Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 11:54

Ne voulant pas me donner le temps de me décourager, j’appelle Monsieur Stéphane le vendredi soir suivant. La conversation reste courtoise et nous convenons d’un rendez vous, le lendemain après-midi, dans un café de la rue de la république à Avignon.

 

Je ne suis pas totalement inconsciente, même si, lorsque mes fantasmes m’habitent je serais prête à beaucoup de risque pour les assouvir. Pour nos premiers rendez-vous, je me sentirais plus à l’aise avec du monde. Seule consigne avant de raccrocher, il me dit :

« Venez habillée de la façon la plus féminine possible…. ».

Je m’interroge.

Qu’a-t-il voulu dire ?

Est-ce un premier test ?

La façon la plus féminine possible ???

Les jambes nues, très certainement. Il veut que je vienne en robe ou en jupe.

Aucun souci, j’y comptais bien de toute façon. J’ai toujours aimé mettre ma féminité en avant. Sentir les regards couler sur moi….

Je décide que l’occasion vaut bien quelques emplettes.

 

Il me reste le samedi matin pour courir les boutiques. J’avoue que j’ai du mal à trouver le sommeil. J’ai eu la boule au ventre toute la soirée et ça continue tout le samedi matin.

L’excitation me gagne alors que je choisie une petite jupe rouge assez courte, à mi-cuisse, et une marinière noire et blanche, le tout avec une épaisse ceinture noire simili cuir à grosse boucle.

Des talons hauts sont de rigueur, et tant qu’à faire, je me dis que quelques froufrou ne seraient pas pour lui déplaire. J’opte pour une paire de bas foncés et des dessous rouge.

 

En fait, j’adorerais que dès notre premier rendez vous les choses se corsent, se concrétisent.

Qu’il m’emmène chez lui, ou dans un coin tranquille et qu’il abuse de moi….

Je sais, ce n’est pas raisonnable ni très prudent, mais je ne peux empêcher mon imagination de s’emballer.

Une fois mes emplettes faites, je rentre chez moi.

Le déjeuner ne passe pas… J’arrive à peine à avaler quelques bouchées.

Je décide d’aller courir un peu, ça me détendra.

Mais c’est encore pire.

Courir devient mécanique avec l’habitude, et là plus qu’à n’importe quel autre moment, votre imagination vous titille là où ça vous démange.

Trois quart d’heure de footing m’ont fait littéralement perdre la tête. Je rentre chez moi hors d’haleine, et la tête en feu.

 

Je prends une douche et commence à me préparer.

L’heure du rendez vous approche. Je mets la dernière touche à mon maquillage, discret et sobre comme je l’aime, et je suis prête.

Étonnamment, je suis plus détendue que durant les dernières heures que je viens de passer.

Je sors de chez moi, monte dans ma voiture et roule….

J’arrive la première. Un coup d’œil en terrasse, et à l’intérieur, me confirme qu’il n’est pas encore là.

Je choisis une table contre le mur donnant sur la terrasse couverte.

Un serveur arrive.

Je n’ose commander sans lui.

Je m’excuse et dit que j’attends quelqu’un. Les minutes passent, un quart d’heure, une demi-heure…

 

Quel jeu joue-t-il ?

Il me semble qu’à la place de n’importe quel homme normalement constitué, je ne ferais pas attendre une jeune femme qui envisage de devenir mon esclave.

Ou peut être que si, juste pour lui montrer qui est le patron.

En fait je ne sais pas, je ne sais plus. La tension est à son comble. Bientôt trois quart d’heure que j’attends. Le serveur me jette un œil à chacun de ses passages.

Je me demande à quel moment je vais me lever pour partir, tout à ma déception. La désillusion me guette.

Oh comme je voudrais qu’il soit là pour de vrai.

Je trouve enfin un homme qui semble savoir de quoi il parle, qui parait en connaitre un bout sur la chose, je m’offre littéralement à lui…

Et il ne vient pas….

 

Serait ce un fabulateur ?

A-t-il fanfaronné sans vraiment savoir de quoi il parlait ?

C’est il dégonflé à la dernière minute…?

Je sais, pour les avoir fréquenté, que les tchat SM sont rempli de fantasmeurs, qui ne passeront jamais à l’acte, qui se contente de prendre du plaisir sur la simple hypothèse qu’il pourrait se passer quelque chose.

Est-il de ceux là ?

Ça ne me semble guère possible cependant.

Je me sais jolie et bien faite, on me le dit assez souvent et de toutes les manières possibles.

Loin de moi l’idée de prétendre avoir tous les hommes à mes genoux, mais, encore une fois, j’ai du mal à croire qu’un homme de plusieurs années mon ainé, soit resté indifférent à mes charmes et surtout à ma proposition directe…

 

Pourtant c’est un fait, il ne viendra pas.

J’attends encore quelques minutes, le cœur empli d’amertume et de désespoir.

D’un coup j’y pense, j’ai son numéro, je pourrais l’appeler…

Mais j’hésite, est-ce bien mon rôle, ma place ?

Si je l’appelle en l’interrogeant, ça fait un peu "morte de faim", et si je l’appelle pour râler de son lapin, ça fait pas trop fille soumise…

Que faire ?

J’ai mon téléphone dans une main et sa carte de l’autre…

Je réfléchis, passent encore 2 ou 3 minutes.

J’appelle…

Mon cœur bas une sacrée chamade, inutile de le dire.

Et là, messagerie direct.

Ok en plus d’être un fabulateur, monsieur est un lâche.

 

Je raccroche sans même me demander si je lui laisse un message.

Grosse désillusion, le dégrisement me submerge.

Et merde… Je m’en vais.

Je rejoins ma voiture. Je m’installe au volant, lorsque je remarque une enveloppe d’un rouge profond, glissée sous mon essuie-glace.

Immédiatement je ressens un coup d’adrénaline.

Serait ce possible… ?

Non ça doit être une pub ventant un nouveau resto ou un promo quelconque.

Je descends, et attrape l’enveloppe…

Et comment aurait-il su où se trouvait ma voiture ?

Il a pu la voir durant notre stage, après ce n’est pas compliqué en donnant rendez vous à un endroit donné, de trouver les stationnements évidents…

Je la regarde.

Elle est riche, épaisse, le papier doit être gaufré ou quelque chose comme çà.

Un cachet de cire en ferme l’opercule,

Un cachet avec un « S » stylisé, en empreinte. Là je ne doute plus.

Je remonte au volant de ma voiture non sans avoir lancé des regards aux alentours.

 

Est-il encore là ? M’observe-t-il ?

J’ouvre l’enveloppe.

J’en sors un petit carton, lui aussi rouge, de bonne qualité. Je lis le texte écris d’une main sure et ferme.

 

« Bonjour Aurore, à la réflexion j’ai voulu nous éviter la platitude d’un rendez vous dans un café. Pour notre premier rendez vous, j’ai pensé qu’un cadre plus solennel serait mieux adapté. Ne vous inquiétez pas, là où nous allons il y aura du monde également. Rejoignez-moi devant l’entrée du Palais des Papes. Tout de suite. ».

 

Le monstre, il ne manque pas d’air…

Mais je me réjouis intérieurement.

Tout cela balaye ma déception, j’ai à faire à un Môssieur selon toute vraisemblance.

D’ailleurs il signe Monsieur Stéphane.

 

Je suis à 5 minutes à pied, je file aussi vite que me le permettent mes talons hauts sur les pavés des ruelles du vieil Avignon. La place du Palais des Papes m’apparait. Il y déjà du monde pour cette période de l’année.

Je le vois, il m’attend, là où il me l’avait indiquée. Je m’approche de lui, je tente de cacher un sourire nerveux en baissant la tête.

Il m’observe tandis que je monte les escaliers séculaires.

Je tends la main en disant un bonjour dans lequel j’essaie de faire paraitre toute ma confiance et ma maitrise. Il me rend ma poignée de main.

 

- Bonjour, me dit-il avec un grand sourire. Votre déception n’était pas trop grande ?

Le salaud, il sait. Il doit être du genre à connaitre les réactions intimes des gens.

Il rajoute : J’aime bien jouer sur les émotions. Avec vous c’était facile…

- Facile ? Comment ça ? Lui retournais-je.

- Nous verrons ça plus tard. Vous connaissez le Rocher des Doms ?

- Oui, bien sur, dis-je

- Alors suivez-moi….

Nous prenons les escaliers qui montent aux jardins du Rocher des Doms.

Lieu que je connais bien, puisque durant mon enfance, nous y venions souvent avec une de mes tante avignonnaise.

J’y passais du temps à donner à manger aux canards et aux cygnes du bassin principal et à courir dans les allées bordées de haies.

Un joli endroit, vraiment.

Tout en montant, le jardin se trouve quand même à une bonne altitude, sur un rocher qui domine le Rhône et tout Avignon, nous discutons de nos origines.

 

Il me dit être originaire de Vaison la Romaine, et d’avoir grandit à Avignon. On discute aussi de la vue qui s’offre à nous une fois arrivés en haut.

- Vous voulez une glace me demande-t-il ?

Une glace ? Ce n’est pas trop la saison, certes la journée est belle, mais on est encore au printemps.

- Heu… Non merci…

Il s’approche de la boutique du glacier, qui lui ne semble pas s’inquiéter de la saison. Et je l’entends demander deux cônes, l’un au melon, l’autre à la fraise. Il revient en me tendant le cône à la fraise.

- Fraise, vous aimez ? Bien sur, que vous aimez...

Je ne sais pas quoi faire. Dois-je la refuser en m’affirmant ? Ou au contraire dois-je la prendre en signe de soumission ? Sans répondre, je la prends.

Il se dirige vers un banc adossé à une haie et faisant face au panorama. Un coin isolé de la vue des gens. Il m’invite à m’y asseoir.

- Alors vous voulez entrer en soumission ?

Enfin, le vif du sujet…

- Oui, j’aimerais essayer…

- Et jusqu’où êtes vous prête à allez ?

Je n’avais pas pensé à ça. Jusqu’où je serais prêté à aller ? Aucune idée, je pense que la douleur devrait être une limite, enfin une certaine douleur, mais je ne pense pas que se soit la réponse qu’il attend.

Je bredouille : « Je ne sais pas… Jusqu’à autant que je pourrais en endurer… »

- Plutôt vague comme réponse. Vous avez déjà vécu des expériences de domination ?

- Pas vraiment non.

- Mais vous en avez envie ?

- Oui… Enfin je crois…

- Quelle idée vous faites vous d’une vie de soumise ?

- Je ne sais pas, une vie de disponibilité absolue je suppose… De dépassement de soit.

- Exactement, le dépassement de soit. Si vous acceptez ma domination je vais vous emmener là où vous ne serez jamais allez seule.

 

Chouette, tout à fait le genre de discours que j’espérais entendre.

- Oui, ça me va…

- Parfait. Alors pour commencer venez avec moi.

Il m’entraine au milieu du parc, là où il y a du monde. Des enfants, des femmes, des hommes, le parc est empli de gens qui profitent de cette belle journée de mars.

- Restez là, me dit-il, et sortez votre langue avec gourmandise et volupté en léchant votre glace.

Il s’écarte de quelques pas et me regarde faire.

- Bien, sortez la plus que ça. Donnez envie… Et accrochez le regard des hommes qui passent.

 

Là ça commence à être dur…

Faire l’allumeuse avec sa langue, encore ça passe, mais provoquer volontairement des hommes, c’est une autre paire de manches.

Je l’avoue, j’ai du mal. A peine j’attrape un regard, que je baisse aussitôt les yeux. Certains hommes font de même d’ailleurs, mais d’autres, en revanche, ne se gêne pas pour me reluquer avec ma petite jupe, ma langue démesurée et mes regards insistants.

Au bout de quelques minutes, Monsieur Stéphane se manifeste : « Bon arrêtes ! ». Tiens plus de vouvoiement ? Qu’est ce que ça veut dire ? Est-ce de bonne augure ou dois-je l’interpréter comme un signe de déception de sa part ?

D’un claquement de doigt, il me fait comprendre de le rejoindre. Je m’approche, satisfaite de la tournure des choses, tout en étant terrifiée.

Il me pose la main sur la nuque, et me dis : « Tu es vraiment vierge en matière de soumission. Dorénavant tu t’appelleras Orifice et moi ça sera Monsieur Stéphane, compris ? »

- Oui…

- Oui qui ?

- Oui Monsieur Stéphane.

- Très bien, donnes moi ton téléphone et ton adresse.

 

Mon adresse ? J’hésite. Puis je lui faire confiance ?

D’un autre coté, j’ai accepté d’être sous sa coupe. Je me résigne.

Un doux frisson me parcourt alors que je lui donne les clefs de ma vie privée.

Il me ramène sur le banc à l’écart.

- Sais tu pourquoi je t'ai dis que c'était facile de décrypter tes émotions ?

- Non Monsieur Stéphane.

- C'est parce j'ai tout de suite vu de quoi tu étais faites. Inassouvie, curieuse, affamée et aventureuse. Tu rêves de vivre ce pourquoi tu es destinée. Tu rêves de vivre une vie de soumise. C'était facile de deviner ta déception ne me voyant pas arriver.

- Oui Monsieur Stéphane.

- Bien. Je suppose qu’une jolie chienne comme toi doit s’être faite belle en dessous. Montre-moi…

Quoi ?

Ici ?

Houlà, je panique l'espace d'une seconde. Je ne suis plus très sure de ce que je veux maintenant. Non pas que je sois particulièrement pudique mais, soulever ma jupe, là avec tout ce monde qui gravite et qui peut surgir à tout moment dans l’allée….

Il note mon hésitation, il se lève, passe derrière moi et me murmure à l’oreille: « Je t’ai demandé une chose simple me semble-t-il… »

- Oui… Je sais mais…

- Oui qui ???

- Oui Monsieur Stéphane. Mais...

- Bien, très bien, alors vas y. Montres moi ce que tu as mis pour moi. Car c’est pour moi que tu t’es faite belle comme cela, n’est ce pas ?

- Oui Monsieur Stéphane.

Je sens ses mains se poser de chaque coté de ma taille. Un délicieux frisson me parcours physiquement et cérébralement. Je sens sa poigne ferme et virile au travers de ses doigts.

 

« J’attends ! » Me dit-il.

Résignées, doucement, mes mains descendent vers le bord de ma jupe.

Et tout aussi doucement, de façon hésitante je la soulève.

Il me lâche et recule.

- Très jolie, bravo, commente-t-il. Tu t’es appliquée pour me faire plaisir, et j’apprécie.

Très jolie fesses, et merveilleusement mises en valeur par ton shorty.

Tournes toi que je vois le cotés face.

 

Tout aussi lentement je me tourne, les mains toujours agrippées à mon bord de jupe que je tiens sur mes hanches. Je n’ose croiser son regard, mes yeux s’égarent sur le panorama, les vergers qui s’étendent de l’autre coté du Rhône.

- Bien. Parfait, continuons cette inspection.

Je commence à laisser retomber mes mains.

- HE, HE !!… Je ne t’ai pas dit de lacher ta jupe, me dit-il en allant se rasseoir sur le banc. Et regardes moi dans les yeux, je te prie.

Forcément, il sent mon malaise.

Et il s’en régale.

Je fixe mes yeux dans les siens, avec un air de défis, j’en ai conscience, mais c’est le seul moyen pour moi d’arriver à soutenir son regard.

- Tu peux craner, me lance-t-il, tu n’en ai pas moins la jupe relevée et les fesses à l’air. Tournes toi.

A nouveau je m’exécute, en priant que personne ne survienne dans l’allée. Je lui présente mes fesse.

- Bien, penches toi en avant.

Là encore j’hésite une seconde puis j’obéis.

- Allez, tu es si empotée que ça, je t’ai dit que c’était une inspection. Alors écarte les jambes et descend ton shorty.

Merde ! Je me retrouve comme bloquée.

Ça devient très embarrassant pour ne pas dire autre chose.

Mais au point où j’en suis…

Et puis cette inspection, comme il appelle ça, à quelque chose de délicieusement humiliant.

Encore une fois je lui obéis, et descend ma culotte jusqu’à mi-cuisses.

- Ecarte tes fesses que je vois tous tes orifices, m’ordonne-t-il.

 

Je pose mes mains sur les globes blancs de mes fesses et les écartes délicatement, mais autant que je peux.

D’un coup, je sens un doigt me caresser mes parties intimes.

Il ne s’introduit pas, juste il effleure mon anus et ma vulve.

A son contact, un éclair me déchire l’épine dorsale et je ferme les yeux.

- Bien c’est propre, bien épilée. Ça me convient, garde tout ça en état chaque fois que nous nous rencontrerons.

- Oui Monsieur Stéphane. J’apprends vite, me dis-je intérieurement.

- Allez rhabilles toi.

Je me redresse, me tortille pour rajuster mon shorty aussi vite que possible et remet ma jupe en l’état.

- Une dernière chose, me dit-il, tu dois avoir envie de pisser non ?

- Heu… Non Monsieur Stéphane.

- Tu es sure, un petit gabarit comme toi dois avoir une vessie de souris ? T'as envie de pisser, j’en suis sur.

Oui c’est vrai que j’en ai envie, mais je n’ose envisager la suite. Là c’est trop pour un seul jour.

- Non je vous en prie, c’était déjà pas mal pour un début, hein ??? Je ricane nerveusement en disant cela.

J’ai une voix de petite fille qui supplie.

Plus que tout au monde je souhaite en rester là pour aujourd’hui.

J’en ai déjà supporté plus que je m’en saurais cru capable.

 

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Il se lève, plante ses yeux dans les miens et me dit d’une voix sourde et basse « Tu as envie de pisser ! Tu vas t’accroupir contre la haie, soulever ta jupe, baisser ta culotte et me montrer comment tu pisses… Et maintenant ! »

Je pourrais partir, là tout de suite, il ne ferait rien pour m’empêcher, il y a trop de monde à proximité.

Mais partir ça serait faire une croix sur cette expérience que j’ai très envie de vivre.

Ça serait être tout ce dont je l’accusais quand j’étais assise au café en l’attendant.

Son regard est toujours accroché au miens, il doit y lire tout le combat qui se livre en moi, j’en suis sure.

Mais finalement… « Oui Monsieur Stéphane, j’en ai très envie en fait ».

 

Je me dirige vers la haie, derrière le banc, je relève ma jupe, baisse mon shorty, et m’accroupis.

Cette fois je suis trop basse pour laisser mon regard errer sur les vergers du Gard de l’autre coté du Rhône, et de plus il s’est accroupi devant moi.

Toujours ses yeux pénétrant qui ne me lâchent pas.

Je suis jugé sur mes talons hauts, les fesses suspendues à quelques centimètres du sol, dans une position que j'ai toujours trouvée terriblement sexy, surtout avec des talons hauts.

Je dois me forcer car pour l’heure, là tout de suite je suis coincée.

Ça ne vient pas. Ses yeux baissent sur mon intimité dévoilée impunément.

Je me force à nouveau. Ça y est, en faisant le vide dans mon esprit, je sens que ça vient.

Un jet timide et chaud coule hors de mon corps.

Il n’en perd pas une miette, ses yeux allant de mon visage cramoisi à ma vulve.

 

Soudain quelqu’un surgit dans l’allée, une femme d’un certains âge avec un vieux monsieur. Ils sont d'abord surpris, tentant de déchiffrer ce à quoi ils assistent, puis comprenant, ils restent pétrifiés devant le spectacle, avant de faire demi-tour.

Monsieur Stéphane balaie l’incident d’un geste de la main, « Ne t’inquiètes pas ça arrivera souvent, Tu t’y feras. »

Il se relève et me fais signe d’en faire autant. Je me redresse, rajuste mon shorty et ma jupe.

- Ça ira pour aujourd’hui, me dit-il, tu m’as l’air prête.

Sans plus de cérémonie il sen va, me laissant plantée là au pied d’une petite mare jaunâtre, avec mes doutes et mes questions…

Peu de temps après, j’eus une enveloppe rouge dans ma boite aux lettres avec de nouvelles instructions…

Par orificediary
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 11:53

Monsieur Stéphane m'a pris en main depuis un petit moment déjà, un délicieux petit moment.

Il m'a confié la tache de coucher ici toutes les étapes de mon dressage.

Je vais m'efforcer de vous faire vivre, avec autant d’intensité que je les ai vécu, ces moments inoubliables.

Merci Monsieur Stéphane.

Par orificediary
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 11:44

Voilà, ça y est, je suis entrée en servitude. Un fantasme qui est né il y a longtemps dans mon esprit et que j’ai pu concrétiser grâce à Monsieur Stéphane.

 

J’ai 26 ans, je suis rousse et assez jolie au dire de mon entourage. J’ai eu plusieurs liaisons depuis mon adolescence, et toutes m’ont laissé plus ou moins sur ma faim.

J’ai réalisé, il y a quelques années, que j’avais besoin d’être commandée, d’être dirigée, afin de pouvoir franchir mes limites tout en ayant l’alibi de l’autorité d’un autre.

 

Je suis une cérébrale, pour moi l’idée compte autant (et même parfois plus) que la réalisation.

Ainsi lorsque que j’ai connu Monsieur Stéphane, durant un stage en management, commandité par mon entreprise, il s’est tout de suite passé quelque chose entre nous. Lui, a du me voir comme demandeuse de la chose, et moi je l’ai perçu comme un pourvoyeur…

 

Durant les pauses café, nous avons sympathisé et lors d’un déjeuner à l’hôtel qui recevait le stage, le sujet est venu sur le harcèlement sexuel au travail. La conversation était menée par Monsieur Stéphane et un des responsables de ma boite.

Monsieur Stéphane prétendait, avec un machisme effronté, que certaines femmes avaient besoin d’être dominées, au travail comme à la maison, et du reste il ajoutait que c’était également le cas de certains hommes.

 

Le responsable qui s’opposait à lui, menait, tambour battant, une diatribe contre le machisme et le comportement de certains hommes habités d’une vraie autorité, vis-à-vis de leur subordonnées féminines. Je pense avec le recul, et en reconsidérant la façon dont il amenait ses propos, qu’il n’était pas sincère. Ce devait être une manœuvre pour s’amadouer les bonnes grâces des filles du stage. C’est curieux comme certaines personnes ne peuvent s’empêcher d’être manipulatrice….

Bref, la conversation à dévié sur la domination sexuelle et je me rappelle d’une phrase énoncée par Monsieur Stéphane : « Toute femme qui se respecte, dans les mains d’un maitre en domination, usant de tact, de discrétion et de douceur, peut être amené à s’abandonner à ses exigences. Même les plus dérangeantes, car il lui offre l’excuse et le couvert de ses ordres afin qu’elle explore sa libido sans honte… ».

 

La fin de la pause déjeuner nous retournions en stage, et lors de la pause de l’après midi, je m’arrangeais pour être seule avec Monsieur Stéphane. Tout en sirotant mon coca, je lui demandais : « Vous pensiez ce que vous disiez tout à l’heure ? »

- Quoi donc, me répondit-il ?

- Que toute femme, bien pilotée peut être amenée à assouvir ses penchants sous la coupe d’un maitre qui saurait y faire… Lui dis-je, sans me démonter.

- Et bien, oui. Je le pense… Pour l’avoir pratiqué à de nombreuses reprises.

Et là, je ne savais plus quoi dire. Je me retrouvais dans la situation où je me demandais pourquoi j’avais abordé le sujet, tout en sachant très bien pourquoi.

 

Il comprit mon embarras, à la fois devant sa réponse mais aussi devant le secret espoir qui m’habitait en lui posant cette question, car il avait, je le découvrirais plus tard, une grande faculté à lire dans les esprits.

Après avoir observé ma confusion de longues secondes, il enchaina : « Beaucoup de femmes ne savent pas qu’elles désirent la soumission sexuelle. Elles ne le comprennent que lorsqu’elles ont la chance de la découvrir. ».

Me reprenant et me décidant à continuer ma percé, je lui répondis « Mais certaines femmes aiment dominer. Dominer des hommes, mais aussi d‘autres femmes… »

- Oui, c’est vrai. Il y a que deux types d’individus sur cette terre. Les dominants et les dominés. Le malheur c’est qu’une grande majorité d’entre eux n’ont pas le courage d’explorer leur facette, qu’ils soient l’un ou l’autre.

- Vous voulez me dire qu’il faudrait que chacun apprenne où est sa place, et s’y tienne.

- Je pense que le monde tournerait mieux ainsi. Mais pour ma part je me contente de trouver une place aux gens qui m’entourent.

- Quoi ? Même pour votre famille ? Lui demandais-je, interloquée.

- Je n’ai pas de famille, me lança-t-il sans avoir l’air de s’apitoyer sur cet état de fait.

- Oh, pardon… J’étais confuse malgré la désinvolture avec la quelle il m’avait répondu.

- Pardon de quoi ? Ne soyez pas ridicule. On vit très bien sans famille. Et j’ai de nombreux amis… et partenaires.

 

C’est vrai qu’il était charmant, et j’envisageais sans peine qu’il puisse enchainer les conquêtes.

Sans réfléchir. Sans même avoir conscience des conséquences. De cette même façon qui vous fait parfois avoir un éclair de lucidité, qui vous fait entrevoir une vision de l’opportunité qui s’ouvre à vous, je lui dis en rougissant… Non, je rectifie, c’est une fois que les mots eurent franchis ma bouche que je senti le sang affluer dans mon visage. Je lui dis donc, à voix basse : « J’aimerais essayer ».

Ne me demandez pas pour quelle raison, ni même comment j’ai eu le courage de franchir le pas aussi directement, je ne saurais vous répondre.

 

Il y a des fois où la vie vous mène devant des choix à faire, l’air de rien, et pour une raison inconnue, vous faites celui auquel vous auriez le moins pensé si vous aviez eu la possibilité de… penser, justement.

Je baissais les yeux alors que je savais qu’il m’observait. Je fixais ma canette de coca en me demandant pourquoi j’avais avancé autant à découvert.

Il me tendit sa carte de visite, en me disant : « Bien sur. Je comprends votre soif d’apprendre. Passez-moi un coup de fil quand vous serez disponible. » Et il crut bon d’ajouter « Je vis seul, vous m’appelez quand vous voulez… ».

Voilà comment, moi jeune fille provinciale de bonne famille sans réelle vie amoureuse, j’ai fais le premier pas sur le chemin de la soumission sexuelle avec un parfait étranger.

 

En y réfléchissant, je pense que j’ai attendu toute ma vie une telle opportunité. C’est vrai, lors de mes relations précédentes, je désespérais de tomber sur un partenaire autoritaire, qui aurais su m’inculquer le dressage, à ne jamais dire non, à être disponible sexuellement à tout moment ; mais non je suis toujours sortie avec des hommes doux et attentionnés. De bons amants, parfois, mais jamais comme je l’aurais voulu.

Pourquoi certains d’entre nous grandissent avec des appétits sexuels différents ? Qu’est ce qui fait que je fantasme sur le fait d’être mise à disposition de plusieurs hommes, ligotée, offerte, alors que d’autre n’arriveraient même pas à envisager une telle chose ?

 

Ma première sodomie, j’aurais voulu qu’elle soit plus impérieuse que celle que j’ai vécu, où mon partenaire ne cessait de me demander si ça allait, si il ne me faisait pas mal, alors que moi tout ce que je voulais c’était qu’il y aille franchement, sans se soucier de mon fondement.

 

Je me rappelle de mes premiers fantasmes « hors normes ». De mes premières masturbations en pensant à autre chose que le plus beau gars de la classe. Où plutôt si j’y pensais, mais dans des situations un peu musclées. Du style, il me coinçait dans les toilettes pour filles, et me forçait à lui prodiguer une fellation avant de me prendre, penchée sur la cuvette des toilettes.

A cette époque, de découvertes de nouvelles sensations, mon traversin n’était pas à la fête. Je le malmenais plus souvent qu’à son tour.

 

Et je me rappelle d’une blague qui circulait au collège, où pour parler d’une fille à la réputation sulfureuse, on disait d’elle que si « il lui arrivait de monter aux arbres, elle s’arrêterait à tous les nœuds ». Je trouvais cette image particulièrement troublante et plus d’une fois je me suis caressée dans mon lit en m’imaginant grimper dans un arbre, en jupe, sans culotte, et me frottant à tous les nœuds rencontrés, tandis qu’une bande de vicieux me reluquait depuis en bas.

Déjà cette folle passion de l’humiliation. Ce frisson honteux du regard des autres, jugeant et jaugeant, posé sur moi, tandis que je m’abaisse à tous les avilissements possibles.

J’ai même franchi le pas, une fois, à Saint Michel de Frigolet. Nous avions l’habitude, aux beaux jours, dans mes années ado, d’aller y pique-niquer en famille quelques dimanche de temps en temps. D’habitude, nous étions assez nombreux avec mes oncles et mes tantes, et j’étais toujours en compagnie de mes cousines et cousins pour faire les 400 coups dans la pinède et la garrigue.

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Mais un dimanche nous y allâmes seuls avec mes parents et une tante. Seule enfant, je m’éclipsais après le repas pour allez courir, et, passionnée d’entomologie que j’étais, allez ramasser des spécimens. Beau prétexte pour m'éloigner de ma famille en vérité.

 

J'avais le diable au corps. Je ne pensais qu'à assouvir ce fantasme toute la matinée, ma culotte en était toute humide. Je me cherchais un beau pin, noueux, âgé, massif et tranquille...

Je le trouvais peu de temps après et entrepris d'y grimper.J'avais déjà déboutonner mon jean et il arrivait à ma main de s'égarer dedans. Comme j'aurais voulu être en jupe. Je regrettais ma tenue vestimentaire tout en me disant que j'aurais eu du mal à justifier une jupe, devant ma mère, pour aller courir dans la garrigue.

 

Sur chaque branche, je me mettais à califourchon et y frottait langoureusement mon entre jambe. C'était enivrant, plus je prenais de l'altitude plus je me sentais libérée de toutes les conventions. Arrivé au point le plus haut, où je ne pouvais aller au-delà, je me calais bien confortablement et fis glisser mon jean de sur mes fesses, de telles façon qu'elles se retrouvèrent nues et dans le vide. Je glissais une main entre mes jambes, et me laissant de plus en plus aller à glisser de ma branche, je me caressais doucement et l'orgasme ne mit pas longtemps à venir.

C'est curieux de se rappeler ce genre d'événements au moment de coucher à la vue de tous, mes nouvelles expériences de soumission sexuelle.

 

Par orificediary
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 07:20

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