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Journal d'Orifice, jeune femme soumise.
Voilà, ça y est, je suis entrée en servitude. Un fantasme qui est né il y a longtemps dans mon esprit et que j’ai pu concrétiser grâce à Monsieur Stéphane.
J’ai 26 ans, je suis rousse et assez jolie au dire de mon entourage. J’ai eu plusieurs liaisons depuis mon adolescence, et toutes m’ont laissé plus ou moins sur ma faim.
J’ai réalisé, il y a quelques années, que j’avais besoin d’être commandée, d’être dirigée, afin de pouvoir franchir mes limites tout en ayant l’alibi de l’autorité d’un autre.
Je suis une cérébrale, pour moi l’idée compte autant (et même parfois plus) que la réalisation.
Ainsi lorsque que j’ai connu Monsieur Stéphane, durant un stage en management, commandité par mon entreprise, il s’est tout de suite passé quelque chose entre nous. Lui, a du me voir comme demandeuse de la chose, et moi je l’ai perçu comme un pourvoyeur…
Durant les pauses café, nous avons sympathisé et lors d’un déjeuner à l’hôtel qui recevait le stage, le sujet est venu sur le harcèlement sexuel au travail. La conversation était menée par Monsieur Stéphane et un des responsables de ma boite.
Monsieur Stéphane prétendait, avec un machisme effronté, que certaines femmes avaient besoin d’être dominées, au travail comme à la maison, et du reste il ajoutait que c’était également le cas de certains hommes.
Le responsable qui s’opposait à lui, menait, tambour battant, une diatribe contre le machisme et le comportement de certains hommes habités d’une vraie autorité, vis-à-vis de leur subordonnées féminines. Je pense avec le recul, et en reconsidérant la façon dont il amenait ses propos, qu’il n’était pas sincère. Ce devait être une manœuvre pour s’amadouer les bonnes grâces des filles du stage. C’est curieux comme certaines personnes ne peuvent s’empêcher d’être manipulatrice….
Bref, la conversation à dévié sur la domination sexuelle et je me rappelle d’une phrase énoncée par Monsieur Stéphane : « Toute femme qui se respecte, dans les mains d’un maitre en domination, usant de tact, de discrétion et de douceur, peut être amené à s’abandonner à ses exigences. Même les plus dérangeantes, car il lui offre l’excuse et le couvert de ses ordres afin qu’elle explore sa libido sans honte… ».
La fin de la pause déjeuner nous retournions en stage, et lors de la pause de l’après midi, je m’arrangeais pour être seule avec Monsieur Stéphane. Tout en sirotant mon coca, je lui demandais : « Vous pensiez ce que vous disiez tout à l’heure ? »
- Quoi donc, me répondit-il ?
- Que toute femme, bien pilotée peut être amenée à assouvir ses penchants sous la coupe d’un maitre qui saurait y faire… Lui dis-je, sans me démonter.
- Et bien, oui. Je le pense… Pour l’avoir pratiqué à de nombreuses reprises.
Et là, je ne savais plus quoi dire. Je me retrouvais dans la situation où je me demandais pourquoi j’avais abordé le sujet, tout en sachant très bien pourquoi.
Il comprit mon embarras, à la fois devant sa réponse mais aussi devant le secret espoir qui m’habitait en lui posant cette question, car il avait, je le découvrirais plus tard, une grande faculté à lire dans les esprits.
Après avoir observé ma confusion de longues secondes, il enchaina : « Beaucoup de femmes ne savent pas qu’elles désirent la soumission sexuelle. Elles ne le comprennent que lorsqu’elles ont la chance de la découvrir. ».
Me reprenant et me décidant à continuer ma percé, je lui répondis « Mais certaines femmes aiment dominer. Dominer des hommes, mais aussi d‘autres femmes… »
- Oui, c’est vrai. Il y a que deux types d’individus sur cette terre. Les dominants et les dominés. Le malheur c’est qu’une grande majorité d’entre eux n’ont pas le courage d’explorer leur facette, qu’ils soient l’un ou l’autre.
- Vous voulez me dire qu’il faudrait que chacun apprenne où est sa place, et s’y tienne.
- Je pense que le monde tournerait mieux ainsi. Mais pour ma part je me contente de trouver une place aux gens qui m’entourent.
- Quoi ? Même pour votre famille ? Lui demandais-je, interloquée.
- Je n’ai pas de famille, me lança-t-il sans avoir l’air de s’apitoyer sur cet état de fait.
- Oh, pardon… J’étais confuse malgré la désinvolture avec la quelle il m’avait répondu.
- Pardon de quoi ? Ne soyez pas ridicule. On vit très bien sans famille. Et j’ai de nombreux amis… et partenaires.
C’est vrai qu’il était charmant, et j’envisageais sans peine qu’il puisse enchainer les conquêtes.
Sans réfléchir. Sans même avoir conscience des conséquences. De cette même façon qui vous fait parfois avoir un éclair de lucidité, qui vous fait entrevoir une vision de l’opportunité qui s’ouvre à vous, je lui dis en rougissant… Non, je rectifie, c’est une fois que les mots eurent franchis ma bouche que je senti le sang affluer dans mon visage. Je lui dis donc, à voix basse : « J’aimerais essayer ».
Ne me demandez pas pour quelle raison, ni même comment j’ai eu le courage de franchir le pas aussi directement, je ne saurais vous répondre.
Il y a des fois où la vie vous mène devant des choix à faire, l’air de rien, et pour une raison inconnue, vous faites celui auquel vous auriez le moins pensé si vous aviez eu la possibilité de… penser, justement.
Je baissais les yeux alors que je savais qu’il m’observait. Je fixais ma canette de coca en me demandant pourquoi j’avais avancé autant à découvert.
Il me tendit sa carte de visite, en me disant : « Bien sur. Je comprends votre soif d’apprendre. Passez-moi un coup de fil quand vous serez disponible. » Et il crut bon d’ajouter « Je vis seul, vous m’appelez quand vous voulez… ».
Voilà comment, moi jeune fille provinciale de bonne famille sans réelle vie amoureuse, j’ai fais le premier pas sur le chemin de la soumission sexuelle avec un parfait étranger.
En y réfléchissant, je pense que j’ai attendu toute ma vie une telle opportunité. C’est vrai, lors de mes relations précédentes, je désespérais de tomber sur un partenaire autoritaire, qui aurais su m’inculquer le dressage, à ne jamais dire non, à être disponible sexuellement à tout moment ; mais non je suis toujours sortie avec des hommes doux et attentionnés. De bons amants, parfois, mais jamais comme je l’aurais voulu.
Pourquoi certains d’entre nous grandissent avec des appétits sexuels différents ? Qu’est ce qui fait que je fantasme sur le fait d’être mise à disposition de plusieurs hommes, ligotée, offerte, alors que d’autre n’arriveraient même pas à envisager une telle chose ?
Ma première sodomie, j’aurais voulu qu’elle soit plus impérieuse que celle que j’ai vécu, où mon partenaire ne cessait de me demander si ça allait, si il ne me faisait pas mal, alors que moi tout ce que je voulais c’était qu’il y aille franchement, sans se soucier de mon fondement.
Je me rappelle de mes premiers fantasmes « hors normes ». De mes premières masturbations en pensant à autre chose que le plus beau gars de la classe. Où plutôt si j’y pensais, mais dans des situations un peu musclées. Du style, il me coinçait dans les toilettes pour filles, et me forçait à lui prodiguer une fellation avant de me prendre, penchée sur la cuvette des toilettes.
A cette époque, de découvertes de nouvelles sensations, mon traversin n’était pas à la fête. Je le malmenais plus souvent qu’à son tour.
Et je me rappelle d’une blague qui circulait au collège, où pour parler d’une fille à la réputation sulfureuse, on disait d’elle que si « il lui arrivait de monter aux arbres, elle s’arrêterait à tous les nœuds ». Je trouvais cette image particulièrement troublante et plus d’une fois je me suis caressée dans mon lit en m’imaginant grimper dans un arbre, en jupe, sans culotte, et me frottant à tous les nœuds rencontrés, tandis qu’une bande de vicieux me reluquait depuis en bas.
Déjà cette folle passion de l’humiliation. Ce frisson honteux du regard des autres, jugeant et jaugeant, posé sur moi, tandis que je m’abaisse à tous les avilissements possibles.
J’ai même franchi le pas, une fois, à Saint Michel de Frigolet. Nous avions l’habitude, aux beaux jours, dans mes années ado, d’aller y pique-niquer en famille quelques dimanche de temps en temps. D’habitude, nous étions assez nombreux avec mes oncles et mes tantes, et j’étais toujours en compagnie de mes cousines et cousins pour faire les 400 coups dans la pinède et la garrigue.
Mais un dimanche nous y allâmes seuls avec mes parents et une tante. Seule enfant, je m’éclipsais après le repas pour allez courir, et, passionnée d’entomologie que j’étais, allez ramasser des spécimens. Beau prétexte pour m'éloigner de ma famille en vérité.
J'avais le diable au corps. Je ne pensais qu'à assouvir ce fantasme toute la matinée, ma culotte en était toute humide. Je me cherchais un beau pin, noueux, âgé, massif et tranquille...
Je le trouvais peu de temps après et entrepris d'y grimper.J'avais déjà déboutonner mon jean et il arrivait à ma main de s'égarer dedans. Comme j'aurais voulu être en jupe. Je regrettais ma tenue vestimentaire tout en me disant que j'aurais eu du mal à justifier une jupe, devant ma mère, pour aller courir dans la garrigue.
Sur chaque branche, je me mettais à califourchon et y frottait langoureusement mon entre jambe. C'était enivrant, plus je prenais de l'altitude plus je me sentais libérée de toutes les conventions. Arrivé au point le plus haut, où je ne pouvais aller au-delà, je me calais bien confortablement et fis glisser mon jean de sur mes fesses, de telles façon qu'elles se retrouvèrent nues et dans le vide. Je glissais une main entre mes jambes, et me laissant de plus en plus aller à glisser de ma branche, je me caressais doucement et l'orgasme ne mit pas longtemps à venir.
C'est curieux de se rappeler ce genre d'événements au moment de coucher à la vue de tous, mes nouvelles expériences de soumission sexuelle.
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