viscéralement ancré en moi… Même si par la force des choses nous nous voyons moins.

J’ai juste appris à vivre avec, pauvre de moi.

 

Le jeudi, j’ai droit à mon enveloppe rouge. A peine fermée ma porte, je la déchire.

« Orifice, sois au sex-shop de la rue Saint Ruf ce samedi à 20h00. Tenue : jupe courte, pas de culotte et plug à poste. Ne prévoit pas de sac à main, tu risquerais de l’égarer. Dans le sex-shop choisis une vidéo à visionner et présente-toi au guichet en demandant une cabine. Installes toi-s-y  et laisse la porte entre ouverte.

Monsieur Stéphane »

 

Ah un rendez vous le soir, et dans un sex-shop qui plus est… J’en frissonne d’avance.

Je note l’avertissement pour le sac à main. Je ne sais quoi en penser…

Que va-t-il se passer ?

Comment vont tourner les choses ?

Ça va être une orgie ???

Bon de toute façon j’ai totalement confiance dans mon Maître pour gérer les événements à venir, pour mon plus grand plaisir.

 

On est samedi soir. Je me gare non loin du sex-shop et m’y rend à pied. Je suis vêtue d’une mini-jupe noire et d’un petit chemisier blanc coquin sans soutien-gorge... Le tout perché sur des talons mi-haut.

J’ai glissé mes clefs de voiture dans une petite poche de ma jupe. C’est tout ce que j’ai sur moi, en plus de mon plug.

Je me sens toute nue de sortir sans sac.

Il me manque quelque chose…

Pas l’habitude.

 

Je rentre dans la boutique à la vitrine sobre et discrète.

La lumière y est tamisée, et y flotte une curieuse odeur comme du désinfectant avec un parfum de synthèse.

Le caissier me jette un coup d’œil distrait et me dit bonsoir.

Je lui réponds et me dirige vers le rayon des vidéos.

Trois hommes, tous passé la cinquantaine, trainent entre les rayons. Ils ne manquent pas mon arrivée, bien entendu.

 

Rapidement je localise le rayon qui m’intéresse le plus, celui de la domination.

Je parcours les jaquettes toutes plus allumées les unes que les autres.

Des gros plans sur des visages féminins en pleur, des anus distendus, des tétons pincés, des fesses rougies…

Bref tout ce que cette activité peut offrir comme situations.

Je m’applique pour choisir un truc bien, qui me plaise, mais ce n’est pas facile tant le choix est vaste.

Curieusement les trois hommes sont tous passés dans mon rayon, et un quatrième vient les rejoindre.

Ils font tous mines d’être absorber par leur réflexion sur les jaquettes mais dès qu’ils peuvent ils me jettent des regards en coin.

En fond sonore on entend des soupirs et des cris, venant vraisemblablement d’une cabine située à l’arrière de la boutique.

J’ai fais mon choix. « L’éducation de Julie ».

Un drame qui se déroule dans un château où une jeune orpheline est soumise à une stricte éducation anglaise.

Tout un programme…

Je me rends au guichet et je pose la jaquette sur le comptoir. Le caissier me demande « Vous êtes Orifice ? ».

J’en reste bouche bée.

  • Heu… Oui, c’est moi. Pourquoi ?
  • Votre cabine est déjà payée. C’est la 5 au fond du couloir. Je vous mets la vidéo. Vous avez un pupitre de contrôle dans la cabine pour rembobiner, avance rapide et pause….

Toute est prévu. Forcément….

Je me dirige dans la direction indiquée par le vendeur.

Un rideau noir apparait entre deux rayons.

Les gémissements semblent sortir de là.

J’écarte le rideau.

Ouche ! Il fait noir comme dans un four.

Je reste sur le seuil en attendant que mes yeux s’habituent.

Je distingue une petite lumière verte signalant une issue de secours à ma gauche et plusieurs portes à ma droite.

Je m’avance doucement.

J’entends du bruit devant moi.

Un homme s’avance.

Je me colle au mur pour le laisser passer.

En me croisant, dans la pénombre, il me jette un regard appuyé.

Je reprends ma progression et constate du coin de l’œil que l’homme à fait quelques pas puis s’est arrêté.

Surement à cause de ma présence.

Suis un peu moins fière et confiante là.

 

J’avance jusqu’à distinguer une chiffre 5 peint en blanc sur une porte.

C’est là, je la pousse et j’entre.

Je distingue l’écran ou s’affiche un générique en musique.

Devant se trouve un large fauteuil à accoudoir et sous l’écran quatre gros boutons.

Surement les commandes pour la vidéo.

Je reste planté là dans cette petite cabine de 6m² maximum, puis je me décide à allez m’asseoir.

Mais avant je me demande si c’est bien prudent de laisser la porte entre ouverte.

Je décide de la fermer, mais sans mettre le loquet.

Je m’installe, la vidéo commence.

Je matte la première scène de sexe, vaguement excitée.

En fait je ne suis pas concentrée du tout, je m’inquiète plus de qui pourrait surgir dans la cabine.

Quelques minutes passent puis j’entends du bruit derrière moi. Je me tourne.

Un homme passe la tête timidement et entre complètement.

  • Tu as besoin de compagnie ma chérie ?
  • Non merci j’attends quelqu’un.
  • Ha ok, je reste dans le couloir si tu as besoin beauté.

Je suis étonné de la facilité avec laquelle je m’en suis débarrassé.

Il faut dire que je ne connais pas la faune qui hante ce genre d’endroit.

Je m’attendais à de gros macho pervers prêt à sauter sur la première fille venue s’aventurer ici, mais en fait j’allais apprendre plus tard avec l’expérience que dans les arrières salles des sex-shops ont trouve généralement des pauvres types en quête d’un peu de chaleur humaine, et de sexe, accessoirement.

Une grande majorité sont en général des soupeurs, ou des vaches-qui-rit (le terme n’est pas de moi).

Des types prêts à sucer n’importe quel mec pour assouvir un fantasme d’homosexualité, visant à compenser une absence de vie sexuelle.

Des hommes pas méchants ni violent pour deux sous.

Bon, après, si une occasion féminine se présente ils ne rechigneront pas à mater ou même à participer dans un élan de courage, mais c’est à peu prêt tout….

N’empêche que pour l’heure je n’en mène pas large.

 

Et je suis sur que Monsieur Stéphane m’a fait commander une vidéo en cabine en espérant me trouver en pleine caresse, mais suis trop préoccupée par cette porte pas fermée.

Au bout d’un petit instant la porte s’ouvre à nouveau. Je tourne la tête, il s’agit de mon Maître adoré et adulé. Instantanément mon visage s’éclaire.

  • Bonsoir Orifice. Tu t’amuses bien ?
  • Oui. Heu..Bof… pas trop en fait, Monsieur Stéphane.
  • Ok, t’inquiètes pas on va arranger ça, mais d’abord inspection…  Et je ne t’avais pas demandé explicitement de laisser ta porte entre-ouverte ?
  • Oui Monsieur Stéphane. Je n’ai pas osé… Tous ces hommes…
  • Ben quoi tous ces hommes, ils sont la pour toi. Bon je note une croix.
  • Oui Monsieur Stéphane.

Je m’appuie sur le mur et me penche en avant prêt à exhiber mes fesses, comme d’hab’ quoi…

  • Non pas ici. Dans le couloir.

Ah ok. Bon, ça va, pas trop gênée.

J’aime bien l’hexib’ et puis avec la pénombre qu’il y a, je suis tranquille.

Je le suis dans le couloir, où déjà une petite troupe d’hommes s’est agglutinée.

J’entends plus que je ne le vois, le claquement de doigt, que j’imagine pointé vers le sol.

Aussitôt je me mets à quatre pattes, relève ma jupe et écarte mes fesses, en salivant d’avance (par tous mes orifices) du spectacle que j’offre.

J’entends Monsieur Stéphane qui se met à crier « Marc, un peu de lumière dans le couloir je te prie… ! »

Merde, ce n’était pas prévu du tout ça.

Je rougis instantanément, en même temps que la lumière se répand au dessus de nous.

Monsieur Stéphane se baisse devant mes fesses et je distingue un mouvement de plusieurs personnes derrière lui.

Ils doivent tous se dévisser la tête pour mater…

L’inspection dure exagérément longtemps. Monsieur Stéphane entend bien régaler son public.
 

  • Bien parfait comme d’habitude, me dit-il Allez rentre dans la cabine…

 

J’amorce un mouvement pour me lever, mais fort heureusement, je me ressaisis à temps, et tourne sur place en restant à quatre pattes. J’entre dans la cabine.

Monsieur Stéphane me suit et referme la porte derrière lui.

  • Déshabille-toi.
  • Oui Monsieur Stéphane.

C’est excitant au possible. Je ne sais pas où il veut m’emmener, mais je suis troublé au plus haut point.

Je me déshabille, et lui récupère mes vêtements.

  • Où as-tu mis tes clefs de voiture, me demande-t-il ?
  • Là, j’ai une petite poche sur ma jupe Monsieur Stéphane.
  • Ah ok, très bien… Il les sort et les prends dans sa main…

Moi, inconsciente et naïve que je suis, je suis  toute heureuse d’avoir à faire à un Maitre aussi prévenant, mais….

  • Ok je te rendrais le tout contre 50€… En liquide

Je reste sans voix, je lève mes yeux interrogatifs vers lui.

  • Evidement tu n’as pas d’argent sur toi ? rajoute-t-il….

Ben non, je suis nue comme un vert, avec juste mon plug.

  • Non Monsieur Stéphane.

Bon je t’attends dehors, je suis sure que tu vas trouver un moyen d’en avoir…

Avec tous ces mecs morts de faim dans le couloir, tu devrais te débrouiller.

Le salaud ! (Excusez moi pour ça Monsieur Stéphane mais vous m’avez demandé de tout retranscrire, mes états d’esprit comme mes pensées).

Je le vois partir dans le couloir en bousculant les gars qui s’entasse devant la porte.

Je l’entends dire en même temps qu’il disparait dans le groupe : Soyez généreux les mecs, elle en vaut la peine.

 

Grand moment de solitude, comme on dit. Tout le mode reste sur place, moi comme le groupe d’hommes.

Je ne sais pas comment m’y prendre et je regarde les murs d’un air gêné.

Finalement le plus courageux s’avance.

  • C’est combien pour une pipe ?

Mais ce n’est pas à moi qu’il s’adresse, il tourne la tête en posant sa question.

Et j’entends Monsieur Stéphane, invisible qui répond : « 5€ pour une turlutte, 15€ pour un coup, mais pas de sodomie, elle est pluggée et j’entends bien qu’elle le reste… Et n’oubliez pas votre petite laine…. »

Le plus vaillant de tous s’avance et me tend un billet de 5€.

Je reste indécise, et hésite à le prendre. Il a l’air perdu et tourne à nouveau la tête vers le couloir, comme pour protester et dire « ben, elle veut pas… ».

Je lui prends son billet.

Et dans la foulée il déboutonne son pantalon, tandis que je me relève à genoux.

Il sort son engin de son caleçon. Il est presque en érection.

Il y passe une capote.

J’avance la bouche. Je le prends en bouche.

Un deuxième s’approche la queue à la main, il me glisse un billet dans une main. Une fois enfilé son capuchon je l’entreprends lui aussi.

Un autre bouscule doucement tout ce petit monde et m’enjambe pour passer derrière moi.

J’entends sa fermeture éclair qui descend et je tourne la tête pour voir se qu’il fricote.

Il déchire l’emballage d’un préservatif, puis me tend deux billets de 10 €.

J’interromps mes fellations pour lui rendre sa monnaie et je m’assure de l’usage qu’il fait du préservatif.

Une fois qu’il l’a enfilé, je sens ses mains qui se posent sur mes hanches.

Je retourne à mes deux queues. Commence le besognage, accompagné de « Han, Han ! » de bucheron.

Curieux de se faire prendre en étant pluggée.

 

ob_2a5283_108346-1.jpg

 

Si je peux me permettre une petite précision anatomique, le plug occupant mon rectum avec un assez bon volume, la verge est déviée vers le bas et donc sollicite encore plus que d’habitude le périnée tout en repoussant le plug vers le haut.

C’est assez stimulant je dois dire, même si dans ce cas présent je n’arrive pas à décoller.

La situation ne me déplait pas, mais je suis un peu déçue que Monsieur Stéphane ne soit pas là, à mes cotés.

Le plaisir que j’éprouve est purement cérébral, le pauvre bucheron derrière moi ne parvient pas m’affoler plus que ça.

Je jouis de la situation et m’en délecte, car c’est encore un vieux fantasme que je réalise là.

 

Quelqu’un a dit que les fantasmes devaient rester du domaine des rêves et qu’on ne devait jamais tenter de les concrétiser de peur d’être déçu.

 

Ce n’est pas mon cas, une fois franchi le pas, je suis aux anges.

Et si je ne prends pas mon pied physiquement, je me régale intellectuellement.

J’aimerais que quelqu’un immortalise ce moment avec des photos ou une vidéo.

Il faudra que j’en parle à Monsieur Stéphane…

.../...

 

Par orificediary
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