Lundi 1 décembre 1 01 /12 /Déc 09:15

…/...

Nous entrons dans la maison. Je ne suis pas fâchée de quitter le sol irrégulier des dalles de la terrasse qui me meurtri les genoux. Nous passons dans son séjour, direction la cave…

Chouette me dis-je intérieurement.

Je me fais l’effet d’une belle perverse pour me délecter comme cela de mon sort.

A quatre pattes, tenue en laisse, mon boxer sur la tête je dois avoir l’air d’un beau spécimen de salope.

De nouveau, durant la descente des escaliers, Monsieur Stéphane est très prévenant. Il avance doucement, veillant à ce que je ne fasse pas de faux pas en me laissant prendre mon temps.

Nous arrivons dans le donjon aménagé.

  • Lèves toi et déshabilles toi, m’ordonne-t-il.
  • Oui Monsieur Stéphane.

J’ôte ma jupe et mon haut, je défais mon soutien-gorge et pose le tout sur une chaise.

Je ne sais si je dois garder mon boxer sur la tête. Dans le doute je n’y touche pas.

Monsieur Stéphane s’approche de moi, puis il me tourne face au mur et me fais avancer jusqu’à la croix fixé au mur. Il me pousse dessus.

  • Lèves les bras et écarte les jambes.

Je m’exécute en collant mes membres aux bras en bois fixés au mur.

  • J’ai pas entendu… Encore une croix !

Et merde… J’ai pas encore le réflexe absolu. « Oui Monsieur Stéphane » ce n’est pourtant pas compliqué.

  • Je vous prie de m’excuser Monsieur Stéphane, dis-je, le plus servilement possible.

Il m’attrape les poignets l’un après l’autre et me les attache sur la croix, puis il passe aux chevilles.

Je suis face au mur, attachée, nue, sur une croix en bois, un boxer sur le crâne.

J’entends mon maitre qui s’éloigne et remonte les escaliers.

Il me laisse seule.

Il se passe bien une demi-heure à vue de nez avant que je ne l’entende redescendre.

Trente minutes crucifiée face à un mur ça fait un poil long, croyez moi…

Et c’est rien, comparé à l’autre demi-heure que je vais passer.

  • Bien, on va travailler ton ouverture annale, me dit il en s’approchant derrière moi. Ça te branche ?
  • Oui Monsieur Stéphane. Comme vous voudrez.
  • Parfait.

Et il me détache les poignets et les chevilles.

Mais je garde le boxer sur la tête.

Visiblement Monsieur Stéphane apprécie ce genre d’humiliation.

 

Il m’emmène au centre de la pièce où se trouve au plafond un gros anneau.

D’un claquement de doigt pointé vers le sol il m’intime l’ordre de me mettre à quatre pattes.

Bien sur je m’y mets sans perdre une seconde.

Je vais apprendre à adorer cet ordre gestuel.

Quel plaisir que d’obéir comme un animal à un simple mouvement du doigt.

Je ne sais pas pourquoi mais je suis particulièrement sensible à ce genre de gestes, comme lorsque il fait de petits cercles avec son index pour me dire de lui présenter mes fesses.

J’adore !

 

Du temps que je l’observe depuis ma condition d’esclave sexuelle au niveau du sol, il s’affaire.

Je le vois soulever une petite trappe à même le sol, à peine plus petite qu’un bac de douche.

Dessous se trouve un trou d’une soixantaine de centimètres de profondeur.

Puis il dépose au fond, un petit cube de bois de 10 cm de coté sur lequel est fixé un étrange objet.

Il s’agit d’un gros godemiché constitué de plusieurs boules entassées les unes sur les autres depuis la plus petites, une balle ping-pong, à la plus grosse, un gros pamplemousse. Le tout évoquant une colonne à la base très élargie et le sommet très effilée.

Il revient vers moi avec une longueur de corde.

  • A genoux et donne moi tes poignets, dans ton dos !
  • Oui Monsieur Stéphane.

Je me tourne et lui tends mes poignets derrière moi.

Il me les attache puis me passe une autre corde autour de la taille avant d’y attacher mes poignets liés.

Ainsi je me retrouve avec mes bras dans le dos attaché à ma taille dans l’incapacité de les bouger.

Il me fait me relever pour m’amener au dessus du trou, du cube, et de son étrange totem.

Bon ceci dit, j’ai bien compris à quoi va servir cette colonne de boules, c’est juste que je ne vois pas bien comment je vais devoir m’y prendre.

Il s’éloigne et revient derrière moi. Entre mes jambes, je le vois se baisser et enduire l’engin, très copieusement, de gel lubrifiant.

  • Descend dans le trou et accroupie toi dessus !
  • Oui Monsieur Stéphane.

Je descends dans le trou et amène mon bassin jusqu’à sentir la première boule sur mon anus.

  • Vas y, enfile toi la.
  • Oui Monsieur Stéphane.

Après la courgette ça rentre tout seul et je sens la deuxième balle plus large qui vient buter sur mon petit trou.

  • Encore un cran.
  • Oui Monsieur Stéphane.

Je m’abaisse encore un peu plus. La deuxième passe sans trop de problème.

Monsieur Stéphane se baisse pour vérifier l’introduction de la colonne dans mes chairs.

Puis il attrape ma jambe droite et lie le mollet sur la cuisse, de manière à ce que je ne puisse plus déplier ma jambe et me relever.

Il fait de même avec la gauche.

Je ne suis pas complètement accroupie et j’ai encore de l’espace entre mes mollets et mes cuisses, mais par contre plus question de se relever.

  • Voilà tout est en place. Tu vas rester comme ça un certain temps. Dans la logique des choses tu ne peux que t’enfiler des balles de plus en plus grosses pour distendre ton petit cul de cochonne. Les muscles de tes cuisses et de tes mollets vont te permettre de résister un petit peu, puis la gravité fera le reste. Et bien sur tu ne peux pas dégager ton joli petit cul car tu es dans un trou. Ça te plait ?
  • Oui Monsieur Stéphane.
  • Tu aimes ça hein ?
  • Oui Monsieur Stéphane.
  • Dis le que tu aimes être traité comme une belle salope, Orifice.
  • Oui Monsieur Stéphane, j’aime être traitée comme une belle salope. Je l’ai méritée.

Ben oui que voulez vous, j’en rajoute, j’y suis bien dans ma condition d’esclave.

Et ça me touche qu’il me demande de le dire, je considère ça comme un compliment, ce que c’est censé être du reste.

  • Bon je te laisse. Tache de bien t’élargir.
  • Oui Monsieur Stéphane.
  • Ah au fait, tu vas rester comme cela pendant 30 minutes. Trois minutes par croix marquée.
  • Bien Monsieur Stéphane.

Il me rajuste le boxer sur mes yeux et s’en va. Je l’entends monter les escaliers.

Ben au moins je sais à quoi servent les croix. Je m’attendais à une utilisation plus brutale, plus « Ouche ! », genre fessés ou fouet.

Bon ceci dit, l’avenir montrera que je ne vais pas être déçue de ce coté là.

Mais une chose à la fois….

Me voilà seule.

Pour l’instant j’apprécie plutôt la situation et je m’efforce de m’appliquer dans mon rôle.

La troisième balle se présente à mon petit trou et j’envisage de me laisser allez doucement.

De faire les choses tranquillement, de laisser faire la gravité comme dit mon Maitre.

Je sollicite mes muscles afin de monter et descendre mes fesses, ce qui est, à mon avis, la meilleure façon de faire pénétrer du gros format tout en douceur.

Cependant, c’est une grosse erreur car je m’épuise assez vite.

Je suis une sportive et ma condition physique est plutôt bonne, mais faire travailler ses quadriceps sans pouvoir les reposer se révèle vite harassant.

Je décide d’arrêter et de forcer le moins possible sur mes jambes.

Finalement la troisième balle, que j’estime de la taille de mon plug, passe mes sphincters.

 

La quatrième est là. J’ai le réflexe d’essayer de m’appuyer sur le rebord du trou du bout de mes doigts en me laissant allez en arrière, mais hélas, j’ai beau tendre mes doigts, le rebord est trop haut et je n’arrive pas à l’atteindre

J’essaie de bouger mes pieds pour pouvoir me pencher en avant et soulager mon anus, mais je ne gagne que quelques millimètres, tant le trou est étroit et très vite je dois reprendre ma position, avec mon anneau sacré qui s’élargit sous la pression.

Celle-ci est plus grosse, au moins aussi grosse que la courgette. Doucement je m’affaisse dessus, elle me pénètre lentement mais surement.

Mes jambes tremblent, et sont presqu’à leur limite d’endurance.

Je n’ose penser à ce qui se passera lorsqu’elles cèderont.

Vais-je m’empaler d’un coup jusqu’à la dernière balle, l’anus distendu par son diamètre exagéré, ou est-ce que je vais glisser doucement, en m’enfilant douloureusement en sentant passer chacune des balles plus péniblement que la précédente ?

Cependant chaque fois qu’une balle passe, la sensation de mes sphincters qui se referment derrière, en attendant de s’ouvrir sur la suivante, est assez délectable.

J’aime ça…

 

La quatrième glisse en moi, et mon petit trou l’avale sans difficulté.

Aussitôt la cinquième me fait connaitre son envie de la suivre.

Mes jambes sont à bout de force, même en essayant des les solliciter, elles ne répondent plus.

Je tremble de plus belle chaque fois que j’essaie de repousser le sol de mes fesses.

Je sens mon cul qui cède sous mon poids, et avec un certain échauffement de mon intimité annale, j’engloutis la cinquième.

J’essaie de me remémorer le nombre de balle que compte ce godemiché infernal.

Sept, peut être huit. Et de penser à la taille de la huitième… Ho mon dieu !

De quoi écarter mes fesses comme jamais, me décoller les cols du fémur.

Je m’imagine désarticulée du bassin, avec une boule énorme saillant sous la peau de mes fesses.

Vision d’horreur, mais pourtant, qui provoque une certaine stimulation de ma libido.

Je sais, je ne suis pas tout à fait normale…..

 

La sixième résiste.

Elle a du mal à entrer, et mon anus, pour un temps, la bloque.

Ça commence à être un brin douloureux.

Tout mon corps repose entièrement sur mes sphincters.

Combien de temps tiendront-ils ?

Subrepticement je les sens qui cèdent.

Ça chauffe en bas. La sensation de brulure s’accentue au fur et à mesure de l’abandon du combat par mes sphincters.

Elle est énorme, elle doit faire la taille d’une balle de tennis. J’ai un sursaut et j’arrive à forcer mes jambes à se relever un poil. Mais ne pouvant garder la position plus d’une seconde, je retombe de plus belle, et enfonce un peu plus l’engin dans mes chairs.

Je me surprends à gémir et intérieurement, très curieusement aussi dirais-je, je me rends compte de mon immense déception que Monsieur Stéphane ne soit pas là pour en profiter, qu’il ne soit pas là pour m’entendre et me voir me tortiller.

J’ai envie de crier pour attirer son attention, mais serait-ce prudent ?

En ais-je le droit ?

Puis je le convoquer comme un vulgaire laquais ?

Non, certainement pas, quelque soit l’artifice utilisé je ne pense pas avoir le droit de le forcer à descendre.

Je me mords la lèvre tandis que la balle de tennis pénètre en moi. La douleur, curieusement, commence à flirter avec le plaisir.

Il faut dire que si j’ai un problème avec l’élargissement de ma rondelle, un autre se pose de plus en plus urgemment.

C’est la contenance de mon rectum. Je commence à sentir la pression intérieure, ça pèse sur, et dans mon ventre.

Et je pense que l’excitation qui me gagne vient de là.

Je ne sais pas depuis combien de temps je suis là, mais subitement j’entends des pas dans l’escalier.

Quelque part je soupire, ça annonce peut être la fin du calvaire….

Pffff…. Je ne pouvais pas être plus loin de la réalité à venir en fait.

Monsieur Stéphane se plante devant moi, il s’accroupit pour être à ma hauteur, et il me montre le Hitachi Magic Wand qu’il tient dans la main.

  • Tu te rappelle, c’est déjà un vieux pote à toi…

Je veux répondre, ne serait ce que pour dire « Oui Monsieur Stéphane » mais je ne peux pas ouvrir la bouche.

L’extrême faiblesse qui a envahi mes jambes et le plaisir que je commence à ressentir ne me permettent qu’un gémissement en signe d’acquiescement.

J’appréhende l’usage de cet engin, car je ne sais pas comment je vais réagir au plaisir qu’il procure.

Ou plutôt si, je m’en doute… Je vais m’empaler de plus belle jusqu’à distendre mes tissus et mes ligaments.

Monsieur Stéphane sourit, il semble très content de lui.

Il se relève et va brancher son engin de malheur.

Puis il revient vers moi, s’accroupit à nouveau, tend le bras et pose la boule du Magic Wand sur mon sexe.

Il appuie sur l’interrupteur.

 

Je meugle, je hurle.

D’un coup je sombre dans un gouffre sans fond ou plus rien n’existe, hormis l’avalanche de sensations qui me retourne.

J’ai littéralement l’impression d’être renversé, physiquement même.

Quelque part en moi, je sens la sixième balle, qui prend place dans mon corps.

L’orgasme ne se fait pas attendre.

Il arrive comme une charge de buffles en furie, comme une avalanche de bulldozeurs, c’est atroce, et si bon à la fois.

Il me semble que je hurle comme une démente, comme une possédée.

Ma vue se trouble, mon corps me lâche, je m’effondre…

 

Je me réveille. Il fait noir. Je suis attachée…

Non, je suis emmitouflée dans des draps très tirés.

Je suis dans un lit, sous ma tête je sens un oreiller confortable.

J’essaie de voir où je suis, mais la pénombre est totale et je ne distingue que de vagues silhouettes de meubles.

Je me lève. Je suis nue.

A tâtons j’essaie de trouver une porte, une poignée.

Je mets la main sur ce qui semble être un bouton de porte. Je l’ouvre.

 

Un couloir apparait, faiblement éclairé, et j’entends des voix qui semblent venir d’une autre pièce.

Je fais quelques pas sur le carrelage de tomettes, lorsque je me souviens que je suis nue.

Je retourne dans la chambre et trouve l’interrupteur.

J’allume.

Mes vêtements sont sur le dossier d’une chaise, ainsi que mon sac à main et mon plug, nettoyé et rutilant.

Je m’habille et avisant une petite salle de bain à coté de la chambre je m’y rends.

Devant le miroir au dessus du lavabo je me contorsionne pour essayer d’apercevoir mes fesses et mon anus.

Je m’inquiète de l’état dans lequel il doit être.

Béant, blessé, sanguinolent…

Mais je n’aperçois rien de tel.

Doucement je l’effleure du bout de mon index.

Rien ne laisse entrevoir le supplice auquel il fut soumis peu de temps avant.

Il semble normal, juste un peu douloureux quand je le contracte.

 

Je retourne dans le couloir et me dirige vers ce qui semble être une descente d’escalier.

De la lumière éclaire l’étage d’en dessous et les voix se font plus fortes.

J’attrape la rampe, car mes jambes se rappellent à mon bon souvenir et leur état est encore vacillant.

Doucement je descends.

J’arrive dans une petite pièce avec trois portes, toutes ouvertes. Les voix viennent de celles de gauche.

Je m’en approche. La pièce est bien éclairée et j’entrevois une fenêtre qui donne sur le jardin, il fait presque nuit dehors.

Je m’avance timidement.

Les voix viennent de la radio posée sur un buffet. Monsieur Stéphane est là, penché sur son ordinateur. Sans lever la tête, il me dit « Alors bien remise ??? ».

  • Je… heu... Oui Monsieur Stéphane. Enfin, j’ai encore les jambes flageolantes mais ça va…

Il se relève et me sourit.

  • Dur exercice hein ?
  • Oui Monsieur Stéphane.
  • Tu es arrivée jusqu’à la septième boule. C’est pas mal du tout.

Ha ben zut, j’ai mal compté alors.

Faut dire que sur la fin je n’avais plus toute ma tête.

Avant que je ne puisse dire quelque chose, il me demande si je veux boire un verre.

Je réponds que oui. Il se lève et file dans sa cuisine.

Je reste là debout, mon sac à la main, n’osant m’assoir.

De la cuisine je l’entends qui s’affaire, un bruit électrique, un son de quelque chose que l’on frappe, plusieurs fois, puis il revient avec deux verres.

Glace pilée, morceau de feuilles de menthe qui flottent sur une écume claire…

Chouette…

  • Comme tu aimes le rhum, j’ai pensé qu’un Mojitos te ferait plaisir.
  • Merci Monsieur Stéphane.

J’adore ça….

Nous nous asseyons et durant de longues secondes nous laissons le silence s’exprimer.

Puis il prend la parole : Je devine que tu as des fantasmes saphiques, je me trompe ?

Ben non, il ne se trompe pas du tout, et si j’avais le choix je préfèrerais une maitresse à un maitre.

Être soumise à une femme… Mmmhhh…

Qu’est-ce que ça doit être bon.

Je sais les femmes plus retors et imaginative que les hommes.

Plus dure aussi…

L’expérience doit valoir son pesant de cacahouètes.

  • Oui Monsieur Stéphane. J’aimerais beaucoup essayer.
  • Je peux t’arranger ça pour une prochaine fois, mais il faudra que tu sois trèèèès gentille.
  • Oui Monsieur Stéphane, je serais une gentille fille.
  • Bien, très bien. Amène-toi et ouvre la bouche, me dit-il en défaisant sa braguette.

Et pour la seconde fois de la journée j’avale mon Maitre avec volupté et délectation…

 

Durant mon trajet de retour, je n’ai pu m’empêcher d’imaginer les sévices que j’aurais à endurer la prochaine fois.

Des coups de ceinture ?

De cravaches ?

De fouet ?

Je dois bien avouer que Monsieur Stéphane ne s’est pas trop manifesté dans ce domaine.

Mais comme je l’ai dit plus haut, ça viendra…

Et bien assez tôt, pauvre de moi…

 

Alors des pinces ??

De la cire chaude ???

Ça j’aimerais beaucoup essayer.

Une longue sodomie ???

Plusieurs hommes qui m’utiliseraient comme un jouet sexuel ? Miaaam….

Croyez moi si vous le souhaitez, mais à peine rentrée chez moi, la première chose que j’ai faite c’est d’aller me masturber dans mon lit avec de vilaines images plein la tête…

 

On ne se refait pas.

Par orificediary
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Samedi 29 novembre 6 29 /11 /Nov 11:53

.../...

Une demi-heure plus tard, Saint Laurent des Arbres.

Je me gare au même endroit que la dernière fois. Je prends mon sac à main dans lequel je m’assure que ma pochette de lingettes et bien à sa place, et me dirige vers la maison de Monsieur Stéphane, mon cœur battant la chamade.

Je sonne, je reconnais sa voix dans l’interphone « Oui ? ».

  • C’est Moi, Orifice, Monsieur Stéphane.
  • Bien, je t’ouvre. Entre à quatre pattes.

Diantre, ça commence fort. Je jette un coup d’œil dans la rue, alors que la porte se déverrouille. Personne, tant mieux. Je me mets à quatre pattes et pousse la porte. Heureusement tout le devant de la propriété est couvert de gazon. Il doit avoir une autre sortie pour sa voiture, pensais-je en avançant avec servilité et plaisir.

Il m’attend sur sa terrasse, assis dans un fauteuil de jardin en bois. Je me dirige vers lui.

  • Il fait beau aujourd’hui n’est ce pas Orifice ?
  • Oui Monsieur Stéphane.
  • Approche donc.

Je m’avance vers lui, non sans douleur car les dalles de la terrasse sont irrégulières, façon pierres taillées. Comme à son habitude, il fait effectuer de petits cercles à sa main avec son index pointé vers le sol. Je comprends. Je me tourne de façon à lui présenter mes fesses.

  • Soulève ta jupe !
  • Oui monsieur Stéphane.

Je m’exécute avec un certain bonheur.

  • Descend ta culotte !
  • Oui monsieur Stéphane.

Je fais glisser mon boxer jusqu’à mi cuisse et attends.

  • Et bien… ? Inspection ! Faut il que je te le répète à chaque fois ? Ecarte tes fesses !
  • Non Monsieur Stéphane. Excusez-moi.

Je pose mes deux mains sur mes globes fessiers et les écarte avec énergie. Je veux qu’il voie comment je porte haut son symbole de ma soumission envers lui.

  • Très bien. Parfait. Tourne-toi. Enlève ta culotte et donnes la moi.

Je me démène avec mes quatre membres au sol pour ôter mon boxer de mes jambes, et lui tend la pièce d’étoffe. Il la prend. La retourne pour mettre le fond de l’entre jambe en évidence.

  • Elle est propre. Approche-toi, ouvre la bouche et tire la langue.
  • Oui Monsieur Stéphane.

Bon pas de quoi s’alarmer, je sors de la douche. Même après avoir fait une demi-heure de voiture, elle doit être nette. Même si l’idée me révulse une seconde, je suis là pour obéir. J’ouvre ma bouche en tendant le cou et sort ma langue autant que je le peux.

 

 

 

Et il pose le fond de mon boxer sur ma langue et m’enfourne le reste dans la bouche.

« Tourne-toi » me demande-t-il à nouveau.

Je fais mon demi-tour, mon boxer dans la bouche, les fesses à l’air et pluggées.

Je sens ses doigts qui attrape la garde de mon Plug et qui me l’enlève sans ménagement.

Après une demi-heure de voiture, le lubrifiant a disparu, et le métal chaud accroche mes muqueuses.

Il le pose à cotés de moi, et je peux voir d’un coup d’œil qu’il n’est plus très net.

Un peu de matière fécale y est accroché par endroit.

Un filet chaud et coulant me rappelle à l’ordre, qui coule sur ma raie jusqu’à mon orifice anal.

J’entends Monsieur Stéphane qui déboutonne son jean et déchire quelque chose.

L’emballage d’un préservatif pensais-je. Il me lubrifie avec sa salive.

Et quelques secondes après je sens son gland qui se présente contre mon petit trou.

 

D’un coup de rein, il me pénètre.

Je laisse échapper un petit cri.

Je sens ses mains sur mes hanches, il me tire à lui, me colle à son bassin à chaque coup de boutoir.

Je sens son engin qui me fouraille au plus profond de mon être.

Je me laisse aller doucement vers le plaisir.

J’aime la sodomie, surtout lorsqu’elle est vigoureuse et bien huilée, si je puis dire.

Rapidement, au rythme effréné où il me conduit, j’ai un orgasme.

Brutal, sans douceur, mais ravageur. Je m’effondre de l’avant, mes épaules à terre, la croupe toujours bien haute.

Monsieur Stéphane s’arrête.

Il se retire.

Il enlève complètement ses chaussures et son jean et file à l’intérieur en me disant : « Surtout tu bouges pas ! ».

Je le vois disparaitre dans la maison, son engin toujours bien en érection. « Oui Monsieur Stéphane ».

Il revient quelques instants plus tard, alors que j’essaie de voir si des fenêtres des maisons voisines, accolées, donnent dans le jardin.

Un frisson me parcours l’échine lorsque j’en compte trois.

Il a dans la main une courgette dont la base à été coupé.

Dessus à été passé un préservatif.

Elle est de taille et je me rappelle les propos de mon Maitre la dernière fois que l’on s’est vu « Alors entraine aussi ton petit trou à recevoir du gros. Parce que la prochain fois tu vas déguster. Que tu ne t’appelle pas Orifice pour rien quand même…. ».

Sur que je n’ai pas trop fait mes exercices cette semaines, mis à part une ou deux fois avec les Plug.

  • Mets-toi accroupi !
  • Oui Monsieur Stéphane.

Je me mets accroupie devant lui. Il m’enlève le boxer de ma bouche, et j’en profite pour m’humecter les lèvres.

  • Je te laisse 20 secondes pour bien lubrifier cette courgette et après tu t’empaleras dessus, me dit-il en me coiffant de mon boxer.

Et il me tend la courgette devant ma bouche. J’entreprends de la lubrifier au maximum, même si je n’arrive pas à l’introduire dans ma bouche. Ma langue s’active comme une bonne chienne que je suis devenue, tout en m’inquiétant. J’arrive à gober le Plug, mais pas la courgette. Je sens que ça va être laborieux pour mon petit trou. Vingt secondes ça passe vite quand vous souhaitez avoir plus de temps…

  • Ça suffit ! Dit-il en me la retirant.

Il se baisse et glisse la courgette bien droite, la base coupée sur le sol, et l’autre devant mon anus.

  • Vas y descend ton cul. Et maintiens la bien. Chaque fois que tu la laisseras tomber ça sera une croix.

Je m’assoies donc dessus. Son extrémité vient se coller à mon petit trou. Je maintiens une pression raisonnable pour lui éviter de tomber, mais ça va être dur pour la pénétration. Les mains en appuie en avant, accroupie, je me fais l’effet d’une grosse grenouille en train de s’empaler. Je force la pression en sentant mon anus s’ouvrir doucement, mais visiblement la lubrification ne suffira pas. Monsieur Stéphane se plante devant moi, sa queue sous mon nez.

  • Ouvre la bouche !
  • Oui Monsieur Stéphane.

Et j’ouvre la bouche pour le gober, comme une bonne chienne que je suis devenue. Ses mains se placent sur mes épaules et doucement il commence à exercer une grosse pression. Il va me forcer à m’enfiler sa courgette. Je grimace, ça fait mal et surtout ça ne veut pas rentrer. La courgette glisse et s’échappe, elle tombe au sol avec un bruit mat.

Monsieur Stéphane se retire aussitôt, et se penche sur son jean à terre. D’une poche il en sort mon carnet et un stylo. Et d’une, me dis-je.

  • Appliques toi s’il te plait, me dit-il.
  • C’est que, ça a du mal à rentrer Monsieur Stéphane.
  • Tu veux un peu de lubrifiant ?
  • Heu... Oui c’est pas de refus, Monsieur Stéphane. Après tout si j’ai le choix pourquoi se priver, me dis-je….
  • Alors je t’explique comment ça se passe. Cette courgette d’une façon ou d’une autre elle va rentrer dans ton cul de petite salope, avec ou sans lubrifiant. Mais si c’est avec, c’est direct 5croix en plus. Tu choisis….

L’escroc !... D’un autre coté, ses croix je ne peux pas dire que j’ai eu à en souffrir jusque là. Je ne sais pas encore à quoi ça correspond vraiment, ni à quoi je m’engage… Allez, ça sera plus agréable avec du gel…

  • Je veux bien du gel, Monsieur Stéphane.
  • Ok, donc 5 croix de plus, me répond-il le nez dans le carnet.

Je sais pas pourquoi mais j’ai la désagréable impression que je vais les regretter ces croix.

Il repart dans la maison et en revient avec un flacon de gel Durex. Il attrape la courgette par terre et en enduit copieusement l’extrémité. Il la remet debout et me dit :

  • Vas y, accroupis toi dessus.
  • Oui Monsieur Stéphane.

Et je reprends ma position de grenouille. Je sens la fraicheur du gel sur ma muqueuse. J’entreprends à nouveau de m’enfiler ce légume.

Monsieur Stéphane me remet sa tige sous le nez. Docilement j’ouvre la bouche et reprend ma tache.

De nouveau ses mains poussent sur mes épaules, et je sens mes sphincters qui s’ouvrent doucement.

Le travail des muscles qui se distendent me fait ressentir une vive sensation de chaleur. J’essaie de résister à la pression exercée par mon Maitre, car je souhaiterais diminuer la charge sur mon anus.

M’y reprendre à plusieurs fois quoi, pour plus de confort. Y allez par petit coups, mais rien n’y fait, Monsieur Stéphane ne me laisse pas faire.

Il entend bien que je m’ouvre d’un coup, sans pause.

Ça chauffe de plus en plus, et finalement mon cul s’ouvre en plein, laissant passer la courgette. Une vive douleur au début me force à grimacer, sans ralentir mon rythme buccal. Puis le plaisir commence à se manifester.

Finalement c’est si bon d’être là, le cul possédé, la bouche occupée et mon âme et mon cœur soumis.

 

Je redouble d’ardeur avec ma bouche et commence à effectuer de petits mouvements du haut vers le bas avec mes fesses. Je sens l’énorme légume glisser en moi. Mes deux mains à plat sur le sol, je m’empale avec volupté sur cette courgette, les yeux levée vers ceux de mon Maitre. Lui, il me regarde fixement appréciant ma condition. Il rajuste le boxer qui me tombe sur le front, m’empêchant de profiter de son regard. Puis ses mains quittent mes épaules et viennent se placer derrière ma tête.

Je sens que je vais déguster… Dans tous les sens du terme…

 

Et ça ne loupe pas, je me retrouve avec sa hampe au fond de ma gorge.

Le plaisir anal aidant, je supporte plutôt bien cette intrusion. Une salive épaisse commence à me couler sur le menton et sur ma poitrine, tandis que Monsieur Stéphane dégage son engin de mes amygdales.

Il ne me quitte pas des yeux.

Moi je me laisse allez au plaisir. J’hésite à me caresser le sexe.

Je ne sais pas si j’ai le droit ou pas.

Tant pis j’y vais, une de mes mains s’égare sur ma conque et commence à la frotter frénétiquement.

J’ai toujours éprouvé un plaisir décuplé à me caresser en suçant un homme. Je trouve cela très excitant, pour l’homme et très avilissant, pour moi.

Monsieur Stéphane ne dit rien. Je ne boude pas mon plaisir… Et lui non plus visiblement.

Finalement l’orgasme vient, au moment où il se repend dans ma bouche. C’est fou l’effet que peut provoquer une éjaculation dans la bouche. Moi ça m’envoie en l’air sans coup férir.

Je me rappelle des consignes de mon Maitre.

Je n’avale pas et j’ouvre le bec bien grand.

Monsieur Stéphane jette un coup d’œil dans ma bouche.

  • C’est bon régale toi.

J’avale.

  • Merci Monsieur Stéphane.

Si il y a bien un moment où je me sens chienne comme jamais c’est bien lorsque je me régale d’une rasade de sperme. Enfin quand je me dis que je me régale c’est qu’une façon de parler parce que au niveau gout, bof…. C’est plus l’idée d’être assez salope pour tout gober que la valeur gustative du produit qui m’intéresse.

Je suppose que l’intérêt de me faire ouvrir la bouche et d'attendre l'autorisation d'avaler est là juste pour me rappeler ma condition de soumise au bon vouloir de son Maître. Je ne déteste pas.

Je me mets à genoux et dégage la courgette qui maintenant et devenue plutôt inconfortable. Ce faisant elle tombe.

J’ai à peine réalisé que j’entends « Et une croix de plus ! ».

Hey... Mais c'est pas du jeu. On avait fini là non ??? Bah au point où j’en suis…..

Monsieur Stéphane me fait un geste du doigt pour que je reste au sol et rentre dans sa maison.

Il ressort avec mon collier et ma laisse.

Il me passe le collier autour du cou, y accroche la laisse et m’entraine avec lui à l’intérieur….

.../...

 

Par orificediary
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 13:48

En fait, je ne vous en ais pas encore parlé, mais je ne suis pas seule dans la vie.

Eric, un gentil garçon me fréquente depuis 6 mois déjà.

Il était question dernièrement que nous prenions un appart ensemble.

J’en suis pas spécialement folle amoureuse, mais il a de bons cotés, il est beau gosse, il a de la conversation et il n’est pas mauvais amant.

Mais, bon, à la lumière des derniers événements, il me faut bien admettre que je ne vois pas où je pourrais le caser dans la tournure que prend ma vie.

Il m’arrive de rêver, dans mes envolées fantasmagoriques et libidineuses, que je suis l’esclave totale de Monsieur Stéphane. Je vivrais dans sa cave et il m’utiliserait lorsqu’il en aurait envie, moi toujours disponible et ne faisant rien d’autre qu’attendre son bon vouloir et lui, exigeant et pervers au possible.

Bon ce n’est qu’un fantasme, personne n’a envie de vivre comme ça tout le temps, mais c’est ce que j’ai dans la tête en ce moment.

Et face à ça, Eric ne fait pas du tout le poids.

On doit se voir ce dimanche.

Je ne sais comment lui annoncer la nouvelle, mais il doit déjà se douter de quelques chose car ça fait déjà deux samedi que nous ne passons pas ensemble et où j’avance une vague excuse de famille pour être tranquille.

Des fois je me demande ce qui ne tourne pas rond dans ma tête.

Avoir ce genre d’idéal sexuel n’est pas courant, certes je ne suis pas la seule, il n’y a qu’à voir sur internet les témoignages qui se succèdent, mais quand même…

Je pourrais désirer une vie de famille tout ce qu’il ya de plus tranquille, avoir un mari, des enfants, le truc classique quoi…

Peut être cela viendra, plus tard, quand j’aurais fait le tour de la question, mais pour l’heure, je veux vivre en soumise totale, et voir jusqu’ou mon désir de soumission peut m’emmener.

 

Je vous passe l’épisode larmoyant de ma rupture avec Eric.

Mais n’allez pas croire que je suis une sans cœur, impitoyable et cruelle.

J’ai longtemps réfléchis avant de prendre une décision.

Eric ou Monsieur Stéphane ?

Bon, c’est vrai que ça partait avec un fort partit pris, mais j’ai tout de même fait l’effort de peser le pour et le contre.

Mais il faut bien reconnaitre que si des Eric je peux en trouver à la pelle, des Monsieur Stéphane ça court moins les rues.

Et puis le sexe est un puissant moteur, dur de lui tenir tête.

Dur de refréner ses pulsions quand elles vous habitent nuit et jour, quand vous ne pensez qu’à ça sans arrêt…

Et c’est ce qui m’arrive depuis que j’ai pris ma première leçon avec Monsieur Stéphane.

Il m’obsède, m’obnubile à un point inimaginable.

Je peux le dire maintenant puisqu’il le sait fort bien, mais… je suis prête à tout, pour le satisfaire.

Je serais capable d’endurer n’importe quelle humiliation, n’importe qu’elle souffrance pour son bon plaisir.

Mais ne brulons pas les étapes, pour l’instant j’en suis encore à la phase découverte de moi-même.

Et j’ai encore du chemin à parcourir…

 

Eric s’est accroché les jours suivants.

Pathétique qu’il est, ça en est navrant…

Mais je reste ferme et suis obligée de lui dire que j’ai rencontré quelqu’un, chose que je n’avais pas faite jusqu'à présent. J’avais juste prétexté un besoin de liberté soudain pour prendre le large.

Il en est mortifié et reste incrédule devant mon affirmation.

Je lui raccroche au nez. Je devrais avoir la paix maintenant…

Depuis je surveille ma boite aux lettres qui reste désespérément vide toute la semaine.

En attendant, je me masturbe presque tous les soirs en fantasmant sur Monsieur Stéphane et les divers sévices qu’il pourrait m’infliger.

J’ai le sentiment d’être devenue folle.

Même au boulot, je ne pense qu’à ma nouvelle condition. C’est du délire.

 

Entre temps, je vais m’équiper sur les recommandations de Monsieur Stéphane.

Je vais à Body House, grande surface coquine pour sex-toys et autres fantaisies, à coté d’Auchan, au Pontet.

Je fais le tour des rayons en jetant un coup d’œil aux clients.

Un couple de filles, trois couples mixtes et trois ou quatre hommes seuls.

On est en pleine journée et je constate que, de nos jours, le sexe, et la recherche du plaisir, font recette.

Je prends un tube de gel lubrifiants et je reste plantée de longues minutes devant le rayon des godes.

Il y en a de tout type et à tout prix.

Du plus luxueux au plus banal.

Une vendeuse rapplique, jolie, habillée de façon sexy : « Je peux vous aider, vous semblez indécise ?? ».

Je sens que je rougis d’un seul coup. « Heu…Oui, je ne sais le quel prendre… » 

- Vous souhaitez qu’il soit vibrant ou pas ? 

- Je ne sais pas… Vibrant c’est bien non ? 

- C’est le must. Vous en avez à plusieurs vitesses et plusieurs rythmes aussi.

Je repense à l’usage que je dois en faire.

M’entrainer à le gober jusqu’à la garde sans avoir envie de vomir et élargir mon petit trou.

Mais tant qu’à faire autant joindre l’utile à l’agréable… 

- Montrez-moi ce que vous avez de mieux. 

- Voilà, ce modèle s’occupera de toutes vos zones sensibles. Il a un mouvement rotatif de sa colonne, il a plusieurs rythmes de vibrations et ce petit appendice vous comblera.

Elle fait référence à un petit ergo situé à la base, qui vibre lorsqu’elle le met en marche et qui doit s’occuper de mon clitoris, si j’ai bien compris.

Je le prends en main. Il est de bonne taille, et on la bien en main, avec un accès facile aux programmes grâce à deux boutons. 

- Je vais vous le prendre. 

- Vous avez un choix de couleur particulier ? 

- Heu… Mauve ? Vous avez ? 

- Oui. Voilà… 

- Et je vais vous prendre celui là aussi.

Je lui désigne, un bel engin, fait d’une matière souple et translucide, mauve lui aussi.

Ça, ça sera pour mon entrainement buccal.

Il a à peu prêt la taille d’une vraie verge. Un poil plus gros peut être. 

- Très bien. Suivez-moi.

 

Et on se dirige vers la caisse.

Quel métier étrange que de conseiller les gens sur la façon de se donner du plaisir physique.

Je les admire ces filles.

Courtoisie, tact et pragmatisme les caractérisent j’imagine.

Bref, je rentre chez moi.

Et me met en condition pour tester mes nouveaux jouets.

Je m’allonge sur mon lit, nue, et commence à me caresser avec le rabbit (c’est le nom du gode à programmes).

Très rapidement je réuni les conditions à une pénétration avec le premier programme.

C’est agréable, et mon clitoris est sollicité de belle façon.

Il faut vous dire que je suis plutôt clitoridienne que vaginale.

En passant au programmes deux, j’attrape la queue en silicone et entreprend de la sucer.

Je tente de repousser mes limites d’absorption buccale mais ce n’est pas évident.

Mais malgré tout je progresse doucement.

Au programme cinq, je suis au bord de l’orgasme et fait durer le plaisir.

Je m’imagine à la merci de Monsieur Stéphane, attachée sur un chevalet et mise à dispositions de plusieurs hommes.

Le plaisir arrive enfin.

 

Durant mon orgasme, j’enfonce le gode plus profond dans ma gorge, et là, miracle, je l’absorbe à fond.

J’ai bien un spasme, mais pas de renvoi, ma gorge s’ouvre comme par enchantement, et avale cet engin sans gêne. Surement les effets de mon plaisir intense.

Le plaisir passé je le ressort.

Un long filet de salive épaisse et écumante suit.

J’en suis toute étonnée.

Une salive collante et glissante, pratique pour lubrifier….

 

Contente de moi, je file reprendre une douche, en me promettant de réessayer tous les soirs de la semaine.

Finalement le mardi suivant, j’ai le plaisir et l’excitation de découvrir non pas une enveloppe rouge dans ma boite aux lettres, mais un colis du même papier riche et généreux.

Il est cacheté comme les enveloppes le sont habituellement.

Je l’attrape comme une dingue et cours jusqu’à ma porte.

J’entre chez moi, je jette mes affaires sur le canapé et reste planté dans le séjour, les mains fébrilement occupées à ouvrir le paquet de Monsieur Stéphane.

Dans le colis se trouve une curieuse pièce en acier poli en forme de goutte d’eau avec une espèce de garde sur lequel est fixé un gros brillant fantaisie rose.

Une lettre est également pliée dans le colis.

 

« Orifices, soit samedi prochain à 15h00 à l’adresse habituelle. Tenue, jupe, et porte jarretelle. Culotte autorisée. Et n’oublie pas de t’équiper du Plug ci-joint. Monsieur Stéphane. »

 

Un Plug ?

Jamais entendu parler.

Il est lourd dans ma main et de bonne taille, surtout lorsque je pense réaliser où je dois m’en « équiper ».

Par sureté, je me renseigne sur le net.

Je tape « Plug » et comme résultat je n’obtiens que des prises électriques ou des articles sur la connectique.

Je rajoute soumission à ma recherche et là tout s’éclaire.

Je tombe sur un blog ou un Maitre explique : « La pose d’un Plug, pour une soumise, c’est un acte d’acceptation de sa soumission complète après avoir été défloré ou avoir offert son anneau sacré à son Maitre ».

 

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Ok, c’est sans problème pour moi.

Encore qu’il soit de bonne taille, mais je me promets de l’essayer dès ma douche, que je compte prendre rapidement vous vous en doutez.

J’expédie deux ou trois affaires ménagères, et me décide à m’accorder un petit moment de détente.

Je me dirige vers la salle de bain, avec le Plug dans une main, le gel lubrifiant dans l’autre.

Je me déshabille, mets mon linge dans la corbeille prévue à cet effet et enjambe le rebord de ma baignoire.

Je me mets à sucer le plug. Il est froid et chaque choc contre mes dents me parait désagréable.

Lorsque je l’estime assez lubrifié, je l’amène à mon anus, que je lubrifie là aussi grâce à mon majeur en lui faisant faire de légers mouvements circulaires autour de mon petit trou.

Je présente le Plug à l’entré et pousse doucement.

Pas évident.

J’estime son diamètre à 5 cm et de mémoire je n’ai jamais été gratifié d’un membre de cette taille.

Mes sphincters s’ouvrent un peu, mais c’est laborieux.

Je passe à la vitesse supérieure et utilise le gel lubrifiant.

J’en mets une noisette sur mon majeur, et l’applique sur mon anus.

Ça glisse tout seul, un vrai bonheur.

Je commence à être humide entre les jambes.

De nouveau, en mettant un pied sur le rebord de la baignoire j’essaie de m’introduire cette belle pièce d’acier.

Tout de suite je sens que ça va le faire, il me faut juste y aller en douceur.

Lentement, par petits va-et-vient je force un peu plus ma porte de derrière.

Tout en me caressant devant.

 

C’est dur mais j’y arrive.

Lorsqu’enfin il passe, je ressens un vif plaisir dans mon bas ventre et une envie d’en avoir encore plus.

Cette sensation du Plug qui plonge dans mes entrailles, alors que mes sphincters se referment derrière lui est assez surprenante, mais très jouissive.

Il est bien entré, à tel point que j’ai du mal à passer mes doigts entre la garde et ma peau pour le faire jouer avec mes muscles.

J’arrive à l’attraper et tente de le ressortir, juste pour avoir à nouveau cette délicieuse sensation de mes sphincters qui s’ouvrent.

C’est exquis, et je décide de rejoindre mon lit pour me finir.

Marcher avec cet engin qui occupe mon fondement me donne l’impression d’avoir un truc énorme qui dépasse de mes fesses, mais en passant devant la glace du couloir, je vérifie.

On ne voit rien à l’exception de ce gros brillant qui habile mon cul avec beaucoup de classe je trouve.

Je jouis du spectacle et me matte mon derrière avec gourmandise.

Je me sens très excité par cette chose.

Je me jette sur mon lit où je prends beaucoup de plaisir après seulement deux ou trois minutes.

 

Une fois passée la vague de plaisir, c’est beaucoup moins agréable, et encore pire à retirer.

Mais au moins je l’ai essayé. Je sais que je serais prêtre pour samedi.

Dans la semaine me vient un problème de taille.

Quand vais-je me mettre ce Plug ?

Chez moi avant de monter dans la voiture, ou sur le parking une fois arrivée chez Monsieur Stéphane ?

Après réflexion je me dis que pour respecter l’esprit de la lettre il faudra que je l’enfile chez moi.

Bon, une demi-heure de route, ce n’est pas la mer à boire…

 

Toutes les bonnes choses finissent par arriver. On est samedi après midi.

Dans la semaine j’ai pris soin d’acheter un porte-jarretelle, car je n’en ai pas.

Je porte très souvent des bas, mais n’ai pas l’habitude de mettre des porte-jarretelles.

Tant qu’à faire j’ai pris tout un ensemble, soutien gorge, boxer, bas et porte-jarretelles.

Les dessous sont mauves et blancs et les bas blancs.

C’est du plus bel effet, je me plais énormément dans mon miroir. Reste à m’équiper du Plug.

Je prends mon tube de gel, j’en enduis mon petit trou et le Plug que j’ai pris soin de garder dans ma main un petit moment afin qu’il soit chaud.

Ça rentre avec quelques difficultés, car je n’ai pas vraiment le temps de me caresser pour aider à l’ouverture, et à nouveau je goutte ce plaisir du passage de mes sphincter au moment ou la bête va se loger bien profondément. Je finis de m’habiller et sors dans la rue.

C’est une impression particulière que de savoir que l’on est « pluggée » et que l’on marche dans la rue aux yeux de tous.

J’en jouis et j’intercepte avec malice le regard des hommes que je croise, qui glissent sur ma robe à fleurs.

S’ils savaient…..

Je saute dans ma voiture, non sans délicatesse car s’asseoir avec un truc pareil dans le fondement c’est pas particulièrement confortable. Et me voilà en route.

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Par orificediary
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 13:26

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Je suis dans la cave d’un homme que je n’ai rencontré que deux ou trois fois, nue, attaché à une croix, et avec des poids au bout de mes seins.

Ça fait déjà plusieurs minutes qu’il m’a laissée là, après ma première rencontre avec un Hitachi Magic Wand.

Quel engin… Une machine de dément.

J’ai encore du mal à m’en remettre, alors que je me demande depuis combien de temps il est parti.

Les poids commencent à se faire sacrément sentir au bout de mes tétons.

Si au début, je tentais de me dévisser la tête pour apprécier l’intégralité de la pièce, maintenant j’évite de bouger car le moindre balancement de ma poitrine me rappelle à l’ordre douloureusement.

Cependant j’ai pu apercevoir une petite porte supplémentaire à l’opposé de celle des escaliers, ainsi qu’un fauteuil, façon club dans un coin.

 

Le temps s’écoule lentement.

Je constate que Monsieur Stéphane n’est pas un mort de faim.

En effet combien d’hommes n’auraient pas tenté d’abuser de la situation de suite.

Lui, non, il se contente de m’explorer, cérébralement parlant j’entends.

Pas un geste déplacé, pour m’introduire un ou plusieurs doigts, ou tout autre chose…

Il ne semble pas se préoccuper de son propre plaisir.

A peine s’il a effleuré mon sexe du bout de l’index.

Il doit être rompu à toute épreuve, ça doit être la routine pour lui.

Une petite chienne de plus à dompter.

 

Tout à coups, je me prends à éprouver une vive jalousie à l’encontre des soumises qui ont croisé sa route auparavant.

Car, à n’en pas douter, je ne suis pas la première.

Il n’y a qu’à voir avec quelle maitrise il mène son sujet, et s’il fallait une preuve supplémentaire, l’ameublement de sa cave parle de lui même.

Je ne serais qu’une salope de plus à passer dans son pétrin.

Pourquoi cet élan de jalousie ?

Nous ne sommes rien l’un pour l’autre…

Tout ça n’est qu’un jeu ma jolie, rien de plus.

Prends-le comme tel.

 

J’entends du bruit. Il descend les escaliers, il revient…

La porte s’ouvre. Il vient se planter devant moi.

- Alors, prêtes pour une seconde manche ?

Quoi ?

Oh Non !

Pas ça…

Pitié pas ça…

Je ne sais pas si je pourrais endurer une nouvelle vague.

- Pardon ? Je n’ai pas entendu, s’amuse-t-il….

- Oui… Oui Monsieur Stéphane.

Ais-je le vraiment choix ?

 

Déjà il tend la main vers l’appareil, et s’est repartit.

Aussitôt je décolle.

Les vibrations de cet engin de malheur m’arrachent littéralement de mon corps et me propulsent au-delà de toutes sensations.

C’est inouï.

Le bruit de l’appareil, associé à ses fréquences ultra rapides, sourdes et régulières, me transportent d’extase.

Aussi rapidement que la première fois, un Hiroshima me terrasse.

Suivi de cette désagréable sensation négative.

Cette fois la phase gêne intense dure un peu plus longtemps que les deux fois précédentes.

Je grimace, je me tords, je geins.

Mais rien n’y fait, tant que je ne lâche pas le mot magique, ça continue.

Et je ne veux pas le lâcher.

Pas comme ça, pas sans avoir résistée au maximum.

Je veux lui montrer de quoi je capable.

Je serre les dents.

 

Ça y est, le plaisir revient.

Toujours aussi intense, aussi vigoureux.

Il se dégage de ces sensations quelque chose de bestial et de raffiné à la fois.

C’est d’une telle force, d’une telle puissance…

Sans crier gare, l’orgasme surgit encore une fois.

Dans la même seconde, tantôt je me cambre à m’en faire péter la colonne vertébrale, tantôt je me recroqueville sur moi-même, enfin autant que mes liens me le permettent.

Je sais que je continue à crier, à geindre, à gémir, même si je ne m’entends plus.

Et puis revient encore cette nauséeuse sensation qui vous donne envie de vous arracher la peau pour vous en débarrasser. Et ça recommence.

Le cycle reprend avec une phase désagréable de plus en plus longue et des orgasmes de plus en plus courts. Je ne tiens plus les comptes, je ne sais plus où j’en suis.

N’existent plus que ces vibrations infernales, ces hurlements et ces larmes qui coulent sur mes joues.

Je suis en enfer, ni plus ni moins.

C’est tout à la fois insupportable et délectable…

- Aprila ! Aprila ! Lançais-je à bout de force.

Tout s’arrête.

 

- Un peu mieux cette fois ci. Bon on va passer à autre chose, si tu veux bien ?

Ah ? Pourquoi, j’ai mon mot à dire ??? Nouveau ça…

- Oui Monsieur Stéphane. Ma voix n’est qu’un murmure.

Il me délivre avec autant de délicatesse qu’il m’a attachée.

Avec une paire de ciseaux à bouts ronds il libère ma jambe du cellophane.

Elle est trempée de sueur, et lorsqu'il prend le magic wand, mon entre jambe ruisselle littéralement sur mes jambes.

Il pointe un index vers le sol, en faisant claquer ses doigts.

Je ne le sais pas encore mais ça sera là, l’ordre le plus fréquent auquel j’aurais à obéir à l’avenir.

Un simple doigt tendu vers le sol et un claquement.

On ne peut plus explicite me direz-vous….

Je tombe à genoux et me met à quatre pattes.

Il garde ma laisse en main, bien évidement.

 

Il va s’asseoir dans un fauteuil posé dans un coin de la pièce.

Il s’installe, les jambes écartées et commence à dégrafer son pantalon.

Ah, quand même me dis-je, il n’est pas si différent des autres finalement.

Il sort son engin, pas encore en érection. Il se met à l’aise, puis tire sur ma laisse.

- On va voir comment tu t’y prends pour contenter ton Maitre.

Bon là, au moins, pas la peine d’explications, je sais exactement ce qu’il attend de moi.

Je me cale entre ses genoux, approche ma bouche de son gland et tends la main…

- Non, non sans les mains, s’il te plait… Me rappelle-t-il à l’ordre. Uniquement ta bouche.

Bon, très bien, allons-y.

Je sors ma langue pour soulever son sexe que j’enfourne d’abord avec une feinte hésitation, puis que j’engloutis littéralement. Je commence mes va-et-vient, lentement en jouant de la langue autant que je peux.

Petit à petit sa verge grossi et se raidit.

C’est déjà ça, il n’est pas insensible à mon expérience.

Je pense que je franchirais haut la main ce test…

Facile après tout quand on est une fille moderne ; je veux dire, quelle fille de nos jours ne sait pas sucer correctement son homme ?

 

Je déploie tout mon art, usant de ma langue et de mes lèvres avec une attention redoublée.

Inutile de vous préciser que cet exercice, dans la position où je suis, tenue en laisse, m’excite au plus au point.

J’y prends un réel plaisir, et je ne suis pas la seule apparemment.

Même s’il n’en laisse rien paraitre, pas un soupir, pas un spasme, Monsieur Stéphane semble apprécier la chose à en juger par la taille de son engin.

Arrive l’indissociable main posée sur la tête, liée indéfectiblement à ce genre d’activité.

Il y met même les deux.

Il apprécie le coquin.

Bien sur comment pourrait-il en être autrement ?

Mais il se met à appuyer avec puissance et force sur ma tête.

Là, je commence à émettre des gargouillis tandis que je m’étouffe à moitié.

J’esquisse le geste d’envoyer les mains pour me dégager mais aussitôt :

- Sans les mains je t’ai demandé… Allez, avale autant que tu peux…

Il relâche sa pression et j’en profite pour souffler.

Je dégage son sexe de ma bouche à moitié en toussant et en soufflant.

- Allez ne te laisse pas distraire, continues….

- Oui Monsieur Stéphane.

Et je m’y remets.

 

Passent quelques secondes et de nouveau la pression sur ma tête, cette fois il fait ça si soudainement qu’il m’enfile jusqu’à la garde, si je puis dire.

Mes lèvres en viennent à toucher son pubis et ses testicules.

J’ai immédiatement un réflexe vomitif et un rejet de la tête en arrière.

Il laisse faire.

Un long filet de salive épaisse me relie à sa hampe dressée.

J’en ai les yeux qui pleurent, encore…

Il me permet quelques secondes de répits, puis claque des doigts en désignant sa verge.

 

De nouveau, je m’attelle à la tache, le menton souillée de ma propre salive, les joues humides de mes propres larmes et la nouvelle conviction que le test ne sera pas si facile que ça à passer finalement.

Cette fois je m’attends à la pression, je résiste un peu, mais un coup d’œil sur le visage de Monsieur Stéphane me ramène à plus de docilité.

Son gland heurte le fond de ma gorge une ou deux fois, je ne saurais le dire.

Mon estomac se retourne.

Je sens son contenu remonter.

Je me dégage portant les mains à ma bouche, en ayant des sursauts de renvois.

Dans le même temps je me relève.

Pas par défi, ni rébellion, c’est juste que j’éprouve à ce moment là un irrésistible besoin de me mettre debout.

De toute façon, là tout de suite, je ne peux pas continuer.

 

- Va te rincer la bouche dans la salle de bain. Par là… M’indique-t-il d’un geste.

Toujours une main devant ma bouche, je franchis la porte indiquée et pénètre dans une petite salle d’eau.

Elle est propre est bien agencée.

Je crache dans le lavabo et me rince plusieurs fois la bouche.

Un bref coup d’œil dans le miroir me fait entrevoir une créature que j’ai toujours rêvé d’incarnée secrètement.

Misérable, certes, pitoyable, surement mais quel bonheur d’être enfin cette femelle obéissante au visage marquée de longues coulures de rimmel, aux yeux rougis et au menton maculé de bave.

Je m’observe.

Je me trouve belle et, paradoxalement, terriblement rebelle.

Oui je sais, je suis en train d’obéir aux ordres d’un pervers qui se comporte en Maitre absolu, mais malgré tout, avoir osé franchir le pas, être là de ma propre volonté, me fait me sentir rebelle et farouche face au monde entier.

C’est comme ça.

Des fois il ne faut pas chercher à comprendre.

 

Je me rince le visage et retourne auprès de mon Maitre.

- Ça ira pour aujourd’hui, contente toi de finir ce que tu as commencé et montre moi ta dévotion comme il se doit.

Je me remets en position, et recommence à lui prodiguer une fellation appliquée et volontaire.

Cette fois pas de main sur le sommet du crâne, il me laisse procéder.

Après de longues minutes, je sens enfin des spasmes annonciateurs de plaisirs.

Il se répand en moi, en longues giclées épaisses et chaudes.

Enfin...

Suis plutôt satisfaite de moi.

J’avale d’une gorgée sa semence.

Il le remarque : « Les prochaines fois, je veux que tu ouvres la bouche et attendes mon ordre pour avaler. C’est bien compris ? »

- Oui Monsieur Stéphane.

- Bien, je crois que tu as ton compte pour aujourd’hui. Alors de petits exercices à faire chez toi. Tu as un gode ?

- Heu… Non Monsieur Stéphane.

C’est vrai je n’en ai pas. J’ai quelquefois pensé à en acheter un mais jamais franchi le pas, faut dire que je suis rarement restée seule ses dernières années.

- Pas grave tu vas t’en acheter un. Ne prend pas un gros, hein, n’aie pas les yeux plus gros le ventre. Ça sera pour t’entrainer à gober une bite jusqu’à la garde. La prochaine fois que l’on se voit, je veux sentir de nets progrès. Compris ?

- Oui Monsieur Stéphane.

- Autre chose, tu t’es déjà faite sodomiser j’imagine ?

- Heu… Oui Monsieur Stéphane.

- Alors entraine aussi ton petit trou à recevoir du gros. Parce que la prochain fois tu vas déguster. Que tu ne t’appelle pas Orifice pour rien quand même….

- Oui Monsieur Stéphane.

- Allez rhabilles toi et files.

- Oui Monsieur Stéphane… Je …

- Si tu souhaites émettre l’hypothèse de prendre une douche, c’est non. Tu sortiras toujours de mes séances en l’état, comme tu les finis, et estime toi heureuse que je ne t’oblige pas à te rhabiller dans la rue cette fois ci.

 

Le coup est rude mais je m’estime contente d’avoir eu l’opportunité de me rincer au moins le visage.

Je me fais la promesse de prévoir des lingettes pour mes prochaines séances.

Je renfile mes vêtements, entretemps il est déjà monté.

Je le suis quelques secondes après.

Il est dans le salon un verre à la main.

- En revanche si tu veux boire quelque chose c’est avec plaisir, me dit-il en levant son verre.

Bah, pourquoi pas…

- Oui Monsieur Stéphane.

- Que veux-tu ?

- Heu... Je ne sais pas. Rhum blanc ? Vous avez ?

- …Monsieur Stéphane, tu as oublié Monsieur Stéphane ? Me corrige-t-il en attrapant son petit carnet.

- Oui pardon, Monsieur Stéphane.

- Oui j’en ai, me répond-il en notant une croix de plus.

Il ouvre un vieux meuble empli de diverses bouteilles, il décroche un verre de son support et me sert.

- Glaçons ?

- Oui monsieur Stéphane. Et un peu de coca s’il vous plait….

- Ha… Un cuba Libre donc, avec une rondelle de citron vert peut être ?

- Oui Monsieur Stéphane, merci.

 

Il quitte la pièce pour se rendre dans sa cuisine j’imagine. J’en profite pour jeter un œil alentour.

C’est stylé, meublé avec gout, que du beau bois et quelques magnifiques peintures accrochées aux murs.

Je reconnais le style inimitable et hyper coloré de Zanella, grand peintre provençal contemporain.

Ainsi qu’un Kandinsky. Est-ce un original ? Je m’en approche pour vérifier.

- Ce n’est pas un original, mais une fort belle copie cependant. Il est revenu et me tends mon verre.

- Mais vos Zanella sont des originaux eux ? … Monsieur Stéphane ? M’empressais-je d’ajouter.

- Oui mais il est plus dans mes moyens. Tu t’intéresses à l’art ?

- Comme tout le monde, Monsieur Stéphane.

- Ha... ??Tu sais cuisiner ?

- Oui Monsieur Stéphane.

- Bien… Ou plutôt bien ?

- Plutôt bien, Monsieur Stéphane.

- Parfait, à l’occasion je t’embaucherais pour un diner entre amis. Tu feras la cuisine et le service. Ça sera parfait…

- Oui Monsieur Stéphane.

Oui j’imagine déjà le genre de service…

 

Nous discutons de choses et d’autres comme si il ne s’était rien passé dans cette cave.

C’est assez surréaliste en fait comme situation.

Je découvre un homme courtois et sociable en dehors de ses activités très privées.

Cultivé aussi. Il a l’air d’être une source inépuisable sur l’histoire de la région et j’apprends de sa bouche que le secteur de Saint Laurent des Arbres fut sur le devant de la scène à de nombreuse reprise durant l’ère romaine, notamment lors du franchissement du Rhône par Hannibal et ses éléphants non loin de là.

Il me parle également de son église fortifiée, son donjon médiéval et du Camp des Césars, plateau voisin, où de nombreux vestiges du néolithique furent découverts.

Bref nous avons une discussion tout ce qu’il y a de plus mondain. Je trouve ce changement d’attitude assez déstabilisant pour tout vous dire. D’abord il m’annonce froidement que je n’ai pas droit à une douche, pourtant amplement justifiée, et l’instant d’après il m’invite à prendre un verre et à deviser avec lui comme si de rien était.

Serait-ce une sorte de sociopathe ?

Une soumise peut elle avoir ce genre de rapport avec son Maitre ?

Bof, après tout, qu’est qui empêche un petit moment de détente après l’effort… ?

Je finis mon verre, il m’en repropose un, mais je décline.

Il me faut y aller maintenant, l’après midi est bien avancées et je sors ce soir.

 

Encore une fois, je m’interroge sur le protocole à suivre, comment prend-on congés de son Maitre ?

Comme toujours il semble lire en moi comme à livre ouvert.

- La bise me semble de rigueur après ce qu’on vient de partager, dit-il en souriant.

Je m’approche en lâchant un « Oui Monsieur Stéphane » confus et inaudible et je tends ma joue.

Une fois nos au revoir échangés, je sors dans son jardin et me dirige vers le portail.

Alors que je rejoins ma voiture, je ne peux m’empêcher de réaliser ce que je viens de faire. « Ça y est » me dis-je dans ma tête, « Tu es une bonne petite esclave bien docile et obéissante », et cette simple pensée m’emplit de joie et de bonheur.

J’aimerais déjà être à me prochaine séance….

Par orificediary
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 12:15

Une semaine après, le mercredi, je trouve une belle enveloppe rouge dans ma boite aux lettres, le soir en rentrant du boulot. Pas de timbre, ni de cachet de la poste, il est donc venu repérer les lieux.

Je me dépêche de rentrer dans mon appart'. Je me jette dans un fauteuil et ouvre la lettre.

 

« Orifice, sois à 15h00 à l’adresse suivante, ce samedi. Viens en jupe et bas, mais sans culotte. Et soit propre et nickel, comme je te l’ai indiqué. Monsieur Stéphane. »

 

Je me dois de revenir sur ce nouveau nom que je dois porter en présence de Monsieur Stéphane.

Si au début je l’ai trouvé vulgaire et quelque peu choquant, maintenant quand j’y repense, je le trouve délicieusement humiliant. Réduire une femme, un être humain, à son seul agencement anatomique, à ses seules fonctions sexuelles, je trouve cela dépréciatif et dévalorisant au plus haut point.

Je me délecte de ce surnom dont l’évocation m’excite au centuple.

J’attends secrètement, et avec impatience, le moment où il le prononcera devant d’autres personnes.

En espérant que cela arrivera un jour.

Comme je crois vous l’avoir dit, je suis une cérébrale et ce sont de petites choses comme ça qui me font grimper aux rideaux.

 

Bref, je sais déjà que j’aurais droit à une séance de dressage ce samedi, et l’idée me plait terriblement.

Si ce que j’ai vécu lors de notre premier rendez-vous n’était que la partie émergé de l‘iceberg, je me délecte par avance de la suite à venir.

Mais saura-t-il me guider là où je veux allez ?

Comblera-t-il mon besoin de soumission et d’humiliation ?

Il a l’air de savoir ce qu’il fait, et il le fait avec une telle assurance que je ne doute pas qu’il puisse lire en moi sans problème et qu’il puisse répondre à mes attentes.

Alors pourquoi cette inquiétude que je n’aurais pas toujours ce que je désire ?

Un Maitre est-il censé vous amener là où vous voulez seulement allez, ou peut-il vous porter au-delà ?

Doit-il vous portez au-delà ?

J’entends bien dépasser mes limites, tant physiques qu’émotionnelles.

Alors oui, je pense que j’y prendrais un grand plaisir et suis impatiente de poursuivre l’aventure.

 

Je prends rendez vous dans la semaine chez mon esthéticienne pour une épilation soignée et je me rachète des rasoirs pour pouvoir m’occuper de mes parties intimes, que je ne saurais confier à une professionnelle, aussi qualifiée soit elle.

Le samedi arrive avec une lenteur digne d’une semaine de Noël quand on a 10 ans.

C'est l'heure, enfin. Je monte dans ma voiture, je rentre l’adresse donnée dans mon GPS et en avant.

Bien évidement j’ai scrupuleusement suivi les instructions de Monsieur Stéphane : Des bas, une jupe et pas de culotte.

J’ai hésité à mettre un soutien gorge.

J’ai une poitrine qui peut s’en passer, tant par sa taille que par son maintient.

Du coup, je n’en mets pas. Je roule avec le cœur qui bat à dix mille à l’heure.

Je connais le village où je dois me rendre, Saint Laurent des Arbres.

L’adresse se trouve dans le vieux village, où il est plutôt dur de trouver une place de stationnement.

Je me gare donc sur un parking un peu en retrait et je continue à pied.

J’arrive devant un portail en fer forgé complètement obturé.

Sur la boite aux lettres j’y lis le nom de famille de mon Maitre, car je suppose qu’il m’a donné rendez-vous chez lui.

Je sonne. L’interphone grésille, j’y entends un « Oui ? ».

- C’est… Hum… C’est Orifice, Monsieur Stéphane.

- Je t’ouvre…

 

Un « clac !» sec déverrouille le portillon et j’entre.

Je distingue la maison au font d’un petit jardin bien ordonné avec ses sempiternels oliviers taillés, et sa piscine avec terrasse bordée de cyclopéens vases d’Anduzes, comme il convient à toute bonne maison de Provence.

La propriété est ceinte d’un mur de près de deux mètres et en distinguant plusieurs anneaux de fer pendre sous la poutre de la terrasse je ne peux m’empêcher d’imaginer des scènes osées.

Alors que j’avance vers la maison, il sort sur le pas de sa porte.

Je réalise un truc, tout d’un coup.

Comment dit-on bonjour à son Maitre ?

Doit-on lui tendre la main ?

L’embrasser ?

Lui baiser les mains, les pieds ?

Je m’arrête à un bon mètre de lui. « Bonjour Monsieur Stéphane ».

- Inspection, me répond-il…

J’hésite, que me faut-il faire ?

Me tourner, soulever ma jupe et offrir mon intimité à son regard inquisiteur ?

- Allez, exécution insiste-t-il en faisant faire de petits cercles à son index pointé vers le bas.

Okay, j’ai compris. Je me tourne, me penche en avant et soulève ma jupe.

- Ecarte, m’ordonne-t-il.

 

Je pose mes mains sur mes fesses et les tire vers l’extérieur.

Comme la première fois, un éclair fulgurant me parcourt de haut en bas alors que je sens son doigt, caresser mes chairs.

- Tu as oublié un ou deux poils. Ce n’est pas bien….

Ben oui l’inconvénient quand on se rase le fondement sois même, c’est que c’est assez dur de vérifier le travail.

Mais bon se n’est pas si grave, me dis-je en moi-même.

Pas si grave ?

J’allais apprendre à mes dépens que Monsieur Stéphane est extrêmement exigeant et qu’il ne laisse rien passer.

- Mets-toi à quatre pattes, m’intime-t-il. Le cul bien haut.

Je m’exécute sans discuter.

J’adore cette position, outrageuse et indécente au possible.

Offerte, je reste ainsi tandis qu’il disparait derrière la porte.

Il revient quelques secondes plus tard.

J’entends qu’il se met à genoux derrière moi.

J’en salive d’avance… Il pose une main sur une de mes fesses…

Quel délicieux préambule, je sens immédiatement ma petite conque se remplir de désir humide.

D’un coup, une violente douleur, comme une piqure, se manifeste.

Je me cabre sous la sensation violente et aiguë, et je lâche un petit cri de protestation.

- Si tu bouges comme ça, je vais y mettre deux fois plus de temps. Et c’est la dernière fois que je t’entends crier de cette façon, c’est compris ?

- Oui Monsieur Stéphane.

Il est en train d’épiler ma zone très sensible avec une pince, et il y va très doucement.

J’en pleure.

- Je pourrais tirer d’un coup sec, mais la leçon ne porterait pas, me dit-il professoralement. Chaque fois que je te verrais avec des poils disgracieux, oubliés, c’est le châtiment que tu recevras, lentement, doucement. Tu as bien compris ?

- Oui Monsieur Stéphane.

 

Si j’ai compris ?

Oh que oui, je me jure d’apporter un soin tout particulier à ma toilette intime la prochaine fois, quitte à réviser mon jugement sur les esthéticiennes et le fait que je leur interdis l’accès à ma raie.

- Bien, suis moi maintenant.

Et il se retourne pour franchir le seuil de sa porte.

Je me relève, sous son regard interrogatif. Je comprends, à ses yeux, que j’ai fait une erreur.

- Que fais-tu ? me demande-t-il incrédule. Tu restes à quatre pattes tant que je ne te donne pas l’ordre de te relever.

Je me remets à quatre pattes, dépitée d’avoir commis une boulette aussi énorme.

- Je n’ai pas entendu, me dit-il.

- Oui Monsieur Stéphane.

- Il faut que ça devienne une habitude, un réflexe. Quand tu t’adresses à moi, tu commences ou tu finis tes phrases par Monsieur Stéphane. C’est clair ?

- Oui Monsieur Stéphane.

- Bon ça tombe bien que tu ais fait une erreur, je vais te montrer ce qu’implique une bêtise de ta part.

 

Il rentre et je le suis, comme une chienne bien domestiquée, en ayant une brève pensées pour mes bas, que je vais fusiller.

Nous franchissons un petit vestibule et entrons dans ce qui semble être un séjour/salle à manger.

Une fort belle pièce, ma foi, et de belle taille.

Toute en pierres apparentes et en poutres volumineuses.

Il s’installe dans un fauteuil et claque des doigts pour que je vienne me mette à ses pieds. Sur un guéridon à coté, il attrape un petit carnet relié en cuir, noué au moyen d’un petit lacet, en cuir lui aussi.

Il me le montre et me dit : « Voilà ton carnet. Chaque fois que tu commettras une erreur, je la noterais et tu m’en rendras des comptes. »

- Oui Monsieur Stéphane.

- Je mettrais une ou plusieurs croix, en fonction de la gravité de ta faute, et le rendez vous suivant où nous nous verrons, tu auras tes sanctions. Tu as compris ?

- Oui Monsieur Stéphane.

- Bien, j’ai besoin de te connaitre un peu. Connaitre tes limites, tes performances, tes appréhensions et tes désirs. Nous allons commencer de suite. Tes limites d’abord… Tiens approche ta tête.

 

Toujours sur le guéridon situé à coté de son fauteuil, il prend un collier.

Toute excitée par la symbolique de cet objet, Je tends le cou. Il le boucle.

De ce que j’ai pu en voir, il est en cuir rouge, pas trop large et avec de petites pointes en métal brillant.

Il attrape une laisse et l’accroche à la petite boucle du collier.

- Suis-moi, dit il en se relevant et en gardant l’extrémité de la laisse en main.

Il se lève et traverse son séjour. Moi forcément, je le suis.

Il y a quelque chose de délectable à être trainer ainsi en laisse par un homme.

Je me sens chienne jusqu’au bout des ongles, c’est proprement délicieux.

Une folle ivresse annonciatrice de plaisir m’envahit.

Je m’imagine vu d’une tierce personne, marchant à quatre pattes derrière mon Maitre, les fesses à l’air et ma chatte mouillée.

Il ouvre une porte sur un escalier qui descend.

- Fais très attention dans les escaliers, m’avertit-t-il.

Je ne sais pas si vous vous êtes déjà amusé à descendre un escalier à quatre pattes, mais c’est plutôt coton.

Il passe devant et je tente de le suivre.

Il avance avec beaucoup de lenteur, prévenant de mes difficultés.

Nous arrivons en bas.

Je me suis tellement concentré sur la descente périlleuse que je ne réalise qu’une fois en bas, qu’il m’emmène dans sa cave.

 

Personne ne sait que je suis ici.

Il pourrait m’arriver n’importe quoi.

Et si j’avais à faire à psychopathe ?

A un malade mental qui envisage de me découper lentement durant plusieurs jours.

Mon ardeur se refroidit l’espace d’un instant.

Il se retourne et ferme la porte derrière nous.

A la lumière qui vient de se faire je découvre un vrai petit donjon aménagé. Une croix en bois, en X, de taille humaine, fixée au murs, un chevalet avec menottes aux quatre extrémités, un matelas, un tabouret avec un… un truc énorme, oblongue, qui en dépasse, dont je ne fais aucune illusion quand à son utilité, une cage en fer forgée pouvant contenir un homme, ou plutôt une femme, et tout un tas de sextoys accrochés sur un mur.

Il tire sur la laisse et m’emmène au pied du grand X en bois.

- Lèves toi, m’ordonne-t-il.

- Oui Monsieur Stéphane.

- Déshabille-toi. Mets tes vêtements là, m’indique-t-il du doigt.

- Oui Monsieur Stéphane.

Je m’exécute, non sans un certain frisson, mêlé de crainte et de désir.

C’est la première fois que je me retrouve nue devant lui.

Bon c’est sur il a déjà vu l’essentiel, mais quand même ça me fait quelque chose.

Là, honnêtement, durant une seconde je m’attends à ce qu’il me frappe violemment et que commence un long calvaire.

En une fraction de seconde, mon cinéma intérieur s’emballe. J’imagine déjà les gros titres « Une Avignonnaise portée disparue. Les enquêteurs… ».

Je me vois tentant de lui échapper, je me remémore le chemin parcouru pour arriver dans sa cave….

 

Il m’attrape le poignet gauche, le monte au-dessus de ma tête et le plaque contre le montant en bois.

D’un coup sec il referme le bracelet de métal qui s’y trouve et y glisse une clavette.

Je suis immobilisée d’un bras.

La terreur se dispute à l’excitation.

Il fait de même avec mon poignet droit.

Ce faisant il se retrouve très prêt de mon corps.

Nos lèvres ne sont qu’à quelques centimètres, je sens son parfum « Habit Rouge ».

Je regarde la boucle d’oreille qu’il porte à gauche, un petit anneau en argent ou titane.

Je réalise que nous n’avons jamais été aussi proche physiquement.

Ça ne dure qu’une ou deux secondes mais le moment est intense, enfin pour moi en tout cas…

Il se baisse, m’attrape la cheville gauche, et la fixe elle aussi dans un bracelet de métal. Je remarque qu’il ne m’a pas fait ôter mes bas ni mes chaussures.

Un brin de fétichismes peut être ?

Puis c’est autour de la cheville droite. Me voilà épinglée comme un papillon.

Cependant, je suis un peu moins angoissé.

La douceur avec la quelle il a procédé, me rassure quelque peu.

 

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Il s’écarte, profite du spectacle quelques instants. Je dois valoir le coup d’œil, sans prétention aucune, attachée sur une croix en X, nue, en bas et talons hauts. Il sourit : « Tu apprécie ? » me demande-t-il.

- Oui Monsieur Stéphane, et je crois bon de rajouter nerveusement : « Et j’en ai un peu honte… »

- Honte ? C’est très bien ça. Tu es là en partie pour ça non ?

Ça question n’appelait pas de réponse, une simple constatation de ce que je suis et ce que je désire.

Il se rend devant son râtelier et en décroche un gros objet.

Un gros manche blanc, de la longueur de presque un avant bras, avec à son extrémité un fil électrique et à l’autre une grosse boule, blanche également.

- Je te présente le Hitachi Magic Wand. Chez la majorité des femmes, et même chez certains hommes, c’est l’orgasme assuré en moins de 3mn. Tu connais ?

Jamais vu un truc pareil.

Et j’ai du mal a savoir comment ça fonctionne.

Va-t-il m’introduire cette grosse boule de la taille d’une pomme ?

- Non Monsieur.

- Ah, une croix. Tu as oublié Stéphane à la fin de ta phrase.

Et merde, quelle conne je fais.

- Oui Monsieur Stéphane, excusez-moi pour cet oubli.

En fait, j’ai bien intégré qu’il faille que je répète cette sempiternelle phrase chaque fois que j’ouvre la bouche, mais je là je l’ai omise volontairement, car répéter chaque fois le « Oui ou Non Monsieur Stéphane » est assez lourd à dérouler systématiquement.

Mais j’imagine que c’est là qu’est le piège. Il referme le petit carnet dans lequel il vient de mettre ma seconde croix.

- Le Hitachi Magic Wand, disais-je, va devenir ton meilleur ami à compter d’aujourd’hui. Je vais te le fixer à la jambe et on va voir combien de temps tu tiens.

Il attrape un rouleau de film plastique transparent, me colle son Hitachi machin-truc contre l’intérieur de la cuisse gauche, la boule contre ma vulve et mon clitoris, et il commence à le fixer avec son rouleau de plastique.

Ce n’est pas très commode car à chaque fois qu’il passe derrière ma jambe je dois me contorsionner pour la fléchir afin qu’il ait la place de faire tourner le rouleau autour.

Il serre autant qu’il peu, et l’appareil me rentre dans les chairs.

Au bout de quelques minutes, j’ai la jambe sous cellophane depuis le genou jusqu’à l’aine et au dessus de la hanche.

Il rajuste son objet magique en le plaquant un peu plus et le branche.

- Bien, t’es prête me demande-t-il ?

- Oui Monsieur Stéphane

- Donne-moi un mot d’alerte.

- Pardon, Monsieur Stéphane ?

- Donne-moi un mot, qui sera pour moi le signal que tu es arrivée au bout de tes limites. Ça sera une convention entre nous. Un signal d’alarme pour que j’arrête tout…

- Ha, oui, je vois… Heu…

Je réfléchis aussi vite que je peux. Je cherche dans mes passions, un mot. J’ai trouvé : « Aprila ! » m’exclamais-je… Oui j’aime la moto…

- Aprila, très bien. C’est noté. On y va…

Et il actionne l’interrupteur placé sur l’appareil…

 

Oh mon dieu....!!!!!

Dès la première seconde, je lâche un cri, et je crois bien que ma bouche ne s’est plus tu jusqu’à ce qu’il daigne éteindre son appareil.

Quelles sensations.

Comment dire… Je me sens branchée sur du 3000 volts.

Autant vous le dire tout de suite, je n’ai jamais explosé de cette façon dans les bras d’un homme.

C’est soudain, brutal, électrique.

Mais d’une volupté inouïe. Je ne saurais vous dire mon ressentit avec des mots.

Rien à voir avec mes plaisirs habituels ou la déflagration s’annonce progressivement, où elle monte lentement, se fait désirer, va crescendo avant de gonfler et de vous remplir de bonheur.

Là c’est tout de suite l’explosion, absolue, colossale, titanesque…

Et ça dure, ça dure…

En fait, ça ne s’arrête tout simplement pas. C’est proprement monstrueux comme plaisir, purement diabolique.

J’ai l’impression qu’une machine est branchée directement sur mes sens et les pousse au maximum de leurs capacités d’absorption.

Un premier orgasme me foudroie littéralement.

Je m’entends gémir et crier.

Je me sens me tordre de plaisir, ou de douleur, je ne sais plus.

De suite après cette première déferlante de jouissance, la douleur se manifeste.

Pas vraiment une douleur en fait, plutôt une gêne, intense, immense, qui fait que, plus que tout au monde, je souhaiterais que ce truc s’arrête.

Mais non, ça continue. Je me débats pour arracher au moins une main à son lien, afin de me débarrasser de cette machine qui m’irrite au plus au point.

Puis subitement le plaisir jailli à nouveau. Je crois bien que je pleure…

Sans préambule, il grandit, jusqu'à occuper tout mon esprit et tout mon espace.

Je me sens à nouveau ravagée, passé à la moulinette, renversée de béatitude.

S’en est trop. J’explose de nouveau, en un millier de morceaux qui se répandent dans tout mon être.

Ce que c’est bon… C’est merveilleux…

Dans la seconde suivante se pointe à nouveau la gêne physique, plus vive, plus soutenue, plus intolérable.

Et à nouveau je me tortille de plus belle pour mettre fin à se supplice.

J’en ai mal dans ma chair, dans mes parties intimes.

Je n’en peut plus, je lâche un « Aprila ! » moitié riant, moitié pleurant.

 

Ça s’arrête de suite.

Pfiouuu… Je ne peux m’empêcher de lâcher un soupir de soulagement.

Ma tête retombe sur ma poitrine….

De toute ma vie je n’ai jamais rien ressenti d’aussi intense, d’aussi terrifiant.

Le gars qui a inventé cet objet devrait être décoré, ou fusillé, c’est selon.

- Bon, pas terrible comme résistance.

La voix de Monsieur Stéphane porte un je ne sais quoi d’amusé dans son ton.

Mais on va poursuivre. Tu vas t’y faire. Elles s’y font toutes…

- Oui Monsieur Stéphane… Pour le coup je ne sais pas quoi dire d’autre…

Il retourne vers son râtelier et en décroche deux petites pinces à seins. Il accroche un petit poids en fonte noire, à chacune d’elle, et revient vers moi.

Et sans surprise il m’attrape mon seins gauche, serre le téton et y accroche la première pince.

Il fait de même avec l’autre.

Petite douleur supportable. Il donne de petits coups de la main pour faire balancer les poids, je grimace légèrement.

- Bien. Reste là je reviens….

Comme si je pouvais faire autrement…

Il quitte la cave, et je l’entends monter les escaliers.

.../...

 

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